Il était une fois un grand sapin, entouré de grands sapins, dans une forêt de grands sapins.
Chaque année en décembre, le grand sapin soupirait, couvert de neige, à l’épreuve des tempêtes hivernales, et ne se réchauffant guère aux timides rayons du soleil. Pour tenter d’attirer l’attention des autres grands sapins et de tous les habitants de la forêt, il se balançait au rythme du vent, secouant sans cesse ses branches et jetant des regards éplorés de tous côtés.
Ainsi, il quémandait des câlins de tous les oiseaux qui se posaient sur ses branches. Quand il les voyait voleter autour de lui, ses épines leur faisaient signe de s’approcher et de lui chanter quelques mélodies. Alors les mésanges, timides mais affectueuses, venaient déposer une petite caresse d’un coup de bec, chantonnant de douces mélopées puis repartaient, sans se douter qu’elles laissaient derrière elles un grand sapin tout givré se laissant aller à une tristesse grandissante.
Mais tous les ans, ce qui le rendait le plus malheureux, c’était de voir que les habitants du chalet tout près de là ne lui jetaient aucun regard quand ils traversaient le chemin avec des sapins minuscules en plastique qu’ils installaient ensuite au milieu de leur salon, les chargeant de guirlandes colorées jusqu’à ce qu’ils en deviennent ridicules, ployant sous ces décorations farfelues.
Cette année-là, l’hiver s’installa brusquement car en une nuit, la neige tomba des cieux en grandes quantités, formant partout d’impressionnantes congères. Au matin, le grand sapin grelottait de froid, vacillant sous le poids des lourds flocons. Pendant qu’il frottait ses branches contre son tronc pour faire circuler la sève, il vit passer un renard splendide dans sa houppelande rousse et il le jalousa car en tant que grand sapin, il n’avait pas de poils pour se protéger des pénibles frimas. Il devint fort abattu, alors qu’il tenait encore vaillamment debout, grand parmi les grands sapins de la forêt des grands sapins. Pour couronner le tout, le soleil disparut, cédant sa place pendant de longs jours à un brouillard tranchant qui s’amusait à effleurer le bout des branches de tous les arbres avec ses doigts glacés.
Et pendant que le grand sapin se lamentait sur sa triste situation et que ses larmes se transformaient en délicates sculptures de glace au bout de ses ramures, le conseil des animaux de la forêt des grands sapins se réunit afin de débattre d’un sujet épineux.
Ils étaient tous là, certains à peine réveillés de leur repos hivernal : écureuils espiègles, mésanges bleues, à tête noire, huppées et d’autres moins frivoles, geais élégants, merles enchanteurs, biches, chevreuils, blaireaux et renards, chamois et bouquetins descendus de la montagne et bien d’autres encore. Tous étaient réunis autour de leur chef, un cerf élaphe portant sur son dos un magnifique manteau chatoyant. Vieux sage, il parlait une langue universelle et les animaux rassemblés en cercle autour de lui hochaient la tête en écoutant attentivement son discours qui s’éternisa toute la nuit.
Le lendemain, le jour du solstice d’hiver, un cortège s’ébranla dans la forêt des grands sapins. A sa tête un cerf altier trottait, accompagné de sa belle aux yeux de biche. Derrière lui, une foule innombrable d’animaux agitaient plumes et poils. Le défilé dansait et chantait aux sons de tambourins et d’autres instruments joués par la fanfare des lutins de la forêt des grands sapins. Et dans cette longue cohorte se trouvaient même des visiteurs de marque venus du monde entier pendant la nuit, soucieux d’apporter leur soutien à cette vaste opération de cœur. Ainsi, un énorme morse, langoureusement allongé sur une luge traînée par des lutins très musclés chantait aussi, mais en morse, ce qui détonnait quelque peu dans l’harmonie générale. Un ours blanc, peu habitué à voir autant de grands sapins, regardait de tous côtés, émerveillé. A ses côtés se dandinait son ami de longue date l’ours brun et une licorne fermait la marche, poussant de sa corne magique les blaireaux et les marmottes retardataires.
Puis le cortège s’arrêta, s’ébrouant joyeusement autour du cerf. Ils étaient enfin arrivés à destination.
Surpris, le grand sapin dans la forêt des grands sapins vit sous ses branches tous les animaux réunis. C’est alors que le majestueux cerf déroula un parchemin et sa voix retentit dans toute la forêt des grands sapins, se faisant entendre bien au-delà, jusque dans la campagne et les villes environnantes, et même plus loin, au-dessus des hautes montagnes. Et le grand sapin, de plus en plus ému, comprit que tous les animaux présents venaient lui rendre hommage et lui dire toute leur affection. A la fin du très long discours retentit une salve d’applaudissements dans la forêt des grands sapins et les chants de joie reprirent. Même le soleil, absent depuis si longtemps, transperça la couche épaisse des nuages et la lumière se fit au-dessus des arbres. Puis chaque animal défila devant le grand sapin, s’inclinant à l’approche de son tronc noueux et lui fit cadeau d’une boule rouge de Noël. Les agiles mésanges huppées, aidées par de lointains cousins colibris, les accrochèrent une à une aux branches du grand sapin. Dans une clameur extatique et délirante, le sapin éclata alors en sanglots de joie, scintillant de mille feux au milieu de la forêt des grands sapins.
Peut-être que vous ne me croirez pas. Car on n’a jamais vu un ours blanc dans une forêt de grands sapins, ni même d’ailleurs des colibris et encore moins un énorme mammifère marin chantant en morse. Mais depuis leur passage, le grand sapin ne fut plus jamais triste, chantant du matin au soir et à toutes les saisons, sa joie retrouvée. Et pour vous prouver que cela n’est pas une histoire sortie tout droit de mon imagination et que je n’ai pas perdu la boule, le grand sapin m’en a d’ailleurs offert une que mon ours brun garde jalousement depuis contre son cœur.
Chaque année en décembre, le grand sapin soupirait, couvert de neige, à l’épreuve des tempêtes hivernales, et ne se réchauffant guère aux timides rayons du soleil. Pour tenter d’attirer l’attention des autres grands sapins et de tous les habitants de la forêt, il se balançait au rythme du vent, secouant sans cesse ses branches et jetant des regards éplorés de tous côtés.
Ainsi, il quémandait des câlins de tous les oiseaux qui se posaient sur ses branches. Quand il les voyait voleter autour de lui, ses épines leur faisaient signe de s’approcher et de lui chanter quelques mélodies. Alors les mésanges, timides mais affectueuses, venaient déposer une petite caresse d’un coup de bec, chantonnant de douces mélopées puis repartaient, sans se douter qu’elles laissaient derrière elles un grand sapin tout givré se laissant aller à une tristesse grandissante.
Mais tous les ans, ce qui le rendait le plus malheureux, c’était de voir que les habitants du chalet tout près de là ne lui jetaient aucun regard quand ils traversaient le chemin avec des sapins minuscules en plastique qu’ils installaient ensuite au milieu de leur salon, les chargeant de guirlandes colorées jusqu’à ce qu’ils en deviennent ridicules, ployant sous ces décorations farfelues.
Cette année-là, l’hiver s’installa brusquement car en une nuit, la neige tomba des cieux en grandes quantités, formant partout d’impressionnantes congères. Au matin, le grand sapin grelottait de froid, vacillant sous le poids des lourds flocons. Pendant qu’il frottait ses branches contre son tronc pour faire circuler la sève, il vit passer un renard splendide dans sa houppelande rousse et il le jalousa car en tant que grand sapin, il n’avait pas de poils pour se protéger des pénibles frimas. Il devint fort abattu, alors qu’il tenait encore vaillamment debout, grand parmi les grands sapins de la forêt des grands sapins. Pour couronner le tout, le soleil disparut, cédant sa place pendant de longs jours à un brouillard tranchant qui s’amusait à effleurer le bout des branches de tous les arbres avec ses doigts glacés.
Et pendant que le grand sapin se lamentait sur sa triste situation et que ses larmes se transformaient en délicates sculptures de glace au bout de ses ramures, le conseil des animaux de la forêt des grands sapins se réunit afin de débattre d’un sujet épineux.
Ils étaient tous là, certains à peine réveillés de leur repos hivernal : écureuils espiègles, mésanges bleues, à tête noire, huppées et d’autres moins frivoles, geais élégants, merles enchanteurs, biches, chevreuils, blaireaux et renards, chamois et bouquetins descendus de la montagne et bien d’autres encore. Tous étaient réunis autour de leur chef, un cerf élaphe portant sur son dos un magnifique manteau chatoyant. Vieux sage, il parlait une langue universelle et les animaux rassemblés en cercle autour de lui hochaient la tête en écoutant attentivement son discours qui s’éternisa toute la nuit.
Le lendemain, le jour du solstice d’hiver, un cortège s’ébranla dans la forêt des grands sapins. A sa tête un cerf altier trottait, accompagné de sa belle aux yeux de biche. Derrière lui, une foule innombrable d’animaux agitaient plumes et poils. Le défilé dansait et chantait aux sons de tambourins et d’autres instruments joués par la fanfare des lutins de la forêt des grands sapins. Et dans cette longue cohorte se trouvaient même des visiteurs de marque venus du monde entier pendant la nuit, soucieux d’apporter leur soutien à cette vaste opération de cœur. Ainsi, un énorme morse, langoureusement allongé sur une luge traînée par des lutins très musclés chantait aussi, mais en morse, ce qui détonnait quelque peu dans l’harmonie générale. Un ours blanc, peu habitué à voir autant de grands sapins, regardait de tous côtés, émerveillé. A ses côtés se dandinait son ami de longue date l’ours brun et une licorne fermait la marche, poussant de sa corne magique les blaireaux et les marmottes retardataires.
Puis le cortège s’arrêta, s’ébrouant joyeusement autour du cerf. Ils étaient enfin arrivés à destination.
Surpris, le grand sapin dans la forêt des grands sapins vit sous ses branches tous les animaux réunis. C’est alors que le majestueux cerf déroula un parchemin et sa voix retentit dans toute la forêt des grands sapins, se faisant entendre bien au-delà, jusque dans la campagne et les villes environnantes, et même plus loin, au-dessus des hautes montagnes. Et le grand sapin, de plus en plus ému, comprit que tous les animaux présents venaient lui rendre hommage et lui dire toute leur affection. A la fin du très long discours retentit une salve d’applaudissements dans la forêt des grands sapins et les chants de joie reprirent. Même le soleil, absent depuis si longtemps, transperça la couche épaisse des nuages et la lumière se fit au-dessus des arbres. Puis chaque animal défila devant le grand sapin, s’inclinant à l’approche de son tronc noueux et lui fit cadeau d’une boule rouge de Noël. Les agiles mésanges huppées, aidées par de lointains cousins colibris, les accrochèrent une à une aux branches du grand sapin. Dans une clameur extatique et délirante, le sapin éclata alors en sanglots de joie, scintillant de mille feux au milieu de la forêt des grands sapins.
Peut-être que vous ne me croirez pas. Car on n’a jamais vu un ours blanc dans une forêt de grands sapins, ni même d’ailleurs des colibris et encore moins un énorme mammifère marin chantant en morse. Mais depuis leur passage, le grand sapin ne fut plus jamais triste, chantant du matin au soir et à toutes les saisons, sa joie retrouvée. Et pour vous prouver que cela n’est pas une histoire sortie tout droit de mon imagination et que je n’ai pas perdu la boule, le grand sapin m’en a d’ailleurs offert une que mon ours brun garde jalousement depuis contre son cœur.
A toutes et tous, je vous souhaite de belles fêtes de fin d'année et une bonne année 2020. Je m'éloigne de la blogosphère pendant quelque temps. Prenez bien soin de vous pendant mon absence.
Dédé © Décembre 2019
Coucou Dédé, ton histoire est adorable, très exactement ce que j'avais envie besoin et envie d'entendre. Merci infiniment. Belles fêtes à toi.
RépondreSupprimerLes contes sont là pour nous faire du bien. Bises alpines Sophie.
SupprimerElle est belle, ta montagne, avec ses allures d'arche de Noé, toute de tendresse, où chacun veille sur tous et se souvient qu'un sapin, ça sent bon la résine! Belle et innocente comme un chaton qui dort... Que ça fait du bien!
RépondreSupprimerPasse de belles fêtes toi aussi, et reviens-nous pleine de beaux récits!
♥♥♥
Ah oui, une bonne odeur de résine! Belles fêtes!
SupprimerQue ce conte de Noël est beau, Dédé ! Je crois bien que je le lirai à mes deux petits gars qui sont à la maison ces jours (sourire). Merci pour l'animation musicale en plus des petits flocons.
RépondreSupprimerPasse de très belles fêtes, toi aussi. Bisous festifs !
Coucou. J'ai découvert les King's Singers il y a quelques années. Ils sont brillantissimes. :-) Bises alpines, belles fêtes et bonne lecture.
SupprimerMerci ma chère Dédé pour tous ces mots aimants, doux, écrits pour nous, pleins et déliés dans cette forêt d'amour venue des airs, réanimée qui parle et en-chante. Tes rêves deviennent les nôtres au détour de ton chemin savoureux dans une pliure retenue, silencieuse qui recueille mes émotions à l'haut de l'âme vacillante. Charmée par ton sapin gorgé d'éden en habit de fête il orne mon coeur ivre tel un écrin découvert rempli de joyaux.
RépondreSupprimerD'heureuses fêtes je te souhaite .... douce trêve, et à bientôt de te lire sur le rebord de ma fenêtre restée entre ouverte pour toi.
Je t'embrasse.
Mon beau sapin, roi des forêts... Belles fêtes à toi aussi dans le Sud.
Supprimerbonjour Dédé , merci pour le lien musical et là ton texte est un enchantement à te lire ! c'est un beau conte ! et merci pour ta photo superbe j'aime +++ gros bisous belles fêtes de fin d'année et profites en bien bonne pause et +++ ! amicalement
RépondreSupprimerA toi aussi mon cher Bébert. Passe de belles fêtes dans la joie et bonjour également à Danièle. Bises alpines enneigées.
Supprimerbonsoir Dédé , merci et je te souhaite une belle année 2020 , la santé et +++ de jolies choses dans ta vie ... gros bisous a+
SupprimerDans un rêve tout est permis, il n'est point de limite pour une imagination débordante. Passe de très belles fêtes
RépondreSupprimerAmicalement
Claude
Coucou Claude. Dire que j'ai rêvé d'un morse qui chantait... :-) Belles fêtes!
SupprimerMerci Dédé pour ce joli conte célébrons ce grand sapin en hommage à tous les sapins qui font quelques jours durant rêver les humains ! Joyeuses fêtes
RépondreSupprimerHello le cascadeur. Attention, célébrons les vrais sapins, pas ceux en plastique. :-) Bises alpines.
SupprimerVoici un conte bien magique pour cette fête qui reste un passage que l'on espère bien entouré, de lumière et d'amour...
RépondreSupprimerComme tu le dis, Noël est un passage, vers la lumière qui grandit. Bises alpines.
SupprimerMa Chère Dédé,
RépondreSupprimerJ'ai adoré ce conte de Noël ! C'est féerique et cela me ramène à mon enfance.
L'animation musicale est belle, légère et festive. Un gros MERCI pour ce rêve.
Je te souhaite Un bon temps des Fêtes avec ta famille et je t'embrasse
Coucou Elisa. La fête de Noël, c'est un peu la fête de l'enfance retrouvée, même quand on prend de l'âge. :-) Passe de belles fêtes avec ton amoureux et toute la famille poilue et ailée. ;-)
SupprimerBonjour chère Valaisanne
RépondreSupprimerQuel joli conte de Noël (que j'ai lu illustré des chants du chœur des King's Singers comme tu nous y as invité) sorti de ton imagination. Joyeux Noël.
Bise s savoyardes
Coucou. J'avoue que j'ai eu de la peine avec le morse quand il est sorti de mon imagination. Cela prend de la place ces animaux-là. :-) Bises alpines et joyeux Noël!
SupprimerDans le même orde d'idée tu écouteras mon cadeau de Noel prévu pour demain. Passes d'excellentes fêtes
RépondreSupprimerHello Robert. Je me réjouis donc de demain pour déballer le cadeau sur ton blog. Belles fêtes.
SupprimerOn l'attendait tous ton histoire, charmante comme d'habitude. passe aussi un bon Noël
RépondreSupprimerCoucou Martine. Oui, le traditionnel conte de Noël chez Dédé. :-) Belles fêtes.
SupprimerAh là, le morse qui chante en morse, tu as frappé fort, ha haha. Mais quelle jolie histoire, qui montre que point ne faut désespérer, pas vrai? Bonnes fêtes et bravo pour ce conte bien réconfortant...
RépondreSupprimer:-)) Hihi, c'est bien trouvé, n'est-ce pas? Pis la belle du cerf avec des yeux de biche. :-)
SupprimerBonsoir chère Dédé,
RépondreSupprimerton conte de Noël est ravissant et bien touchant!
Pauvre sapin frileux... Et gentils animaux...
Gros bisous à toi,
passe de bonnes fêtes
Mo
Coucou. Pauvre au début de l'histoire et ensuite tout réchauffé avec les amis animaux. Et les boules de Noël! Belles fêtes et bises alpines.
SupprimerDois je ne déduire que le grand sapin était devenu le roi de la forêt car tout vient à point qui sait attendre (et le peut) un jour on est récompensé d'être le plus vieux et le plus grand
RépondreSupprimerJ'aime bien ton histoire de langue universelle même si le morse parle en morse, sans doute pour être plus concis et en dire plus en moins de temps. Je me demande si les colibris ne sont pas un peu frigorifiés mais peut-être que non au fond... car c'est un conte de Noël !
Mes colibris les plus exotiques ne sont pas encore arrivés chez nous mais ils sont déjà à Belleville mais nous avons déjà nos trois lutines, deux de la race des korrigans et une de celle des sotrés.
Bises et joyeuses fêtes dans les alpages, Dédé !
Coucou. Le morse est un grand et gros flemmard. Ou pas. Parler peu pour aller à l'essentiel. Mais cet essentiel est si important: apporter de la joie, célébrer ensemble, jouer, chanter et retrouver la lumière. Un peu comme chez bon nombre d'entre nous pour ce Noël qui arrive. Je te souhaite de belles fêtes entourée de tous tes lutins et korrigans. Bises alpines enneigées.
SupprimerTrès beau conte et photos.
RépondreSupprimerBon Noël à toi aussi et aux tiens.
Il a été difficile de faire tenir l'ours brun tranquille pendant la photo. :-)) Belles fêtes.
Supprimerquel magnifique conte de Noël... c est trop joli je suis toute émue... merci ma belle passe de bonnes fêtes
RépondreSupprimerUn petit mouchoir? Sèche vite tes larmes! Belles fêtes à toi et toute ta famille, enfants et Maman.
SupprimerA Noël, tout finit bien !
RépondreSupprimerMerci pour ce joli conte et bonne semaine festive.
Mais il faudrait que ce ne soit pas seulement à Noël que tout finisse bien! Belles fêtes Philippe! Et bises alpines enneigées.
SupprimerJ'espère simplement que vous saurez profiter de cette période des Fêtes et que l'année 2020 sera bonne pour vous.
RépondreSupprimerBonjour monsieur à la grande langue. J'espère avoir l'énergie pour ne pas m'endormir avant de déballer mes cadeaux. :-) Belles fêtes à vous aussi et belle année 2020. Bises alpines enneigées.
SupprimerC'est un vrai et magnifique conte de Noël, bravo à toi, en le lisant, des flocons sont tombés avec une grâce inouïe, c'est la magie de Noël ! Bises étoilées, très belles fêtes de fin d'année Dédé, à l'année prochaine. brigitte
RépondreSupprimerUn peu de magie fait toujours du bien! Merci de ta visite Brigitte et belles fêtes.
SupprimerOh! Inventive Dédé, malgré tout le stress et la fatigue de cette fin d'année, tu as trouvé le temps, l'énergie et l'imagination nécessaires pour nous concocter un si joli conte de Noël! J'en suis très touchée : c'est un précieux cadeau que tu nous fais (les flocons, la musique, l'ourson). Nous voici rendus à l'enfance, à la rêverie, à la douceur de Noël. Il n'y a que toi pour pouvoir nous offrir ça. Grand merci et tous mes vœux pour ces vacances qui commencent et que tu as amplement méritées! Bises lacustres inondées et wouf de P.
RépondreSupprimerCoucou ma chère Dad. C'est un petit cadeau pour mes lecteurs et cela faisait déjà un moment que l'histoire du grand sapin me trottait dans la tête. Et le nounours voulait poser depuis un moment aussi. 😊 et maintenant je vais aussi me poser. Bises alpines et belles fêtes.
SupprimerA un moment donné, j'ai eu peur que l'on vienne couper le sapin. Cela aurait été dommage . On en coupe tant pour Noël !Bonnes fêtes de fin d'année et à bientôt !
RépondreSupprimerAh non. On ne découpe pas mon grand sapin en rondelles! 😁 à bientôt Daniel et ta petite voix.
SupprimerQuel joli conte merveilleux.
RépondreSupprimerJe suis sur la même ligne que toi aujourd'hui... ;-)
C'est bon, les contes...
Gros bisous de noël ma chère frangine neigeuse !
★
✫ ✫* *
✫ ✫ ✫.★**
`⋎´✫¸.•°*”˜˜”*°•✫
..✫¸.•°*”˜˜”*°•.✫
☻/ ღ˚ •。* ღღ ˚ ˚✰˚ ˛★* °ღ ˚ • ★ *˚ .ღ 。
/▌ *˛˚ ˚ ✰* *˛˚ ˚ ✰* *˛˚ ˚ ✰*
/ \ ˚. *˛ ˚ღღ* ✰。˚ ˚ღ*。 ˛˚ ღ ღ 。✰˚* ˚ ★ღ。
ღ˛°* ღ ღ Un bisou céleste pour toi
Nous sommes sur la même longueur d'ondes frangine du Sud. On a envie de douceur et de faire plaisir. Bises alpines et belles fêtes.
SupprimerMerci chère Dédé pour ce très joli conte de Noël. De tout coeur, je te souhaite une très douce fin d'année remplie de petits bonheurs et profite bien de tes vacances. A bientôt.
RépondreSupprimerGros bisous ♥
Ma chère dame du bout du lac, merci de ta visite ici. A toi aussi de belles fêtes de fin d'année entourée des tiens. Bises alpines.
SupprimerMerci Dédé pour ces beaux cadeaux
RépondreSupprimercar je devine bien ce qui se cache
derrière ce papier nuageux.
J'aurai bien aimer aussi accrocher
une boule rouge à ce sapin.
Je t'envoie un guirlande de pensées festives
pour accompagner tes flocons de neige
Joyeux partages de fin d'années
:-)
Coucou Pascal. Tu peux encore décorer le grand sapin. Tu es dans les temps! Belles fêtes.
SupprimerTa première image est toute en douceurs comme ce conte. Retrouver la joie n'a pas de prix.
RépondreSupprimerJoyeux Noël à toi et aux tiens sans oublier ton ours brun témoin de tes aventures, aura t'il droit lui aussi à un petit tour en traîneau?
Bien sûr! Le petit ours est très gâté! Tour en traîneau et bien d'autres choses au programme. Belles fêtes Thérèse.
SupprimerOn est tous comme le grand sapin. J'adore les mésanges.
RépondreSupprimerJoyeuses fêtes Dédé !
Plein de bises.
Coucou Laurent. Moi aussi j'aime les mésanges, surtout les petites bleues et les huppées. ;-) Merci de la visite et bises alpines.
SupprimerJoyeuses fêtes
RépondreSupprimerTout pareil pour toi Marie.
SupprimerAh j'aime beaucoup ton récit, comme Edmée j'ai ri au morse:-)
RépondreSupprimerBonne fin d'Année Dédé
Décidément, le morse remporte tous les suffrages! Belle fin d'année également et à l'année prochaine.
Supprimerpassage éclair pour souhaiter un joyeux Noël à ma montagnarde... gros bisous
RépondreSupprimerCoucou. Je m'éloigne peu à peu ma chère. A bientôt et bisous.
SupprimerBelle poésie, qui nous transporte en des contrées de douceur, d'imaginaire, de mélopées épicées...
RépondreSupprimerMerci Dame Dédé. Et surtout : joyeuses fêtes !
Bonjour Monsieur aux grandes oreilles. J'aime bien les mélopées épicées mais surtout... le pain d'épices avec plein de beurre dessus. :-) Joyeuses fêtes également!
SupprimerUne bien belle histoire qui nous fait voyager dans des paysages, flore et faune, dignes de Nicolas Vanier. Une histoire pour les "grands" avec beaucoup de tendresse nécessaire à cette période de l'année. Merci
RépondreSupprimerOn a toujours besoin de tendresse, et peut-être encore plus en fin d'année, comme tu le dis. Je te souhaite de belles fêtes ma chère et à l'année prochaine!
SupprimerBelle fin d'année tout en partage...
RépondreSupprimerBises de ma Loire toute bouillonnante.
Une Loire bouillonnante? :-) Ce doit être du grand spectacle. Bises alpines et belle fin d'année.
SupprimerBonjour,
RépondreSupprimerJ'avais mis de côté ton article pour le lire à un moment où j'aurais du temps .Car tes histoires sont magiques et il faut les savourer !Et celle-ci, pleine de tendresse et d'humour, est adorable !Et elle me rappelle le plaisir enfantin que j'éprouve à regarder les tableaux flamands qui représentent le jardin d'Eden ou Orphée charmant les animaux .Tes mots sont très imagés et il n'y a aucune pesanteur dans tes récits . J'aime beaucoup ici le leitmotiv "grand sapin":on se met tout à fait dans l'écorce du personnage !
Je te souhaite une douce fin d'année .
Bises .
Un grand sapin qui sait de quel bois il se chauffe. 😊 merci de ton appréciation. J'aime écrire des histoires mais c'est souvent le temps qui me manque. Bises alpines et belles fêtes!
SupprimerCoucou Dédé.
RépondreSupprimerNoël c'est du passé, pour toi je l’espéré merveilleux, vive la nouvelle année qui nous arrive.
Pour nous noël c'est un petit "bout" de suisse qui est venu sous la forme de notre petite fille (qui vie à Genève).
A bientôt, Bises...
Si tu as l'occasion d'aller dans la vieille ville de Genève, c'est vraiment très beau. Belles fêtes aussi à toi et toute ta famille. Bises de plus loin que d'habitude.
SupprimerBonjour, très joli texte, le sapin aurait pu finir coupé sur la célèbre place de Strasbourg, triste sort, ! je te souhaite un bon week end, et de bonnes fêtes de fin d'année, bisous
RépondreSupprimerUn sapin qui est admiré de tous doit être heureux...un peu. C'est clair que les sapins les plus heureux sont ceux qui restent dans la forêt, bien plantés sur leurs racines. Belles fêtes et merci de ta visite.
Supprimer−− · ··· ··· ·− −−· · ·−−· −−− ··− ·−· −− −−− −− −−− −−··−− −− −−− −· ··−· ·· ·−·· ··· ··−· ··− −−· ··− · ··− ·−· −−−··· − ··− ·−−· · ··− −··− ·−· · ··· − · ·−· −−− ··− − ··− · ··· −−··−− ·−·· ·− −··· ·− −· −−·− ··− ·· ··· · ·− ··−· −−− −· −·· ··−
RépondreSupprimer( trad. message de sa Maman pour Mo, qui a fugué depuis Noël: "tu peux rester où tu es la banquise a fondu...")
merci pour ce conte épatant et plein d'humour !
Mais Mo veut revenir. Il saura comment faire! 😊 merci de ta visite.
SupprimerDédé, malgré mon âge j'y croyait vraiment à cette belle histoire. Belle et heureuse année à toi aussi.
RépondreSupprimerCoucou. Il n'y a pas d'âge pour croire aux belles histoires. Belle année 2020 avec plein...de jolies histoires.
Supprimerpetit mot pour te souhaiter une magnifique année 2020 pleine de tendresse et de sérénité gros bisous
RépondreSupprimerMerci ma belle. Je te retourne tes bons voeux. Bises!
SupprimerCoucou Dédé,
RépondreSupprimerMerci pour ce bien joli conte, c'est toujours un plaisir. Merci pour ce doux partage.
J'espère que tu as passé de très bonnes fêtes de fin d'année et je te souhaite tous mes voeux (ainsi qu'aux tiens) pour cette nouvelle année mais aussi décennie.
Bises et bonne journée
Tu aurais du boulot à photographier chaque animal de mon conte! 😊 merci de ta visite et mes meilleurs voeux de santé et bonheur pour 2020.
SupprimerAujourd'hui je suis revenue relire ton conte...Superbe...J'adore...
RépondreSupprimerBonne année 2020
du Bonheur pour Partager
de la Douceur pour Aimer
des Amis pour Ecouter
de la Paix pour se Reposer
du Soleil pour Illuminer
de la Force pour Supporter
de la Santé pour Avancer
Merci Marie. C'est un vaste programme pour 2020 mais on devrait y arriver si on se concentre un peu! Belle année à toi!
SupprimerTrès bonne année 2020, qu'elle t'apporte le meilleur, bisous et à bientôt
RépondreSupprimerMerci Francine. A toi aussi plein de bonnes choses. Je m'éloigne un peu des blogs ces temps mis je reviendrai. Bises!
SupprimerCoucou ma Dédé ! Me voilà !
RépondreSupprimerMerci pour ton gentil commentaire.
Comme je n'ai pas trop le temps ce matin (suis dans les papiers de la tutelle)
je me suis permise de copie et de coller sur une feuille blanche ton texte que je lirais plus tard
et je te dirai tout de quoi j'en pense.
Bonne année et gros bisous !
Coucou ma Claude. Me revoilà aussi même si je délaisse un peu le monde des blogs ces jours-ci.
SupprimerChère Dédé,
RépondreSupprimerJ'attendais un autre billet ..... mais en vain.
Alors je viens mettre un petit mot sur celui-ci. Je voulais te souhaiter une très bonne nouvelle année pour toi et ton compagnon.
Une douce vie dans votre "home sweet home montagnard". puis de la santé et des tas de jolies choses.
Je t'embrasse affectueusement
Coucou Elisa. Je prends du recul par rapport au monde des blogs. Cela fait du bien de temps en temps. Merci pour tes bons voeux et je te les retourne. Plein de belles choses pour toi et ton conjoint et toute la clique des animaux de la maison. Bisous!
SupprimerCoucou la Valaisanne :) je vient te souhaitez une belle et heureuse année , tout mes bonheurs :) , amitié d'Auvergne
RépondreSupprimerMerci Steph! Belle année à toi également avec plein de nouvelles découvertes en rando! Bises maritimes.
SupprimerTrès joli conte, digne d'être transposé en album illustré pour faire le bonheur des enfants.
RépondreSupprimerBelle trouvaille, les merles enchanteurs ! sans doute Viviane se cachait-elle parmi les mésanges...
Ton histoire, chère Dédé, me rappelle un rêve (fait il y a très longtemps) au cours duquel je volais au-dessus de la campagne éclairée par la pleine lune. Me dirigeant vers un bois de haute futaie, je m'élançai pour aller me percher en haut d'un grand pin sylvestre. Une fois posée sur une branche, je me déplaçai rapidement jusqu'au tronc de l'arbre, contre lequel je plaquai tout mon corps en l'enlaçant de mes deux bras. C'est alors que je ressentis une onde de parfaite sérénité envahir tout mon être.
Meilleurs vœux de belle et douce année pour la Dame des Hautes Montagnes à la plume si magique.
Bises des Yvelines, dans la grisaille hivernale
Ma chère Tilia. Tu fais des rêves merveilleux toi! Moi je rêve souvent de choses pas très drôles liées au travail. Alors je n'en parle pas sur mon blog. 😊 Ce ne serait pas marrant.
SupprimerBelle année à toi également avec toutes les choses que tu souhaites. Bises maritimes.
Bonjour Dédé, tu vois si j'avais écouté cette histoire dans une bibliothèque ou ailleurs, je serai devenu à nouveau un gamin en attendant la fin de l'histoire, et ça se termine toujours bien !
RépondreSupprimerAvant que je termine je te souhaite une excellente année 2020, qu'elle t'apporte bonheurs, santé, avec pourquoi pas quelques sous supplémentaire dans ton porte monnaie ! Pleins de bises de l'Isère !
Redevenons de vrais gamins pour cette année 2020! Ok? Belle année mon cher photographe avec plein de belles choses et surtout la santé. Bises maritimes.
SupprimerBonjour Dédé. Je ne fréquente plus beaucoup la blogosphère, mais j'ai toujours grand plaisir à repasser par ici et à retrouver vos textes et photos. Belle et heureuse année 2020 à vous !
RépondreSupprimerAlors merci de votre visite et belle année 2020 également. Le monde des blogs évolue bcp et cela fait plaisir de vous revoir ici!
SupprimerJe repasse déposer au pied de ton grand sapin mes meilleurs voeux pour 2020 avec moult belles baldaes et jolis contes
RépondreSupprimerMerci mon cascadeur. A toi aussi, de belles randos et tout et tout et tout. Bises alpines.
SupprimerBonjour et bonne année Dédé !
RépondreSupprimerJ'imagine que ton ours brun a rangé sa jolie boule de Noël afin qu'elle ne se casse pas. Nous avons acheté un petit sapin dans un pot, pas si ridiculement petit que cela mais nous nous sommes aperçu que certains de ses rameaux avaient été taillés pour lui donner une forma plus compacte et plus compatible avec les intérieurs moderne ! Quelle honte ! A notre décharge il faisait déjà nuit lorsque nous sommes allés le dénicher dans la jardinerie voisine et nous avons eu l'impression qu'il était le plus beau ! Nous l'avons fait décorer par nos petites-filles qui ont farfouillé dans notre boîte de décoration à leur guise mais pour le dénuder avant de le mettre sur notre terrasse nous avons dû le faire seuls, tous nos enfants étant partis et la magie de Noël s'accommode mal de la fin des lumières et des décorations
Ainsi donc je te souhaite une bonne nouvelle année. Si on y prête bien attention c'est la troisième décennie de blog en semble que nous entamons (tu es arrivée chez moi un matin de brouillard en 2006). On va voir si nous tenons le choc juqu'à la rpochaine !
Bises ensoleillées du Bassin Parisien
Coucou ma belle. Mon ours brun a passé quelques jours seul à la maison pendant que j'étais au loin. Il a rangé sa boule de Noël et s'est montré bien sage, contrairement à mes plantes vertes qui ont bien de la peine... :-( Quant aux sapins calibrés, oui, c'est une honte. Qu'est-ce qu'on invente pas de nos jours!! Je me rappelle aussi que je n'enlevais jamais les décorations de Noël, c'était ma maman qui s'en chargeait lorsqu'on recommençait l'école après les vacances. Et le midi, quand on rentrait, Noël avait passé et tout était comme avant.
SupprimerTroisième décennie de blogs? Il va falloir nous décerner une médaille de longévité! Bises de nouveau alpines.
petit coucou à ma montagnarde... gros bisous
RépondreSupprimerCoucou. Je reprends peu à peu. Bises alpines.
SupprimerLe grand sapin
RépondreSupprimern'a plus de chagrin
et ton ours brun
est très serein !
Bonne année !
Belle année ma chère dame alphabet avec plein de belles choses et surtout la santé! Bises alpines.
SupprimerBonne année Dédé.
RépondreSupprimerMerci Dom. A toi aussi, excellente année 2020!
SupprimerBises déposées, et à bientôt.
RépondreSupprimerMerci Dédé pour ce beau conte qui a réjoui si fort le grand sapin, il en avait besoin...
RépondreSupprimerJe t'embrasse Bonne fêtes
Bon retour, meilleurs voeux!
RépondreSupprimerL'animation musicale était vraiment inédite, et le conte parfaitement de saison!
Je constate que dans ton commentaire, où tu cites des animaux imaginaires, tu ne parles pas de la licorne... Et pour cause, n'existe-t-elle pas ?
petit coucou juste pour te faire un bisou
RépondreSupprimerBonjour Dédé! Ton nounours aux grosses papattes me fait penser à une photo de Monsieur O alors qu'il n'avait que 3 mois. Il ne faisait pas le fier car il avait du mal à tenir assis tout seul et il glissait. Nounours non plus ne fait pas trop le fier, avec son oeil effaré.
RépondreSupprimerAllez bises du bassin parisien, ma chère Dédé ! Pas de neige encore ici, pas trop de froid ni de pluie non plus.
je n'ai que ça à dire :
RépondreSupprimer··− −· · −··· ·· · −· −··· · ·−·· ·−·· · ···· ·· ··· − −−− ·· ·−· ·
Mais c'est vrai que tu ne parle peut être pas morse donc UNE BIEN BELLE HISTOIRE
J'espère que tu as passé des fêtes excellentes ma Dédé ; avec modération ?
Ton ours a t il un bonnet pour Noël car dans tes montagnes alpines il faudrait pas qu'il choppe la crève comme moi sous la mousson Bretonne
Bonne année à vous trois
Coucou mon barbu. Bien sûr que je parle le morse, et aussi le dauphin et l'orque. :-) J'ai passé de belles fêtes, tout en modération. Mais je suis contente que le cap soit passé.
SupprimerQuant à mon ours, c'est un solide, il ne s'enrhume jamais! Même sans bonnet! Mais toi par contre, tu es moins poilu sur la tête, donc tu dois porter un bonnet. C'est un ordre. Bises alpines et belle année à toi également et tous les tiens.
Bonjour
RépondreSupprimerC'est magnifiquement raconté!
Je te souhaite une très bonne année!
Bisous
Merci ma Louve. A toi aussi, une belle année de découvertes et pleine de bonnes choses. Et surtout la santé. Bises alpines.
SupprimerBonne année à toi aussi et aux tiens.
RépondreSupprimerMerci mon Loulou. A toi aussi une belle année!
SupprimerBonjour Dédé, tu ne t'accommodes pas d'une foule de parapluies
RépondreSupprimer:-)
Je pense que nous allons éviter d'aller à Rome lorsqu'il pleuvra moins. Ou alors nous irons en des endroits moins courus, peut-être même nous baigner dans la mer Tyrrhénienne comme le commissaire Montalbano.
Bon bricolage ce soir dans ta babasse. En réalité je dois être déjà sur W10 étant donné que je viens de faire aujourd'hui une mise à jour
Bises !