Les terres brunes et désolées étaient balayées par la tempête. Parfois un carré de verdure, délimité par un muret de pierre, brisait la monotonie de la tourbe. Et dans cet écrin entrecoupé de lacs, les chevaux paissaient, crinière au vent, éclairés fugacement par quelques rayons de soleil.
Dans ce coffret laissant s’échapper des mots en gaélique et des notes d’une flûte venues de la nuit des temps, il n’y avait plus rien à dire, juste à contempler et à caresser du bout des doigts les effluves multiples qui jaillissaient de la campagne.
Ma silhouette en marche, entre le gris et le vert, dans la tourbe et dans l’eau, s’est perdue aux tréfonds du brouillard, rejoignant ton ombre sur le chemin mystérieux. Alors, nous avons parcouru ce paysage du bout du monde, comme envoûtés et tel un magicien des songes, le Connemara nous a guidés jusqu’au bout de nous-mêmes.
A cet instant, j’ai su parler la langue des brumes éphémères et j’ai appris la chanson de la terre. Et pendant que tes yeux me caressaient, j’ai bâti le château de nos rêves avec des poussières d’étoiles.
Nous y avons vécu cachés jusqu’à ce que l’écume des vagues emporte tout.
Dans ce coffret laissant s’échapper des mots en gaélique et des notes d’une flûte venues de la nuit des temps, il n’y avait plus rien à dire, juste à contempler et à caresser du bout des doigts les effluves multiples qui jaillissaient de la campagne.
Ma silhouette en marche, entre le gris et le vert, dans la tourbe et dans l’eau, s’est perdue aux tréfonds du brouillard, rejoignant ton ombre sur le chemin mystérieux. Alors, nous avons parcouru ce paysage du bout du monde, comme envoûtés et tel un magicien des songes, le Connemara nous a guidés jusqu’au bout de nous-mêmes.
A cet instant, j’ai su parler la langue des brumes éphémères et j’ai appris la chanson de la terre. Et pendant que tes yeux me caressaient, j’ai bâti le château de nos rêves avec des poussières d’étoiles.
Nous y avons vécu cachés jusqu’à ce que l’écume des vagues emporte tout.
Dédé © Octobre 2018
Une terre de légendes et on aime entrer dans la légende, rien que de voir les images on croit entendre la chanson de Michel Sardou
RépondreSupprimerBelle journée
Amicalement
Claude
Coucou Claude-toujours-le-premier-à-commenter. :-) Certes, Michel Sardou a fait du Connemara une chanson célèbre mais le Connemara, c'est bien plus que cela. Belle journée et bises alpines.
SupprimerTu as raison, quand Sardou a fait sa chanson il n'était jamais allé dans cette région, il s'est inspiré d'un prospectus qui vantait cette région pour écrire sa chanson, moi personnellement je ne connais cette région que par les très rares documentaires qui passent à la télévision
SupprimerAmicalement
Claude
Ces paysages très romantiques sont toujours exaltants pour l'inspiration ! Bonne journée.
RépondreSupprimerBonjour. Je crois que ces chevaux dans cette prairie m'ont beaucoup inspirée. Bises alpines et belle fin de semaine.
SupprimerCette photo donne envie d'une bière tiède dan un pub...
RépondreSupprimerCoucou Jeanmi. Bon, alors allons dans un pub et buvons une bonne Guinness mais après, on ira profiter du vent, du soleil, des lacs et de la mer!
SupprimerBon jour Dédé,
RépondreSupprimerC'est une très belle photo que tu nous présentes, et qui accompagnée de tes mots nous offre en plus les goûts et les odeurs.
C'est toujours un réel plaisir que de te lire, alors merci pour cet instant cadeau.
Bises et bonne journée
Hello Pascale. Alors tu as senti l'odeur de la tourbe? Et pas seulement parce que tu as mis le nez au-dessus d'un verre de whisky? :-) Bises alpines et belle journée et merci de la visite.
SupprimerTerre et mer. Couleurs chaudes, couleurs froides. Chevaux évoquant tout à la fois l'apaisement et la liberté. Dans cette photographie, des contrastes, des émotions pas forcément compatibles se rejoignent et se complètent harmonieusement. Comme les deux amoureux de l'histoire, peut-être ? Merci et très belle journée à toi!
RépondreSupprimerCoucou ma chère Dad. Dans le Connemara, il y a beaucoup de moutons, quelques vaches et quelques chevaux. J'ai trouvé ceux-ci particulièrement élégants dans ce pré, en-dessous de ce ciel chargé de nuages noirs. (qui ont donné de la pluie quelques heures après). Juste une petite précision: Il ne s'agit pas de la mer en arrière-plan mais bien d'un lac. Il y en a une multitude là-bas, des petits et des grands. Celui-là était particulièrement grand.
SupprimerQuant aux amoureux de l'histoire... je n'en dirai pas plus. :-)) Bises alpines et très belle fin de semaine dans les couleurs automnales.
bonjour Dédé , oui magnifique photo et un paysage waouh j'aime ++++++++++++++ ! et ton beau texte est un régal à lire merci
RépondreSupprimergros bisous belle fin de semaine a+++ en pause ...
Coucou Bébert-l'enthousiaste! :-) Merci de la visite et n'hésite pas à revenir. Et je te souhaite une belle pause à toi et à Madame. Prenez bien soin de vous. Bises alpines et à bientôt!
Supprimerune symphonie de couleurs d'automne! beau...bises
RépondreSupprimerCoucou Elfi. Sauf que... la photo a été prise en août dernier. Mais on y trouve quelques couleurs chaudes. Bises alpines et belle fin de semaine.
SupprimerCoucou Dédé.
RépondreSupprimerHo! Que cela est bien dit !
Dire que des arriérés (je dis cela car je suis poli) veulent rétablir ses frontières avec un tel pays...
Tu retrouveras une région avec certaines similitudes sur "le Plateau des Milles Vaches" (avec moins d'étendues tout de même) lac tourbières, tout y est...
Bises du littoral.
Très bon weekend, A +
Coucou mon Daniel. Je n'ai pas tout compris ton propos sur les arriérés... :-) Sais-tu que je ne suis jamais allée sur le plateau que tu cites? Mais si j'y vais, je vais compter si vraiment il y en a 1000!
SupprimerJe suis en train de regarder des photos, c'est vrai que c'est une très belle région. Bises alpines et belle fin de semaine à toi aussi.
..je nome ainsi les partisans de "Brexit"..
SupprimerL'Irlande n'est pas l'Angleterre.
SupprimerUn rêve qui a la vigueur de la brume qui constelle la peau d'une fraicheur délicieuse et sournoise, des herbes et plantes rudes qui caressent en mordillant les chevilles, des nuages nerveux derrière lesquels le soleil rit aux éclats... et l'amour, le vivre tout ça à deux...
RépondreSupprimerAttention ma chère Edmée, le Connemara est traversé de grands vents alors pour les amours dans les prés avec les plantes rudes, c'est un peu frisquet. :-)) Bises alpines et belle fin de semaine.
SupprimerBonjour Dédé
RépondreSupprimerIrlande, terre ancienne où les légendes et de traditions. Deux passages à des années de distance mais j'y retournerais bien volontiers.
Bises savoyardes
Coucou Christian le Savoyard. Alors n'oublie pas de boire une bonne Guinness dans un petit pub oublié des touristes. C'est là que l'Irlande prend toute sa saveur. Bises alpines.
SupprimerUn pays et des paysages envoûtants, qui me rappellent aussi, irrésistiblement ma Bretagne.
RépondreSupprimerCoucou Loïc. Il est vrai que ce sont deux pays avec des fortes traditions celtiques. Et balayés par les vents, les embruns et l'odeur de la terre.
SupprimerUne photo et un texte enchanteurs. On voit bien la lumière sur les robes et le moindre brin d'herbe au premier plan alors que la mer la côte et le ciel au loin sont dans l'ombre...
RépondreSupprimerTu as eu de la chnace d'échapper au piège du Kelpie qui t'aurait entrainée dans la mer et noyée si tu n'avais été sauvée par l'Amour...
(CF le merveilleux film le cheval venu de la mer)
Coucou ma belle. Ah! Mais qu'en sais-tu? Tu sais, le Kelpie, j'en fais mon affaire. Il n'a qu'à bien se tenir. :-) Et puis s'il me pousse à l'eau, il aura à faire à une excellente nageuse. (J'ai des palmes rétractables au bout des pieds).
SupprimerCoucou ma Dédé !
RépondreSupprimerDieu que c'est beau ! Je crois que je te l'ai déjà dit, tu as une prose qui ressemble à de la poésie.
J'aime le rayon de soleil sur le manger des chevaux.
Sardou le chantait bien le Connemara.
Gros becs
Coucou ma Claude. Mais finalement, si je suis ton raisonnement, Sardou n'a qu'à bien se tenir devant ma prose. :-))
SupprimerIls ont eu de la chance ces chevaux de pouvoir profiter de quelques rayons. Car après, la pluie s'est mise à tomber et le vent à souffler très fort. Bises alpines et douce fin de semaine.
Hi hi hi !
Supprimeril y a des lieux si chargés d'âme et de légende que simplement prononcer leur nom envoie des bouffées oniriques
RépondreSupprimerAllez, je souffle très fort pour que les bouffées traversent toute la terre. Il est bon d'être baigné dans les songes.
SupprimerUn peu triste mais si beau
RépondreSupprimerMélancolique assurément, triste pas tout à fait. Beau sans doute. :-)
SupprimerDe ces paysages où on ne voit pas trace de la main de l'homme, cet univers d'avant l'homme, on se prend à songer qu'on est la première femme, rêvant d'un autre, un différent mais semblable quand même, une manière d 'alter ego mâtiné de mystère... Parce qu'il n'y a rien de meilleur que la découverte!
RépondreSupprimerBises conquises
Coucou belle dame. Etre la première femme, trouver le premier homme et s'enfuir dans la brume... Une belle histoire qui commence. Bises alpines.
SupprimerAvant d'aller jusqu'au bout de tes lignes, j'ai pensé que tu décrivais un séjour en Aubrac où, taureaux et vaches, remplacent les chevaux. Ce sont là des lieux magiques où on se sent en totale osmose avec la nature, les élèments , parfois interpellés par légendes, traditions ancestrales et authentiques.
RépondreSupprimerBon week end.
Coucou. Et bien voilà encore un lieu que j'ai à découvrir: je note, l'Aubrac. Là où la magie opère, comme dans le Connemera. Merci de la suggestion et bises alpines.
SupprimerCoucou Dédé.
RépondreSupprimerAllons bon, il me faut revoir ma géographie...
Merci pour la piqure de rappel !
Bises, A +
J'espère que je ne t'ai pas fait trop mal avec la piqure. :-)
SupprimerBonjour Dame Dédé,
RépondreSupprimerUne bien jolie photo, à vrai dire. Où les couleurs sont chatoyantes, et les rythmes apaisants...
Voici une bonne préparation au week-end qui s'avance. Que je vous souhaite par ailleurs parfait...
Bonjour Monsieur aux grandes oreilles. Vos grandes oreilles semblent s'y connaître en art photographique. :-)
SupprimerQuant à la perfection du WE, je ne sais si la perfection existe mais mon petit doigt me dit que vous devez un peu vous y connaître. :-)) A bientôt.
Je lis ici, avec tes mots si beaux, un rêve que je fais depuis longtemps: retourner voir un bout de mes racines, entendre la flûte millénaire sur les landes de tourbe et de bruyère...Et ce rêve est en passe de se réaliser...
RépondreSupprimerMerci Dédé, pour enchanter la blogo de tes rêves vivants.
Bises d'une frangine émerveillée
¸¸.•*¨*• ☆
Coucou Célestine. Alors si je peux te souhaiter quelque chose en ce jour, c'est de concrétiser ton rêve bientôt et de fouler la terre de tes ancêtres. C'est une très belle terre qui chante des poèmes magnifiques. Bises alpines et merci de ta visite enchantée.
SupprimerMoi aussi je connais et j'aime la chanson de la Terre !
RépondreSupprimerHello. Oui, c'est vrai, tu sais aussi très bien chanter. :-)
Supprimermagnifique j adore… et la photo et le texte… j en suis toute émue… bonne soirée ma belle
RépondreSupprimerJe te passe un mouchoir? Bisous ma belle et merci de la visite.
SupprimerBonsoir Dédé,
RépondreSupprimerTon texte envoutant donne fortement envie de voir par soi-même ce lieu magique!
Bisous,
Mo
Le Connemara mérite qu'on le visite. Mais il faut du temps pour s'en imprégner. Ce sont des terres vraiment sauvages. Bises alpines.
SupprimerBonsoir Dédé, que de joie et d’apaisement devant tant de beauté bucolique !La chanson de la terre fait du bien à l’âme !
RépondreSupprimerCoucou Jerry. Tu pourrais nous composer la chanson de la terre. 😊 bises alpines.
SupprimerTes mots me bercent dans un tourbillon de souvenirs délicieux.
RépondreSupprimerTu dis si bien les choses, que j'y suis de nouveau.
Bises de la Loire.
Profite alors de ton nouveau séjour et respire la parfum de la terre. Bises alpines.
SupprimerJe préfèrerai sonoriser ce texte évocateur avec des airs de flûte, de violon et de tambour irlandais plutôt qu'avec les mots d'un chanteur français. Mais tu chantes déjà si bien ces paysages, ces moments...
RépondreSupprimerBises du Morvan (pour deux jours !)
Coucou Francis. C'est vrai que je me suis tellement égosillée sur cette chanson dans des folles soirées que je ne la supporte presque plus. 🤣 Profite bien du Morvan, belle terre aussi. Bises alpines.
SupprimerJe ne vous vois pas mais je sens votre présence tous les deux dans ce merveilleux paysage...
RépondreSupprimerNous nous sommes bien cachés mon cher ami. 😊
SupprimerBonsoir ma Dédé qui ne craint ni les Dullahans ni les Kelpies. Je viens de parler à Pat des affreuses mouches noires qui te gâchent le plaîsir d'avoir des plantes.Il te conseille de couvrir tes pots avec du carton. Elles ne pourront plus pondre ds le terreau et finiront par disparaitre.
RépondreSupprimerBisous de la plaine, je vais me coucher
Merci du conseil ma belle mais mon ficus n'est pas tout à fait d'accord de se cacher sous un carton. Bises de la montagne automnale.
Supprimer"Bâtir le château de vos rêves avec de la poussière d'étoiles"
RépondreSupprimerQue c'est joli...
La photo montre bien à quel point le paysage doit être inspirant, et source de paix aussi.
C'était assurément un paysage idyllique pour moi. J'aime ces terres désolée et sans personne! Bises alpines.
SupprimerBonjour Dédé, quand je regarde un paysage comme celui que tu nous propose est un bienfait pour le corps et l'esprit, on savoure et le temps n'a pas de prise. Avec cette douceur que tu nous donne je te souhaite un très bon Dimanche !
RépondreSupprimerHello JP. Il y a des paysages comme celui-là qui nous rentrent même dans les pores de notre peau. ;-) Bises alpines et belle journée automnale.
SupprimerTu ne mets pas ton ficus sous carton. Juste tu fais une rondelle avec un trou pour la tige que tu poses sur la terre du pot
RépondreSupprimerBon dimanche !
Ah. Dans ce cas, mon ficus sera mieux. Il te remercie toi et ton jardinier. Bises!
SupprimerJ’imagine ta silhouette devenue fantomatique...
RépondreSupprimerElle est pas mal hein?
SupprimerA vrai dire, on ne la voit même plus sur ta photo haute en couleurs.
SupprimerJe prends très très rarement des selfies. :-)
SupprimerJe ne pensais pas du tout â un selfie, qui se focalise sur le visage, mais plutôt à un dédoublement, dans une tonalité fantastique -en fait , c’était plutôt un trait d’humour , car ton paysage se passe de la présence humaine.
SupprimerPour répondre à ton commentaire sur mon blog,
Supprimeren visitant des villes touristiques -moi aussi, après tout, je profite du tourisme dit de masse,-je peux faire abstraction des comportements puérils dont tu parles.
Parfois, je m’en amuse, et cela pourrait donner lieu à des photos cocasses ( que je garde en tête, même pas dans l’appareil , dicrétion oblige!
Parfois, prendre en photo les autres qui se prennent en photo, cela peut donner des photos sympas. :-)
SupprimerOui!
SupprimerQuant au phénomène des selfies, il devient un objet d'études pour les sociologues et les philosophes, relativement à l’image que l’on a ou que l’on veut donner de soi.
"Juste à contempler et caresser du bout des doigts les effluves multiples qui jaillissaient de la campagne".
RépondreSupprimerTes mots sont magnifiques ma chère Dédé.
Et venir chez toi est un merveilleux voyage enchanté par tes mots et leur musique.
Merci belle d'Âme des Alpes Suisses pour ce billet qui respire la délicatesse.
Je t'embrasse.
Den
Coucou poétesse du Sud. Merci pour tes mots qui m'enchantent. Quand j'ai écrit ce texte, j'entendais au fond de moi la petite flûte dont la mélodie m'avait enchantée en Irlande. C'est sans doute pour cela que tu entends la musique dans mes mots. Bises alpines et belle semaine ma douce.
Supprimerla tête dans l'herbe fraiche, ils se fichent du beau paysage
RépondreSupprimerAh... je pense qu'ils sentent beaucoup de choses car brouter en Irlande, c'est être capable de supporter les vicissitudes du ciel. ;-)
SupprimerMagique et magnifique !
RépondreSupprimerOn est emporté par ce récit envoûtant, au point de voir tous les poneys de la photo frémirent au souffle de la brise de mer, cambrer leur échine et, d'un coup de sabots majestueux, se projeter en plein ciel tels des cerfs-volants, crinières au vent.
Belle semaine, Dédé, bises franciliennes, douces et fraîches à la fois.
Coucou ma chère Tilia. Voilà une vision bien poétique de ces chevaux et poneys. Sans doute qu'à la fin du conte, ils rejoignent au galop les étoiles. Bises alpines et belle semaine.
SupprimerJe te lis fréquemment, mais ne laisse que rarement un commentaire. Tes mots me portent ainsi que la beauté de ton écriture.
RépondreSupprimerVoilà un commentaire que je pourrais laisser sur bien des textes que tu déposes ici.
Alors, cette fois-ci, je te le dis.
On ne peut pas se contenter d'être seulement un lecteur silencieux.…
Hello Alain. Et bien ce que tu dis là me touche beaucoup. Parfois, on écrit dans son coin et on se demande si cela vaut la peine de continuer son blog... et puis quand les commentaires arrivent et que les gens apprécient, on se dit que notre écriture sert à rendre les autres plus heureux.
SupprimerAlors merci lecteur silencieux. ;-)
bonjour, ta photo est superbe, pas âme qui vive à pat les chevaux, le pied !! tu peux te permettre, car sur ordinateur je suis incapable de voir mes erreurs ou mes fautes; pour le reste, je cite deux fois la galerie, mais je suis obligée, c'est comme ça que ça doit être, une année un galériste m'a tout fait refaire ! et j'ai bêtement fait un copié collé du site de la fiac, il faut d'ailleurs que je mette le lien ;) bonne journée, bisous
RépondreSupprimerCoucou Francine. Se relire sur l'écran n'est pas toujours simple. Je comprends parfaitement.
SupprimerQuant à ma photo, oui, pas âme qui vive. L'impression d'être seule au monde, en totale communion avec la nature. Bises alpines et bon mardi.
Quel beau récit ! tu donnes envie de continuer la balade...superbe photo !
RépondreSupprimerMerci Dédé, bonne soirée !
N'hésite pas à continuer le chemin. Il y a peut-être des surprises au bout! :-) Bises alpines et belle semaine.
Supprimerun très beau billet
RépondreSupprimerbonne soirée
Merci beaucoup et belle semaine!
SupprimerJe suis bien contente que tu ne sois pas tombée dans la tourbe, on aurait retrouvé ton corps momifié dans des millénaires et les mouches auraient eu tout loisir de se repaitre du terreau de ton ficus
RépondreSupprimerPat a facile de donner des consils car il est phytiatre de formation, disons qu'il a fait comme spécialité la protection des cultures. Par contre il n'a aucune suggestion à me faire / les chats qui crottent dans le petit parterre que j'ai désherbé et où je compte installer des fraisiers pour nos petits-enfants. Je pense que je vais étaler des branches de bambous pour les dissuader d'y mettre les pattes
Bon semaine, ma Dédé. Au rythme auquel tu publies, je pense que je serai de retour pour commenter ton prochain message (je pars demain et je reviens après la Toussaint). Bises de la plaine ensoleillée...
Coucou Cergie. Il faut simplement que tu mettes un épouvantail à chat. :-)
SupprimerAlors profite bien de ta pause. Je publie à un rythme plus lent effectivement. Moins de temps et moins d'énergie pour tenir toutes les semaines. Bises alpines.
Photo et texte se conjuguent à merveille ; bravo l'artiste !
RépondreSupprimerBelle fin de journée à toi ; Bises
Merci. Artiste toi-même! :-)) Bises alpines.
SupprimerVoilà qui est bien romantique et mystérieux. Dès après avoir vu l'image, j'ai pensé à l'Irlande un beau pays verdoyant ( que je ne connais d'ailleurs pas !)
RépondreSupprimerCoucou Daniel. Et oui, ce sont des chevaux irlandais qui hennissent en gaélique. :-) Merci de la visite dans la verte île.
Supprimerpetit coucou pour te répondre… ils sont tous sur ce petit ilet pour reprendre leur souffle car il y a un mistral d enfer et ils ont bien du mal à voler… en tous cas longtemps… bisous
RépondreSupprimerAh je comprends mieux! :-) Bises
SupprimerUn p'tit coucou en passant :)
RépondreSupprimerTrès belle journée à toi !
Bises
Merci Chris. Coucou en retour et belle fin de semaine. Bises
SupprimerBonjour, pas inspirée du tout par les tubes colorés, je me dis que je pourrais en faire autant; cette année la fiac outdoor n'a pas été un grand cru, il y a eu mieux; quant à la Fiac place vendôme, ça ne mérite pas un article ! tout juste une photo, pour vous montrer ce qui se fait; au Grand Palais toutes les oeuvres ont été vendues ! allez, encore un dernier article, et après place au beau jardin des Tuileries; je te souhaite une bonne journée, bisous
RépondreSupprimerJ'avoue ne pas toujours comprendre ces oeuvres modernes et j'ai souvent l'impression qu'on me prend pour une quiche... Bises alpines et à bientôt.
SupprimerUn oranger sur le sol irlandais...
RépondreSupprimerRenaud raconte des histoires. Pas d'oranger. 😁
SupprimerBourvil ne disait pas autre chose...
Supprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=UF1WNxsjZcM
Bonjour
RépondreSupprimerCela me fait penser à toutes ces légendes irlandaises!
Terre de légendes à ses propres légendes sur l'île d'Emeraude!
Bisous
J'aime ces légendes et cette culture celtique. Bises alpines.
SupprimerMagnifique contraste entre la prairie ensoleillée et le brumeux lointain ♥
RépondreSupprimerEt ta promenade en mots...♥ Nous avons tous envie de mettre nos pas dans les tiens... tes pas enchanteurs !
Bonne fin de semaine, Dédé à te dorloter au chaud :-)
Coucou Fifi. Je vois la longue file qui me suit dans mes pas. :-)) ça fait du monde sur les sentiers. Bises alpines ma chère Fifi et bon dimanche. Et oui, je reste un peu au chaud car ici, il neige.
SupprimerIl y a des paysages que nos yeux et nos oreilles apprennent comme les langues de ceux qui y vivent, en tout cas ce qui les retient sur ces terres...
RépondreSupprimerOnt-elles emportées vos amours sur leurs dos mouvementés ces vagues ?
Bises Dédé
Coucou Marine. Nos amours savent nager dans les remous de l'existence. Il le faut! Bises alpines et merci de la visite.
SupprimerTendres, les mots quand ils bivouaquent en silence, les tiens cueillent le jour et lui murmurent de ta douce voix, les rêves qui t'attendent pour que les cœurs s'enlacent. J'aime te lire, quand mes pas se perdent chez toi.
RépondreSupprimerBisous
Coucou le poète. Alors pour aujourd'hui, si tu veux te perdre par chez moi, il te faut une doudoune. Il neige! Bises alpines et belle fin de dimanche.
Supprimerpetit coucou pour te souhaiter un bon dimanche bisous
RépondreSupprimerBon dimanche. Ici, enneigé. Cela fait vraiment... heure d'hiver. Bises alpines.
SupprimerBonsoir Dédé
RépondreSupprimerQuand les mots servent si bien un pays et ses légendes, on ne peut que rester admiratif.ve devant le récit tout de tendresse vêtu.
Excellente fin de journée
Coucou Michèle! Quel plaisir de te revoir par ici. Merci pour tes mots tout en délicatesse. Bises alpines et à bientôt.
SupprimerBises des collines enneigées ce matin !
RépondreSupprimer(Hier et avant-hier c'étaient des trombes d'eau alors pour bricoler l'escalier extérieur de notre fille Pat aura du mal)
Ce qui est embêtant c'est qu'il a enlevé l’escalier...
Bon à part ça il y a un cheval en face dans un pré, les vaches ont été rentrées. Je ne sais pas la race du cheval, il faudrait aller en face de l'autre coté de la rivière pour s'en approcher
J'ai retrouvé le mot que je cherchais : le cheval est sur le versant de l'autre coté du TALWEG
SupprimerReBises
Un peu d'humidité est quand même bienvenu! Les vaches vont rester au chaud dans l'étable maintenant et le cheval a la paix. :-)
SupprimerUn petit coucou en passant par ici :)
RépondreSupprimerBonne journée "au chaud" !
Bises
Enfin un peu de froid. :-)) Bises.
Supprimert es dans la neige ? ici on est sous l eau… qu est ce qu il tombe depuis hier soir… du coup je reste avec mes bonbons les petits monstres n aiment pas la pluie hi hi… bisous
RépondreSupprimerIl fallait de la pluie mais pas trop quand même. Oui, ce matin, j'ai marché dans la neige. La progression a donc été bien plus lente que prévu mais c'était magnifique quand même. Bises! Et belle soirée avec les bonbons.
SupprimerUn endroit que vous mettez particulièrement en valeur.
RépondreSupprimerJ'ai juste demandé aux chevaux d'être sages. :-)
SupprimerL'automne et ses couleurs: quoi de plus beau? Il y aura l'hiver et puis le printemps, l'été... avec leurs trésors, préservons, préservons.
RépondreSupprimerCoucou Thérèse... c'était le mois d'août quand j'ai pris cette photo. Mais le Connemara a des teintes qui changent beaucoup selon l'ensoleillement. Oui, préservons cette belle nature.
Supprimer