Les cimes étaient blanches, ensevelies depuis des semaines par des chutes de neige généreuses, comme si le peintre céleste avait décidé de n’utiliser qu’une couleur pour ses créations. L’hiver devenu au fil des jours la saison de la nostalgie, monochrome et silencieux, froid et rigoureux, mettait le corps en léthargie. Traverser la pierraille dans une brume épaisse devenait impossible puisque les cairns ne ressemblaient à rien d’autres qu’à des amas de neige informes, presque invisibles. Et lorsque la nuit tombait sur une éclaircie bienvenue, le ciel rougissait violemment en quelques minutes à peine, éclairant d’une main furtive les montagnes, étonnées de cette délicate attention. Il fallait bien se résoudre à attendre une meilleure saison pour grimper à nouveau à l’assaut des sommets.
L’année se terminait, égrenant ses dernières heures. Celle du bilan était venue mais je n’avais guère envie de ressasser encore et encore les difficultés rencontrées. Il fallait prendre du recul, calmer ma respiration et faire le point, ailleurs et autrement. Ainsi, laisser un temps le blanc immaculé semblait une belle opportunité avant d’entamer une nouvelle étape.
Après un voyage de plusieurs heures, au-delà des frontières et par-dessus les crêtes et la mer, la petite île montagneuse est apparue dans une clarté éblouissante, perdue dans les bleus profonds de l’océan. Eclaboussée de fins rayons de soleil presque chauds, elle dressait ses quelques sommets avec fierté. Bien moins élevée que les quatre milles que je connais, ses pentes abruptes plongeaient pourtant avec délectation dans les flots impétueux, pressés de caresser de leurs doigts marins les pierres orgueilleuses. Et dans cet amas volcanique, entre les palmiers altiers et les pins courageux, des sentiers se perdaient, grimpant dans les brumes tenaces au centre de l’île, virevoltant entre des maisons colorées ou surplombant des vallées encaissées.
Bien loin de l’ambiance survoltée des stations balnéaires s’étalant sur les autres îles aux alentours, c’était là le règne du silence, à peine perturbé par le vent soufflant parfois en rafales dans les pins. Quelques amoureux d’une nature presque vierge se rencontraient et se saluaient sur les chemins, occupés à doser leurs efforts et à s’imprégner de cet air si pur.
Magiques, les aubes révélaient des nuances de couleurs que j’avais presque oubliées au fond de mon hiver alpin. Les sommets de l’île, réchauffés par un rouge flamboyant, se découvraient alors dans leur nudité et aridité primitive, pitons rocheux et derniers vestiges d’une activité volcanique lointaine. A d’autres moments, la brume amoureuse étreignait de ses mains avides les arbres d’une forêt ancestrale au cœur de l’île, dont les troncs, habillés de mousse, créaient une atmosphère mystérieuse, chuchotant à nos oreilles une langue sylvestre inconnue, fantasmagorie éphémère.
Des gorges profondes, barrancos arides ou fertiles, traversaient un paysage varié. Là, c’était une belle campagne, lumineuse et accueillante. Plantée de figuiers, de bananiers, d’orangers et de citronniers gorgés de fruits colorés, de vignes en terrasses, elle s’étirait au soleil, comme une parenthèse terrestre enchanteresse. Alors qu’ici, le règne minéral régnait en maître pour former des ravins abrupts balayés à leur base par des roulis fougueux.
Marchant inlassablement, parfois sous une pluie fine et froide noyant des grappes de palmiers détrempés et un majestueux dragonnier esseulé, d’autres fois sous un soleil brûlant presque la peau, j’ai découvert un paradis terrestre, ne se laissant approcher qu’au prix d’un effort soutenu sur des sentiers aux dénivelés pénibles. Glissant, tombant même, je me suis sentie en communion étroite avec cette terre ocre, pourtant bien différente de mes Alpes acérées.
Devant le majestueux Teide dressé fièrement sur une autre île, face à ces pins qui reverdissaient enfin après un combat contre le feu ravageant une partie de l’île il y a quelques années, au cœur des massifs arides ou luxuriants, sur une plage de sable noir où tanguaient quelques bateaux colorés et se retrouvaient des barbus sortis d’un autre âge, la magie opérait et le cœur battait au rythme de cette nature si généreuse. On y rencontrait même un Appenzellois exilé cuisinant des fondues et le poisson du jour.
Un crépuscule ardent succédait à l’effort et à la découverte et dans une oasis verdoyante, suspendue au-dessus de l’océan, dodelinaient de la tête de délicates fleurs. Dans la douce nuit, effleurées par le vent du large, s’élevaient au firmament quelques notes caressées par les doigts d’une pianiste un peu trop maniérée. La Gomera s’endormait alors sous les étoiles d’un ciel immaculé et immense.
Aujourd’hui flottent encore dans mon souvenir le souffle du vent dans les hauts palmiers et la beauté émouvante d’un dragonnier solitaire. Et même si au-dehors, les bourrasques de neige hurlent autour de la maison, je plonge mes yeux dans les tiens et me perds encore et encore dans le bleu de l’océan et dans la brume vaporeuse de la forêt enchantée.
Dédé © Janvier 2018
On peut penser, oui, que les monts surgissant des nuages sont comme les ilôts d'un archipel.
RépondreSupprimerBonne journée.
Coucou Madame. Oui, ce sont les îlots d'un bel archipel. Belle journée et merci de la visite.
Supprimerquelle bonne idée de partir pour un moment et se ressourcer sur une île.. quand ici il fait gris et il manque de lumière..
RépondreSupprimerlire tes mots bien choisis fait aussi plaisir ...bises
Bonjour Elfi. J'aime l'hiver mais c'est vrai que celui-ci est capricieux et les dernières chutes de neige tombées cette semaine presque en continu me font rêver de ce fameux soleil que j'ai pourtant apprécié il n'y a pas si longtemps.
SupprimerC'était une belle découverte que ce voyage mais le choc thermique au retour n'est pas facile à gérer. C'est pour cela que j'ai laissé les petits flocons qui tombent sur mon blog, c'est pour bien m'habituer à nouveau à l'hiver. :-)) Je t'embrasse et merci de la visite. J'espère que tu as fait le plein de soleil.
Coucou Dédé.
RépondreSupprimerPlus de neige!
Un instant j'ai cru que tu étais Perséphone que Pluton t'avais libérée...
Oui bien sur les palmiers dans tes montagnes ne sont pas pléthore.
Je te taquine...
Bises, bon weekend, A +
Il y a quelques palmiers en Suisse mais pas à mon altitude, c'est sûr. Ils sont plutôt confinés au bord des lacs.
SupprimerMoi Perséphone? Déesse des enfers? Alors que j'étais au Paradis! ;-)
Je t'embrasse mon cher Daniel et passe un doux WE.
Non! non! Prisonnière des enfers seulement en hiver et contre son gré..
SupprimerAux retour des beaux jours elle symbolise le renouveau de la nature.
Les Canaries, je suppose.
RépondreSupprimerBelle description qui fait du bien dans tout le corps
Oui, les Canaries mais en particulier une île. Car les Canaries sont multiples et pas toujours à mon goût...
SupprimerHein oui, cela fait du bien de parler un peu du soleil et d'imaginer des palmiers! Cela nous change de l'ambiance des pistes de ski de fond. Bises alpines tout de même.
Bonjour Dame Dédé,
RépondreSupprimerA vous lire, on s'y croirait ! J'apprécie beaucoup votre seconde photo, d'où il se dégage une certaine douceur de vivre, en même temps que le côté acéré et dur de la montagne... Paradoxes qui sont un peu, je crois, à l'image de votre vie...
Bon week-end, Dame Dédé, et soyez heureuse...
Bonjour Monsieur aux grandes oreilles. Ah, vous êtes là! Plaisir de vous revoir, j'avais l'impression que vous étiez parti. :-)
SupprimerLa deuxième photo me plaît aussi particulièrement avec ces petites maisons colorées qui s'accrochent aux flancs de la montagne. Et j'aime l'avant-plan avec les palmiers. La première photo est plus "montagneuse", la lumière n'était pas facile à gérer car j'étais là-haut aux plus mauvaises heures de la journée pour les photographes, càd celles où le soleil est haut dans le ciel. Les lumières sont un peu dures mais je crois que le résultat n'est pas trop mal avec ce majestueux Teide au loin.
Attention si vous allez vous balader là-bas. Avec vos grandes oreilles, vous risquez de chatouiller les palmiers et ils sont très chatouilleux. :-) Bises alpines et belle fin de semaine.
L'impermanence t'a conduite bien au-delà de tes sommets et des frimas de l'hiver ... pour en retrouver d'autres plus modestes mais au climat plus clément ! Tu les décris avec la même poésie et le même amour de la nature, amour qui semble fusionnel chez toi, où que tu sois. J'ai beaucoup aimé dans ce texte l'évocation de la végétation et la communion avec d'autres promeneurs soucieux de ne pas perturber la quiétude et la magie des lieux. De même, j'aime la 1ère photographie, océan discret entre brume et nuages, loin des images conventionnelles. L'impermanence fait sens, c'est le voyage qui nous l'apprend. Sensible partage ... Bises charentaises ;)
RépondreSupprimerCoucou Espiguette! Le climat était en effet bien plus clément mais nous avons quand même dû essuyer deux jours de pluie et des températures d'environ 6,5 degrés au centre de l'île. Nous avions prévu ce jour-là de faire une randonnée de 4 heures et nous avons dû y renoncer pour nous rabattre par une petite promenade dans la forêt magique. Mais même-là, le vent soufflait fort et il y avait des branches qui jonchaient le chemin et qui venaient de tomber à cause du vent. Mais dès que le soleil revient, les températures remontent vite et c'est tant mieux.
SupprimerJ'ai aussi aimé cette végétation parfois presque inexistante, timide et d'autres fois luxuriante. Comme je n'ai pas l'habitude de voir des palmiers, j'étais très contente d'en saluer. Mais c'est surtout le dragonnier solitaire qui m'a émue. C'est un arbre magnifique mais il en reste malheureusement très peu dans les Canaries. Alors en voir un, dans une brume tenace, c'était un grand moment de bonheur et d'émotion.
En ce qui concerne la première photo, c'était un très beau moment aussi, admirer de loin ce volcan de plus de 3700 mètres de haut, qui se détache des nuages et qui surplombe tout, est aussi émouvant. Surtout que pour avoir cette vue, il fallait bien marcher.
Merci de faire le lien avec le titre de mon blog, impermanence. Bises alpines très très enneigées.
Quelle belle escapade. Bon courage pour la réacclimatation au noir hiver.
RépondreSupprimerCoucou Anne. C'était une très belle escapade. Mais voilà, il faut retourner en hiver, plutôt très très blanc chez moi. Mais ce n'est pas pour me déplaire. Bises alpines
SupprimerBonjour Dédé,
RépondreSupprimerDeux très beaux décors mais sans hésitation je plonge dans le premier, moins peuplé et plus sauvage. :-)
Tu me ramènes à mes souvenirs récents lorsque j'habitais en montagne, là ou les éléments sont rois. Personnellement j'adorais quand la neige tombait à qui mieux mieux, et moi calfeutrée devant la cheminée à regarder les flocons tomber. :-)
Bises et bonne journée.
Bonjour Caroline. Mon coeur balance entre les deux paysages. C'est sûr que le premier est plus sauvage, même si je n'étais pas la seule à prendre la même photo. Il y avait même un jeune homme qui faisait du yoga et j'ai fortement hésité à cadrer ses pieds en l'air, avec le Teide en second plan. :-)) Mais je n'ai pas osé.
SupprimerLa nature est si belle. J'ai eu de la chance de la côtoyer de près durant ce petit voyage. Les randonnées m'ont fait beaucoup de bien, sauf quand il pleuvait des cordes et que le sol était très glissant. Boumbadaboum. (tu vois ce que c'est...).
Bises alpines et belle fin de semaine.
Je vois une terre exotique, comme La Réunion qui souffre d'intempéries en ce moment, mais que la terre est belle, je me suis transportée avec toi dans cette nature vibrante où j'aimerais me perdre, rêver et sentir la douceur du soleil (à l'ombre !)
RépondreSupprimerMerci Dédé pour ces belles images !
Bisous
Coucou Marine. Une terre exotique mais ce n'est pas la Réunion. C'est une île dans les Canaries dont je cite le nom à la fin du texte. ;-). L'avantage, c'est que ce petit paradis n'est pas trop loin en avion car je déteste voyager en avion et je ne me sens jamais à l'aise dans les aéroports, surtout quand il faut attendre des heures pendant les escales. Ne parlons même pas des problèmes de valises et autres joyeuses choses! Contente que ce texte t'ait fait rêver. Il est là pour cela. Je t'embrasse et merci de la visite.
SupprimerJe me suis laissée emporter dans ton sillage, et les yeux grand ouverts par tes mots, j'ai baigné mon esprit et mon cœur d'un paysage envoutant que je ne connais qu'en images, merci !
RépondreSupprimerCoucou! Merci pour ton commentaire. J'espère que le voyage fut bon. ;-) Bises alpines.
SupprimerNos commentaires se sont croisés, je te remercie pour tes voeux et te présent les miens, les meilleurs pour une année bonheur et santé.
RépondreSupprimerJe t'embrasse Dédé
Moi aussi je t'embrasse! ;-)
Supprimer« Sous un soleil brûlant...des dénivelés arides « »un paradis terrestre »à la mesure de courageuses montagnardes...comme toi!
RépondreSupprimerCoucou Miss. Courageuse, sans doute. Mais j'avais l'impression que plus les randonnées étaient longues et plus j'étais en forme. Comme quoi, la marche et le dénivelé me conviennent, si je n'ai pas le vertige. Mais là, les chemins étaient relativement bons et bien entretenus, pas comme l'année passée au Cap Vert. Bises alpines.
SupprimerBon jour Dédé,
RépondreSupprimerTa première photo correspond parfaitement aux endroits ou j'adore aller promener mes baskets.
Ce petit village coloré est vraiment superbement situé.
De jolis mots sur cette belle randonnée que tu nous offres.
Bises et bonne journée
Coucou Pascale. Je randonne plutôt dans ce genre de terrain avec des chaussures de trail et pas des baskets. :-)) (je plaisante). Je suis d'accord avec toi, on a besoin de nature mais ce qui nous sépare, c'est que toi tu te balades avec un très gros objectif. :-) Et moi avec un bien plus petit. :-))
SupprimerLe petit village est bien situé, c'est vrai, avec une plongée directe dans la mer. Merci de la visite et bises alpines.
Plus le temps de te lire ce matin, je repasse ce tantôt, j'aime bien tes flocons de neige.
RépondreSupprimerBisous
Coucou ma Claude. Mais tu passes quand tu veux. Je ne bouge pas. :-) Quant aux flocons de neige, tu sais qu'ils sont faux. Les vrais sont bien plus froids et tu ne les aimes pas beaucoup! :-)) Bisous
SupprimerPas eu le temps non plus hier tantôt, j'ai des obligations administratives, entre le boulot de mon boss et des ennuis du côté du Poitou.
SupprimerJoli texte comme d'hab ! Sûr que les Canaries ne sont pas les Alpes enneigées d'hiver. Mais il est bon des fois de changer son milieu de vie pour quelques jours ou encore mieux pour quelques semaines.
Bon en moment, j'aimerai être ailleurs, c'est encore aujourd'hui, pluie et vent, marre de ce mois de janvier ! Avant hier ma journée fut illuminée par la visite de ma copine du lycée venue fêter avec moi, nos 70 balais.
Le temps de tes montagnes même si il y fait froid doit être plus agréable que celui d'ici, triste et humide, le soleil est en grève et il me manque, en plus je déteste le vent.
Tiens ! J'irai bien aussi aux Canaries, moi !
Bises campagnardes trempées.
Coucou ma Claude. Je comprends que tu en aies marre de la pluie et du vent. Ici il neige encore et encore. Et il y a un fort risque d'avalanche. Néanmoins la nature avait besoin d'avoir de l'eau dans bien des endroits et c'est bien pour elle. Courage. Le printemps arrivera. Un jour ou l'autre. Bises alpines.
SupprimerBonjour Dédé,
RépondreSupprimerEt voilà que notre "Dédé Nationale" quitte ses Alpes puis aller dans les Iles Canaries. Souvent lorsque l'on pense à ces endroits on imagine plus la mer. Tes photos sont belles et tu écris très bien.Exotisme et amour de la nature ressortent.
Un joli billet pour ce début d'année.
Belle journée. Bises des Alpes du Sud
Coucou ma chère Elisa. Et oui, il fallait laisser un peu les Alpes pour mieux les retrouver. Quoique je ne les aies pas beaucoup vues cette semaine tellement il fait mauvais. Entre mardi et ce matin, pas un seul rayon de soleil mais beaucoup, beaucoup de neige. C'est vrai que les Canaries sont souvent présentées comme le must pour les plaisirs maritimes mais il y a aussi un autre tourisme, celui de la randonnée, notamment sur Tenerife, la Gomera, la Palma et El Hierro. J'étais à la Gomera. Les bords de mer sont trop escarpés pour les grands complexes hôteliers balnéaires et c'est tant mieux. Cela évite le tourisme de masse. Du coup, moins de touristes, et un tourisme plus responsable et écologique, ce qui n'est pas pour me déplaire. Et surtout de superbes chemins de randonnées, même s'ils sont un peu "vaches" car beaucoup de dénivelé. Mais c'est beau. Merci de ta visite et bises alpines.
SupprimerBonjour Dédé
RépondreSupprimerDes Canaries, je n'ai pas vu grand chose ! La ville de Las Palmas sur Gran Canaria, la station balnéaire de Puerto Colón sur Tenerife et puis c'est tout ! J'ai laissé dans le sillage de mon voilier ces îles qui ont progressivement disparu alors que nous avancions vers l'ouest pour nouvelle traversée de l'Atlantique à la voile... Dois-je regretter de n'en a voir pas plus vu comme ton texte illustré pourrait m'y inciter ?
Bises
Hello Christian. Je te laisse déjà lire ma réponse ci-dessus à Elisa. Je dois dire que je n'aime guère le tourisme de masse que l'on trouve quand même dans plusieurs îles des Canaries. Je déteste cordialement ces grands complexes hôteliers, que j'ai pu voir notamment sur Tenerife. Tenerife comporte heureusement toute une partie bien plus sauvage, notamment autour du Teide que tu vois sur la première photo. J'ai aussi visité Lanzarote, très volcanique mais avec peu de possibilités pour la randonnée. Là j'étais à la Gomera, vraiment superbe et préservée de certains Allemands et Anglais qui ne songent qu'à rester au bord de la piscine, à boire et à manger...Si tu as l'occasion, je te conseille la Gomera, et il y a même un guide Rother (en anglais) pour le choix des randonnées. Que du bonheur! Je t'embrasse et belle fin de semaine.
SupprimerJe ne te connais que trop peu et (hélas) virtuellement mais puis t'affirmer que où que tu sois, avec les sentiments de générosité et d'ouverture qui t'habitent, la nature ne te décevra jamais et t'apportera toujours émerveillement et réconfort. Tu es allée chercher l'été en hiver......tu en avais besoin.
RépondreSupprimerBises de mon midi qui, pour le moment, ne sait pas ce qu'hiver veut dire
Coucou Chinou. C'est déjà bien de se rencontrer virtuellement et qui sait, une fois? dans le Midi? Ou ailleurs? ;-) Je sais que la nature ne me décevra jamais, contrairement à certains humains qui peuplent cette planète. ;-) Je suis allée en tous les cas chercher le soleil mais pas forcément l'été, car là-bas, c'est l'hiver. Le soleil peut chauffer en journée mais les nuits restent fraîches et comme je le disais plus haut dans un commentaire, il a fait froid aussi, avec des températures avoisinant les 6 degrés. Brrrrr. Heureusement j'avais prévu les habits chauds aussi! Mais je n'ai pas vu de neige, sauf sur le sommet du Teide que tu vois sur la première photo.
SupprimerBises en provenance des Alpes qui connaissent un vrai hiver. ;-)
La nature en bleu et blanc, les œufs en neige des remontées mécaniques.
RépondreSupprimerLes oeufs en neige? Ah non? pas là bas. :-)) Tu n'as pas bien lu. :-))
SupprimerTellement beau, superbe!!! Bise, bon vendredi dans la joie!
RépondreSupprimerCoucou ma belle. Oui, c'était beau! Bises à toi aussi et belle fin de semaine.
Supprimerbonjour Dédé ah oui quel beau texte et illustré par 2 beaux clichés j'aime !!! merci passe un beau weekend a+
RépondreSupprimerCoucou mon Bébert. Contente si cela te plaît. Les photos et le texte. Je vous souhaite également un beau WE et bises!
SupprimerBonjour
RépondreSupprimerMoi aussi parfois j'aimerais partir loin de tout en pleine nature sans rencontrer qui que ce soit pour me ressourcer...Malheureusement, ce n'est qu'un rêve pour moi...
Toujours plaisant à lire tes écrits et voir tes sublimes photos!
Bisous
Hello la Louve. J'ai de la chance de pouvoir voyager un peu, c'est vrai. Et je me rends compte de la chance que j'ai. Alors j'essaie d'en profiter au maximum et de partager un petit peu. J'espère que je t'ai fait rêver et je t'embrasse. A bientôt pour de nouvelles aventures.
Supprimermagnifiques paysages!!! pour répondre a ta question seul le nom de l'artiste figure sur la fresque sans aucune explication si ce n'est "Artiste Américain né en 1961" !! ci joint un lien concernant cet artiste: http://www.blog.stripart.com/art-urbain/daze-graffiti/ !! amitiés
RépondreSupprimerMerci Jean-Pierre. Il faut féliciter dame Nature. :-) Alors je vais aller voir le lien que tu me donnes pour comprendre un peu cet artiste né en 1961. ;-) Bises alpines.
SupprimerTon écriture ample et fertile sait si bien décrire qu'on se délecte de tout paysage que tu contemples.
RépondreSupprimerEt ça fait un bien fou !
Merci pour cette splendide Lettre d'Ailleurs dont toi seule a le secret, grande voyageuse !
Bises célestes et enchantées
¸¸.•*¨*• ☆
Coucou Célestine. La marche me permet d'inscrire dans ma tête tout ce que je vois et tout ce que je ressens. La lenteur du mouvement, l'effort et la contemplation forment un tout qui me fait tellement de bien. Alors je suis contente que cela te plaise et je vais réfléchir à peut-être faire une petite suite à la "Lettre d'Ailleurs". Tiens, cela me donne une idée pour libeller ainsi mes textes de voyage. Merci de l'idée! Je t'embrasse infatigable lectrice et commentatrice. ;-) Et écrivaine aussi bien sûr!
SupprimerC'est un plaisir que tu aimes mon idée...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Bonjour Dédé, comme toujours, je trouve tes photographies superbes! J'adore la dernière surtout qui laisse paraître le tout tellement grandiose.
RépondreSupprimerTes mots reflètent bien ce que le mouvement de tes yeux ont pu voir.
Bises et bon vendredi à toi.
Coucou! Contente alors que cela te plaise toujours autant. J'ai eu la chance de voir le soleil et de découvrir une nature différente de celle de mon quotidien. Mais cet après-midi, j'ai profité de l'accalmie entre deux averses de neige et j'ai respiré le bon air frais dans la nature, entourée des sapins chargés de neige. Cela m'a fait penser à un de tes derniers billets. Je t'embrasse et à bientôt.
SupprimerBonjour chère Dédé, je suis heureuse de ton retour. J'espère que cette belle pause aura été bénéfique. Ton choix de vacances est une merveille et je me régale de tes mots et tes photos font rêver. Merci d'écrire si joliment ton dépaysement :-) J'aime beaucoup.
RépondreSupprimerJe t'envoie de gros bisous ♥ en souhaitant que la neige cesse chez toi ♥
Bonjour ma chère Denise. Je suis aussi contente de retrouver tous mes fidèles lecteurs et de reprendre mes visites chez eux. Je dois dire que cela m'avait manqué même s'il est important de faire parfois des pauses.
SupprimerMon choix de vacances s'est fait très vite, un peu en dernière minute je dois dire même si j'avais déjà lu pas mal de choses sur la Gomera et sur les possibilités de randonnées que l'on peut y faire. En tous les cas, je conseille cette destination à toutes les personnes qui aiment bien marcher. Car c'est vraiment très beau et agréable de se sentir presque seul dans cette nature si généreuse. Tu dois connaître cela quand tu fais des raquettes.
Quant à la neige, elle a cessé de tomber ce matin. J'en ai profité pour faire une petite sortie photo cet après-midi mais le temps est de nouveau maussade maintenant et je crains que cela ne recommence. Je pense qu'il y a plus d'un mètre... Mais c'est l'hiver. Et un vrai hiver comme je les aime.
Je t'embrasse et te souhaite une belle fin de semaine.
alors tes merveilleuses descriptions/impressions donneraient envie d'aller n'importe où dans le monde... je suis bien contente que ton article flingue dans mes souvenirs les clichés affreux que j'avais du week end à Ténérife de David Lodge -( thérapie)
RépondreSupprimerCoucou Emma. Je ne suis pas sûre que je pourrais décrire ainsi quelque chose qui ne me plaît pas. Quant à Tenerife, c'est l'île à côté de la Gomera. J'y ai fait une escale car le bateau ne partait que le lendemain et j'arrivais un peu tard avec l'avion. Je suis restée à Los Cristianos et j'ai... détesté: tourisme de masse, immeubles affreux, ambiance bien trop bruyante, nourriture immonde dans un hôtel miteux... J'étais bien contente de partir dès le lendemain et de retrouver une belle île tranquille. Pourtant Tenerife a ses charmes, notamment dans le parc entourant le fameux Teiode. Bises alpines.
SupprimerLa Gomera, j'y suis allée en 2013, c'est une île magnifique et j'ai aimé la retrouver dans tes mots et tes photos!
RépondreSupprimerHello Marie. Une très belle île assurément avec des paysages à couper le souffle. Je suis contente d'avoir ravivé tes souvenirs. Bises alpines.
SupprimerBonjour, nous voilà bien loin de la blancheur immaculée de tes montagnes; comme je ne savais pas où c'est, je suis allée voir sur internet; si je pouvais me téléporter, j'irais immédiatement, peu de soleil, et de la pluie, encore et toujours! je te souhaite une bonne soirée, et un bon w end bisous
RépondreSupprimerHello Francine. Il faut garder espoir. Le soleil va revenir sur Paris. Il a fait une petite percée chez moi cet après-midi mais maintenant il a recommencé à neiger. Ah! la téléportation. Si seulement on pouvait se téléporter, ce serait super! Bises alpines et courage sous la grisaille.
Supprimerune fois de plus n=tu nous emportes vers des rivages inconnus nous laissant le soin d en rêver et de les imaginer... bonne soirée ma belle bisous
RépondreSupprimerCoucou Chris. Je devrais écrire pour des magazines de voyage. :-)) Bisous et belle soirée aussi.
SupprimerBonsoir Dédé,
RépondreSupprimerAh, Tenerife...
J'y ai passé des vacances il y a si longtemps... Mais je m'en souviens bien.
J'aime beaucoup ton style d'écriture.
Bisous à travers les averses de pluie!
Mo
Coucou Mo. Le Teide est sur Tenerife. Mais moi j'étais à la Gomera. 😊 Merci pour la visite et bises alpines.
SupprimerJ'ai eu un loupé de lecture : j'ai dû voir Teide quelque part au vol sur un commentaire et occulté que tu parlais de la Gomera... Tu parles d'un télescopage...
SupprimerBisous confus,
Mo
Au début de ton récit, quand tu parles de "cet amas volcanique" j'ai cru que tu étais de retour au Cap Vert.
RépondreSupprimerMais, quelques lignes plus loin, les "stations balnéaires" que tu évoques m'ont plutôt fait penser aux Canaries.
Tu as rudement bien fait d'aller te changer les idées dans ce petit paradis de La Gomera. Un endroit que je ne pourrai jamais visiter qu'en rêve !
Pourtant, tout comme toi, je suis fascinée par ton "majestueux dragonnier esseulé". J'ai découvert cette sorte d'arbre parasol dans les photos de l’île de Socotra et j'en suis immédiatement tombée amoureuse.
Merci pour m'avoir fait voyager à moindre frais, chère Dédé, bises bien fraîches de la nuit yvelinoise
Bonsoir Tilia. Il était beau ce dragonnier mais un peu seul et entouré d'une clôture pour le préserver d'éventuels dégâts. Malheureusement il en reste très peu dans les Canaries alors que c'est un arbre merveilleux. J'étais très émue d'en voir un de près. L'année passée, j'en avais aperçu un de loin au Cap Vert.
SupprimerUn arbre parasol. Ici il nous faudrait des arbres parapluie avec tout ce que le ciel nous envoie depuis quelques jours. Je t'embrasse et contente de t'avoir apporté un peu de soleil. 😊
C'est une belle description d'un lieu tentant, pour peu, comme tu l'as fait, de se tenir éloigné des lieux les plus touristiques et dénaturés. Il y a quelques années j'ai été tenté aussi, sans concrétiser : il m'est devenu difficile de faire abstraction de l'impact écologique des voyages aériens...
RépondreSupprimerMerci pour ce partage lumineux, alors que le soleil ne se montre guère en cet hiver décidément bien perturbé.
Hello Pierre. Il est vrai que voyager ne se fait pas sans conséquences. Mais j'essaie de choisir mes destinations pour ne pas être dans le tourisme de masse, que je fuis! Et malheureusement dans les Canaries, le tourisme de masse est plutôt la norme. Heureusement ce n'est pas le cas de la Gomera qui a su gardé son identité et ne pas construire à tout va.
SupprimerLe soleil me paraît pourtant bien loin aujourd'hui. Avec les abondantes chutes de neige ou autres tempêtes, inondations et glissements de terrain, le retour chez moi est perturbé. Bises alpines et merci de la visite.
Bonjour Dédé
RépondreSupprimerLa neige, c'est beau chez les autres ☺️ je n'en ai pas vu chez moi mais je peux admirer la chaîne pyrénéenne tout de blanc vêtue qui resplendit sous le soleil quand il veut bien nous faire une faveur...
Je me suis laissée emporter vers ce paradis.
Je te souhaite un bon week-end.
Bises
Coucou ma chère poétesse. La neige, c'est beau mais je peux te dire qu'avec les quantités de neige que nous avons eues depuis le début de l'hiver, la situation devient vraiment difficile dans mon canton. Le risque d'avalanche est élevé et les routes très mauvaises. J'en ai fait l'expérience cet après-midi encore en me plantant dans la neige avec ma voiture. ;-( Heureusement de gros bras sont venus pousser. Alors le soleil manque un peu mais c'est ainsi. J'ai eu la chance de partir en vacances, je ne vais pas me plaindre. Et c'était vraiment le "paradis", comme tu le dis. Bises alpines.
SupprimerBelle évocation et partage, d'autant plus appréciable que je ne sais absolument pas écrire comme ça !
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup la photo du bas. Bravo.
Et ça souffle fort à Nantes, et nous ne rompons pas !
Coucou K. Tu écris différemment, avec un tout autre style! Appréciable aussi!. Merci pour la visite et attention à ne pas t'envoler. :-) Bises alpines.
Supprimerc'est très beau ma dédé tu devais être heureuse dans ce grand rien : isolée pour faire le "."
RépondreSupprimerPar contre je sais pas si tes photos vont pas souffrir de la neige qui continue à tomber sur ce blog
Coucou mon barbu. J'étais très heureuse, sauf quand il pleuvait et que je glissais sur le chemin et qu'il faisait 6,5 degrés dans la forêt. Pour ce qui est de la neige, elle tombe tellement en réalité que celle qui tombe sur mon blog est tout à fait insignifiante. Bisous!
SupprimerC'est un plein bonheur de te suivre dans tes déambulations de marcheuse... D'un paysage à l'autre, marcher, rêver, dériver, éprouver son corps tout en avalant l'espace parcouru...
RépondreSupprimerTu nous donnes à voir la beauté dans toutes ses dimensions. Merci pour ça, pour le voyage, pour la belle écriture :-)
Bises noyées dans la brume
Coucou Madame. Contente de te faire voyager. J'aime partager mes impressions et là, j'ai vraiment de très bons souvenirs et de belles images dans la tête et sur la carte SD de mon appareil de photo. :-) Alors autant en faire profiter les autres. Bises alpines qui émergent à peine de la neige qui continue de tomber... 1,5 mètres... C'est beaucoup...Le risque d'avalanche est élevé.
SupprimerDépaysement garanti ! Riche idée d'aller vers le soleil en ces temps gris et un peu tristes. Bon retour et bon courage !
RépondreSupprimerHello Daniel. J'ai fui la neige et les tempêtes... mais depuis mon retour, il continue de neiger et les tempêtes se succèdent. Le soleil me paraît bien loin. Heureusement que j'ai les photos pour m'en rappeler. Bises alpines et merci de la visite.
SupprimerCoucou Dédé, te voilà de retour et tu nous ramènes de belles et méritantes promenades au soleil. Et comme toujours tes mots talentueux qui nous entrainent à la suite de tes pas et de ton regard.
RépondreSupprimerCoup de coeur tout particulier pour la deuxième image ses terrasses au soleil et ses maisons aux couleurs joyeuses. Mais je sais aussi reconnaître la photographe méritante de ta première photo, photographe qui a su cheminer entre les rochers pour nous montrer au loin un autre majestueux sommet.
Le soleil nous manque aussi en Alsace. Il pleut ! Il pleut ! Il pleut !
Un mètre de neige chez toi ♥ ♥
Hello dame Fifi. J'aime bien cette photo aussi, je l'ai prise pour me rappeler les jolies petites maisons qui s'étalent sur les flancs de la vallée. Elles donnent une note de couleur chatoyante au paysage et j'ai beaucoup apprécié cela. Cela change de mes chalets en bois! :-)
SupprimerQuant à la première, oui, il fallait mériter cette vue après une bonne randonnée. Je t'embrasse.
P.S. Ici, il neige, il neige, il neige, il neige, il neige. :-)
"Nephology" le nom anglais/américain pour "étude des nuages" je n'en ai pas trouvé la correspondance en français... Un grand oiseau semble ici t'accompagner dans tes randonnées. Les volcans dégagent souvent de bien beaux paysages mais mieux vaut les observer de loin. Tu as assez de soucis passagers pour en rajouter d'autres... Des promenades fatiguantes mais sûrement très revigorantes. Que la montagne continue à t'inspirer avec des mots et des images.
RépondreSupprimerCoucou Thérèse. J'adore les volcans, ceux qui sont éteints et qui ceux qui crachent toujours. J'ai eu l'occasion de voir le Stromboli et une éruption il y a de cela quelques années et c'était merveilleux. Mais toute l'approche pour voir le cratère et surtout la redescente de nuit et dans les amas de cendre (casque et lampe frontale) était épique.
SupprimerPar contre, sur la Gomera, l'activité volcanique est au repos depuis de très nombreuses années. Alors pas de souci pour faire de la randonnée. Le Teide, que tu vois sur la première photo, n'a pas connu d'éruption depuis 1909. Mais il peut bien sûr se réveiller.
Et le grand oiseau, je ne l'avais pas vu mais maintenant je le vois. ;-) Bises alpines.
Comme quoi chacun découvre toujours ce qu'il veut bien découvrir aussi bien dans les photos des autres que dans les siennes propres, bonne fin de semaine Dédé.
SupprimerMaintenant, grâce à toi, je ne vois que l'oiseau. :-)) Bisous!
Supprimertoujours de merveilleux paysages, préférence pour la deux grandiose.
RépondreSupprimerMerci Gérard! Bises!
SupprimerJe t'ai lue longuement, comme je savourerais un délicieux plat dont je ferais la découverte. Chaque mot est un épice différent et exotique. Mais le goût essentiel reste celui d'un bonheur partagé, plein de soleil.
RépondreSupprimerAu milieu de toutes ces tempêtes, j'ai senti les rayons du soleil.
merci.
Coucou! Merci pour tous ces compliments qui me touchent. J'ai vraiment essayé de choisir les termes les plus appropriés pour illustrer ce que j'avais ressenti durant toutes ces randonnées et ce voyage. Contente d'avoir partagé un peu de soleil avec toi. J'espère que tu as fait le plein de rayons pour pallier au manque de lumière de ce mois de janvier. Bises alpines.
SupprimerBonjour Dédé, quand je lis ton beau texte je vois un magnifique paysage qui se laisserai photographié pour ne garder qu'un très beau souvenir. Continue dans cette belle douceur et bonne fin de weekend ! Ah et j'oubliai la bise !!
RépondreSupprimerCoucou Jean-Pierre. Alors je vais tenter de continuer dans le mode "douceur", pour le plus grand bonheur de mes lectrices et lecteurs. Merci de la visite et bises alpines! Belle semaine.
Supprimerun petit coucou en passant... gros bisous
RépondreSupprimerMerci. Belle fin de dimanche. Bises!
SupprimerJ'ai fait la promenade avec toi moi qui aime la montagne aussi mais qui n'en suis pas et ne peux pas vraiment la pratiquer puisque j'ai le vertige et le souffle court because petits poumons riquiquis. Mais ici, j'ai tout fait puisque tu te fatiguais pour moi :) Magnifique et majestueux! Merci
RépondreSupprimerHello Edmée. Alors mince pour les petits poumons "riquiquis". ;-) Mais tu sais, j'ai aussi le vertige. Mais là, les chemins étaient bien tracés et je n'en ai pas souffert. Par contre, l'année passée, j'étais allée au Cap Vert et la qualité des chemins n'était pas du tout pareille et j'ai énormément souffert de vertige. J'ai même dû rebrousser chemin une fois. Merci pour la visite et la prochaine fois, je te mets dans le sac à dos pour que tu puisses me suivre. ;-) Bises alpines.
SupprimerBonjour
RépondreSupprimerOh ça oui tu me fait rêver avec tes textes, je voyage sans bouger, des images pleins la tête!
Bisous
Coucou la Louve. Mais tu as dû bouger les doigts pour pianoter sur ton clavier et ouvrir ma page. :-)) Bisous.
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RépondreSupprimerUn petit coucou, pour te souhaiter une belle année. Je viens de terminer un très beau roman "les huit montagnes... "J'ai pensé à tous les amoureux de la montagne, dont tu fais partie. Je t'embrasse...
Coucou. Une belle année à toi aussi. J'ai acheté ledit roman mais je ne l'ai pas encore lu! :-) Cela ne saurait tarder. Bises alpines.
SupprimerDe bien jolis paysage !
RépondreSupprimerAssurément! 😊
SupprimerGrimper au-dessus des nuages
RépondreSupprimeradmirer la vue offerte
s’offrir à la Vie
Merci pour cette belle communion avec la Nature
Coucou Pascal. C'est vrai que j'ai eu l'impression à plusieurs reprises de marcher au-dessus des nuages. Ils montaient depuis la mer et s'élançaient à l'assaut des contreforts. Mais ouf, pour la première photo et lors de cette randonnée extraordinaire, ils sont restés à basse altitude. Merci de ta visite et bises alpines.
SupprimerBonsoir Dédé ! alors tu as vu l'île magique aux multiples paysages, entre son sable noir, ses palmeraies et ses canyons arides ! laquelle continue d'égrener ses mystères et ses beautés !! as-tu pu te promener dans la fascinante forêt humide ? Tout cela m'a été gentiment raconté... malheureusement je n'y suis pas allée... merci ma chère Dédé pour ce beau billet offert en partage.
RépondreSupprimerDouce soirée à toi.
Bisou.
Den
Coucou ma poétesse provençale. Oui, j'ai découvert l'île magique avec un très très grand plaisir. Je me suis promenée au sommet des montagnes mais également dans la forêt mystérieuse. Nous y sommes allés quand le temps n'était pas très beau, nous étions à l'abri du vent et de la pluie. Je montrerai peut-être quelques images. Je t'embrasse et je te souhaite de passer une belle semaine.
SupprimerTu supportes le choc climatique ? Car ca doit être marée haute chez toi en ce moment...
RépondreSupprimerCoucou mon Claude! Difficile le retour. Mais nous avons eu quelques jours de relativement beau temps le WE qui a suivi le retour. Par contre, la semaine passée a été passablement chahutée en montagne. Beaucoup de neige n'est-ce pas et des paysages féériques. Mais samedi, j'étais dans le Chablais et là, c'était des pluies diluviennes, des routes fermées, des craintes de glissement de terrain. Et quand je suis rentrée hier après-midi chez moi, j'ai planté ma voiture qui ne voulait plus avancer en montée et qui s'est mise à glisser, presque dans un mur. Ouf, à quelques centimètres, c'était bon et 3 hommes fort sont venus pousser. Aujourd'hui, je vais rester confinée chez moi car il continue de neiger. Et toi aussi apparemment, tu vas devoir rester au village d'après ce que j'ai vu. Ah, quel bel hiver! :-)) Bises alpines très très enneigées.
SupprimerBeau texte et photographies saisissantes : j'ai particulièrement aimé les petites maisons colorées (la turquoise me fait rêver). Moi qui avait parié un kilo de sugus sur Fuerteventura : pari perdu. Mais j'ai gagné une île car je ne connaissais pas celle-là! Bon lundi, Dédé!
RépondreSupprimerCoucou ma Dad. J'espère que ton séjour s'est bien passé! J'ai regardé à nouveau la petite maison turquoise. C'est vrai qu'elle claque dans la pente! J'imagine un oranger à côté, une petite terrasse pour regarder la mer au fond de la vallée et un douceur de vivre. Oui, tu as perdu ton pari, pas de sugus (tes dents te remercient!). La Gomera est moins connue que d'autres îles des Canaries et c'est tant mieux. J'y ai beaucoup apprécié l'ambiance bonne enfant parmi les randonneurs. Il n'y avait pas de gros hôtels "all inclusive" et donc un tourisme plus doux et fort agréable. Si tu as l'occasion une fois d'y aller, je te la conseille. Belle journée à toi aussi. Ici, il continue de neiger, encore et encore. Cela devient inquiétant...
Supprimerbon choix de destination, merci pour ce partage à travers les photos et texte.
RépondreSupprimerCoucou. Merci à toi pour la petite visite dans l'île paradisiaque. Bises alpines et belle semaine.
SupprimerQuelle belle évocation des îles Canaries où j'aimerais aller. Dans tes mots je retrouve les émotions et sensations ressenties à Madère autre île montueuse au climat sub tropical. Merci Dédé Bises méditerranéennes
RépondreSupprimerHello le cascadeur. Ah, et bien j'aimerais bien aussi aller à Madère. Je crois que le climat est sensiblement le même, peut-être un peu plus humide mais il y a de belles randonnées à faire également. J'ai utilisé le guide Rother pour la Gomera. Je crois qu'il en existe aussi un pour Madère. Tu me fais envie! Bises alpines et belle semaine.
SupprimerJ'ai la tête dans les nuages pour y cueillir un rêve
RépondreSupprimerCoucou Robert. Ne reste pas trop dans les nuages. Il ne fait pas si chaud tout là-haut! ;-) Bises alpines.
SupprimerAu milieu de l’océan, le Paradis ! Quel régal que de lire ton texte, les mots émettaient des fredonnements de silence de peur de troubler la quiétude des lieux et la plénitude des sommets de montagne nourris de blancheur céleste. On dirait que tu as vécu dans un pays de Cocagne. Je savourais chacun de tes mots palpitant, captivant, coloré du bleu du ciel, du vert de la mer. Telle oasis luxuriante, belle et pleine de recueillement, îlot de verdure dans une île d’océan.
RépondreSupprimerJe n’ai pas visité ta sublime île, mais j’ai bu tes mots comme un nectar des dieux en imaginant ce que la vie a de si beau à nous offrir.
Merci Dédé,de tout cœur pour ce voyage de rêve
Bisous colorés de blanc de neige et du bleu céleste.
Coucou mon cher ami poète. Tu as raison, c'était un peu le Paradis. Enfin, si le Paradis ressemble à la Gomera, je me dis que ce sera agréable d'y accéder peut-être une fois. ;-) Bises alpines et merci de ta visite dans mes colonnes.
Supprimerau diable les stations balnéaires et vive ce genre d'endroits
RépondreSupprimerExactement les bestioles! Et on envoie aussi au diable les touristes primaires qui se pètent le tube au bord de la piscine et qui ne font pas l'effort de connaître le pays où ils sont en vacances. ;-)
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