C'était une vieille maison dans laquelle personne n'habitait depuis bien longtemps. Sans doute qu'elle devait servir de refuge à des souris espiègles et que des fouines l'investissaient l'hiver venu. Ses volets étaient définitivement clos et elle n'osait plus que chuchoter des histoires d'antan, pour ne pas réveiller les grains de poussière qui sommeillaient dans ses moindres recoins. Seul un arbre vigoureux l'entourait avec tendresse, l'empêchant de tomber dans une mélancolie sans retour.
Combien de fois avais-je passé à quelques mètres d'elle, sur le petit chemin bordé d'un délicieux bisse chantant? Combien de fois m'avait-elle aperçue, ayant le nez en l'air, en train de saisir toutes les beautés subtiles des saisons qui défilaient sans retour, sans jamais pourtant m'arrêter et venir la saluer?
Mais ce jour-là, j'ai franchi le minuscule pont qui enjambait la petite rivièrre qui me séparait d'elle et je me suis avancée dans une luxuriante prairie qui sentait bon la fin du printemps. J'avais l'impression qu'un océan d'herbes folles allait m'avaler et que la maison semblait minuscule, juchée un peu plus haut dans le pâturage odorant. Puis, quand nous avons enfin pu nous contempler à quelques mètres l'une de l'autre et nous reconnaître comme deux vieilles amies, l'arbre s'est doucement penché sur le toit bringuebalant de la masure et a chuchoté aux volets clos que tout était encore possible. En effet, les cloches des vaches gourmandes qui paissaient non loin de là sonnaient l'arrivée de la belle saison tant attendue, les bourdons joyeux vrombissaient de bonheur et les fleurs s'apprêtaient gaiement pour le tout prochain bal de l'été.
Et moi, émue devant sa si grande simplicité, à l'écoute du vent qui faisait craquer ses vieilles planches, je lui ai alors conté les facéties des écureuils de la forêt, les naissances printanières dans les familles de mésanges et le bourdonnement élégant de l'abeille butineuse. Le merle a repris mon refrain, chantant la vie et la joie et la petite maison dans la prairie a frétillé de tout son bois, avec reconnaissance.
Dédé © Juin 2023
Merci pour le paratage ade ce moment précieux! Je me suis délectée de tes mots et retrouvé une ambiance familière!
RépondreSupprimerMerci à toi de ta visite. Belle semaine.
SupprimerBonjour Dédé
RépondreSupprimerTa photo est superbe et le texte lui rend un bel hommage.
J'ai découvert un nouveau mot : "bisse", merci.
Bonne journée, Bises !!!
Ah oui, mon cher gitan. Ainsi, tu en connais plus sur mon canton. J'adore marcher le long des bisses, c'est très tranquille et reposant d'entendre le bruit de l'eau qui coule. Bises alpines.
SupprimerDédé:
RépondreSupprimervous racontez les choses d'une si belle manière !
Diego
C'est parce que l'instant était beau, tout simplement. Merci Diego!
SupprimerQuel beau texte, que le tien, j'étais vraiment avec toi, récupérant les souvenirs des maisons closes que j'ai pu croiser
RépondreSupprimerTu vas dans des maisons closes toi? :-) (je t'embête!). Bises alpines.
SupprimerLe décor est planté et tu l'habilles poétiquement de ton ressenti. Le temps est suspendu et tu te forges des souvenirs, des ressentis que seuls les gens qui savent ouvrir leur coeur peuvent faire passer à traver l'écran pour les partager avec nous.
RépondreSupprimerCoucou ma belle. J'ai un petit coeur gros comme ça. :-) Bises alpines.
SupprimerMerci pour ce conte des mille et un jours. Et encore de belles découvertes dans la prairie...
RépondreSupprimerEn espérant ne pas avoir trop de le rhume des foins mon cher Monsieur aux grandes oreilles. C'est la saison des graminées! Bises alpines.
SupprimerSuperbe !
RépondreSupprimerMerci!
SupprimerBonjour Dédé. Ta cabane a un charme fou et me rappelle les vieilles bâtisses (disparues) que j'admirais en Savoie il y a plus de 50 ans. Merci !
RépondreSupprimerCoucou Philippe. J'ai toujours aimé les vieilles maisons, elles ont tant d'histoires à nous raconter. Belle semaine.
Supprimerbonjour Dédé , merci pour cette jolie photo nature de cette petite maison abandonnée , mais comment tu racontes ça c'est trop beau ! et toi tu l'as vue comme une amie et tu lui parles et elle doit être heureuse de te voir !!! merci +++ , bisous de nous deux beau weekend A+
RépondreSupprimerCoucou mon cher. Je ne suis pas sûre qu'elle soit vraiment abandonnée cette petite maison. Je l'ai imaginée ainsi pour les besoins de mon histoire mais je l'ai photographiée en décembre passé avec les volets ouverts. Il est possible que ce soit le paysan qui cultive le champ plus loin qui l'utilise pour ses besoins de matériel. Bises alpines.
SupprimerCoucou Dédé, je me suis régalée de ton merveilleux texte et cette petite maison seule me plaît beaucoup. Peut-être la maison d'un berger :-)
RépondreSupprimerGros bisous et je te souhaite un agréable week-end.
Coucou ma belle. Plutôt la maison/dépôt du paysan du coin. Il cultive un champ (qu'on devine à droite de la photo) d'herbes pour les bonbons Ricola. Bises alpines.
SupprimerC'est une rencontre magique que tu décris d'une délicieuse manière!
RépondreSupprimerBises.
Bon après-midi,
Mo
Coucou. Je l'aime beaucoup cette petite maison ainsi que son arbre toujours très beau en toutes saisons. Belle semaine.
SupprimerAdorable. Merci pour tes mots, ta photo.
RépondreSupprimerSplendides.
Bon après-midi.
Merci l'anonyme que je ne reconnais pas. :-)
SupprimerUn texte plein de bonheur et un hommage à la nature! Mais as tu déjà pénetré à l'intérieur de cette petite maison ?
RépondreSupprimerCoucou. Non, je n'ai jamais franchi la porte, c'est une propriété privée. :-)
SupprimerDes respectueuses et tendres retrouvailles.♥♥♥ Ton pèlerinage me fait penser aux prés, au ruisseau, de mon enfance.
RépondreSupprimerLa nature nous offre des retrouvailles avec nous-mêmes, pacifiantes et heureuses.
Avec ton image et ta talentueuse façon de conter "la petite maison", tu nous emmène et tu nous font participer
à ce doux moment d'intimité.
Coucou ma belle. Cette fin de printemps est particulièrement belle chez moi. Avec les pluies qui sont tombées, il y a beaucoup de fleurs qui ont poussé dans les prés, ce qui fait d'ailleurs le bonheur des abeilles. L'année passée, à cette même période, c'était déjà bien sec. Bises alpines.
SupprimerMais c'est tout à fait la maison des Ingalls... ;-))) quelle poésie dans ta narration ! Un régal... Merci Dédé
RépondreSupprimerCharles et son violon ne doivent pas être très loin. :-)
SupprimerUn cadre magnifique qui t'inspire un fort joli texte, cette petite maison me conviendrait bien pour y finir mes jours.
RépondreSupprimerPasse une belle journée.
Amicalement.
Claude
Elle ne semble quand même pas très confortable cette petite maison, je me demande d'ailleurs s'il y a l'eau courante. Il faudrait quand même quelques aménagements. :) Bises alpines.
SupprimerTon récit, ton approche du lieu, pourrait elle s'appliquer à la rencontre entre deux personnes?
RépondreSupprimerEn tous les K, beauté de ton texte que je " bisse " .... Petit canal suisse, irrigation .....
Je ne savions point.
Ami-Calmant. Yann
Oui, j'habite dans une région très sèche quand même avec par endroits un climat typiquement méditéranéen. Donc, en saison d'été, il fallait que les champs soient irrigués, d'où ce système de bisses. J'ai vu la même chose à Madère mais là-bas, on les appelle des levadas. Bises alpines.
SupprimerBonjour Dédé
RépondreSupprimerDans notre quête de sommets élancés, de dômes enneigés, trop souvent on passe sans s’arrêter devant ces petits chalets, ces mayens qui voient le temps défiler sans que rien ne change. Certains non entretenus luttent pour survivre et finalement s’effondrent…
Merci pour ce partage d’un moment précieux!
Bises savoyardes
Coucou. Tu as raison, il n'y a pas besoin d'aller très loin pour découvrir de belles et simples choses qui ravissent les yeux et l'âme. Bises alpines.
SupprimerCoucou Dédé;
RépondreSupprimerEntre cette très jolie photo et tes mots, je viens de passer un très beau moment, immergée dans cet endroit si paisible.
Alors un grand merci pour ça.
Bisous et bon week-end
Coucou Pascale. As-tu entendu le vrombissement des abeilles? je l'espère! Elles travaillent bien en cette période. Bises alpines.
SupprimerBonjour Dédé.
RépondreSupprimerCet océan d'herbe folle abrite sur son tout petit rocher une très jolie petite maison.
Comme ce devait être reposant et enivrant.
Bonne journée Dédé.
C'était très beau mais cette petite maison est belle en toutes saisons. Merci de la visite et belle semaine.
SupprimerTu a su parler à cette jolie petite maison et je comprends que cet endroit te plaise Dédé !
RépondreSupprimerComme il doit sentir bon ce pré ! Heureux les bourdons, les oiseaux, les papillons, les vaches, les fourmis et toi qui ont le privilège de connaître ce petit paradis !
Je t'embrasse
Coucou. Il ne faut quand même pas que je reste très longtemps au milieu du pré car je suis quand même un tout petit peu allergique aux graminées! :-) Atchoum! Bises alpines.
SupprimerJe crois que je suis allergique à beaucoup de chose, tous les jours après être passé X fois dans le jardin, je gratte, je gratte...L'horreur !
SupprimerBonjour, cette petite maison ma paraît bien isolée, je te souhaite un bon week end, bisous
RépondreSupprimerCoucou. Elle est isolée et c'est ce qui fait son charme je trouve! Bises alpines.
SupprimerMais que c'est BEAU! et on en reçoit les parfums et toutes les autres sensations bienfaisantes :-)
RépondreSupprimerTrès très BEAU! :-) Belle semaine.
SupprimerUn enchantement , comme toujours ...
RépondreSupprimerBise .
Il faut remercier la nature, moi, je n'y suis pas pour grand-chose. ;-) Bises alpines.
SupprimerDédé, cette petite maison semble être un véritable paradis. Belle et bonne soirée.
RépondreSupprimerC'est l'ensemble qui ressemble au paradis. Belle semaine!
SupprimerMerci et bravo pour ton superbe texte qui m'a emmenée avec toi, vu, entendu, senti. Un beso mediterraneo.
RépondreSupprimerTu vois, tu n'as pas besoin de prendre l'avion pour venir sur le continent! :-) Bises alpines.
SupprimerOh ce texte est beau. Il me parle bien jusqu'au fond du coeur ! Merci à vous.
RépondreSupprimerTendresse dominicale.
Tant mieux alors. Contente que ce petit texte et la photo vous aient charmée! Bises alpines.
SupprimerQuelle est belle ta petite maison dans la prairie Dédé j'y passerais bien un été ! Bises hélas trop sèches du Languedoc !
RépondreSupprimerJe ne sais pas si la cave est suffisamment fraîche pour entreposer les bouteilles pour nos apéros! :-) Bises alpines.
SupprimerQuelle merveille, je rêve d'une telle petite maison, je ferai ami-ami avec les fouines, c'est promis, peux-tu leur en parler ? Merci Dédé, à tout bientôt. brigitte
RépondreSupprimerCoucou Brigitte. Je vais leur en toucher un mot mais il va falloir quand même les surveiller car elles pourraient venir ronger les câbles de ta voiture. :-) Bises alpines.
SupprimerQuel joli texte, plein de tendresse. Les maisons qu'on rencontre comme ça ont, oui, des tas d'histoires à raconter.
RépondreSupprimerSurtout les maisons qui ont un si bel arbre à leur côté. Belle semaine.
Supprimerun texte si émouvant comme tu sais si bien les faire... et la photo est trop jolie... gros bisous
RépondreSupprimerEt pourtant ma belle, je manque singulièrement d'inspiration ces temps-ci. Va falloir que je me repose un peu. ;-) Belle semaine et bises alpines.
SupprimerC'est ainsi que charmée par tes mots, elle a gardé les paupières closes, poursuivant son rêve printanier dans l'attente de l'été...
RépondreSupprimerUn jour, peut-être, un inconnu en mal de solitude ouvrira les volets sur le soleil naissant pour qu'elle se réchauffe à la caresse de ses rayons...
En attendant laissons la dormir bercer par les herbes folles, les insectes affamés et le chant des oiseaux...
Oui, ne faisons pas trop de bruit pour ne pas la réveiller de ces rêves printaniers. Merci de la visite et de tes jolis mots.
SupprimerCoucou Dédé ! Qui dit "vaches" dit que la solitude de cette petite maison ne doit tout de même pas être aussi profonde que cela. Mais j'aime beaucoup cet endroit et il s'en dég
RépondreSupprimerMeuh.... :-)
SupprimerAh zut, je recommence ! Mon comment a filé plus vite que le vent !
RépondreSupprimerJe disais que les vaches sont tout de même gage que la solitude de la petite maison n'est pas si profonde que cela ! D'abord si ce sont des vaches laitières et même si ce sont des génisses elles doivent avoir de la visite, ce ne sont pas des bisons tout de même ! L'herbe est bien grasse elle aura bien profité de la pluie généreuse que je devine aux ciel un peu changeant, et aussi du soleil qui éclabousse les tiges ainsi que les feuilles de l'arbre protecteur à l'espèce inconnue, peut être un arbre de pampa ? La cabane est bien calée à droite, le regard vers l'avenir et dos au passé
En tous cas tu vibres bien à l'unisson de cette belle nature et nous avec toi
Bises de printemps, Dédé !
Coucou. Le troupeau de vaches, que j'entendais mais que je n'ai pas vu cette fois-ci, est un troupeau de la race d'Hérens. Je n'entendais que leurs cloches ce jour-là mais le bruit des cloches est une douce symphonie qui doit bercer la petite maison sans trop la perturber. Bises alpines de la fin de printemps. L'été arrive gentiment.
SupprimerTu as dû embellir, par ton conte chuchoté à son oreille, la semaine, voire le mois, peut être même la saison de cette petite maison !
RépondreSupprimerElle va attendre ta prochaine visite avec impatience....
Peut-être même toute sa longue vie de petite maison. Qui sait? :-)
SupprimerAh! Tu as trouvé la bonne chanson pour agrémenter ce texte. Merci ma chère Tilia! Bises alpines.
RépondreSupprimerCommentaire de JP65:
RépondreSupprimer"Tu as très bien fait d'être en compagnie de cette magnifique petite maison, c'est son vécu qui est attirant et c'est ce qui La rends belle, ce qui est rassurant c'est cet arbre protecteur, ils sont deux dans cette prairie terriblement rassurante, de nos jours ça fait le plus grand bien en touchant du doigt la Vérité.
Un très grand merci pour cette positivité Dédé sans oublier les bises".
Coucou JP. C'est vrai que cet arbre qui la couve donne vraiment l'impression qu'il veille sur elle, en toutes saisons, même en hiver lorsqu'il est dépouillé de ses feuilles. Merci de ta visite mon cher JP et bises alpines.
SupprimerMerci pour ce joli moment de poésie, Dédé. Oui, cette petite maison méritait d'être approchée, et que tu lui contes de jolies histoires. :-)
RépondreSupprimerBon début de semaine, bises bassoises.
Coucou Françoise. Toutes les petites maisons devraient avoir notre respect. :-) Bises alpines.
SupprimerCoucou ma Dédé !
RépondreSupprimerJolie photo qui me rappelle une que j'ai prise dans le sud de l'Utah alors que nous faisions du quad. Par contre, je ne me souviens qi il y avait un arbre.
Comme d'habitude tu sais bien raconté les choses poétiquement. C'est toujours un plaisir de te lire.
Belle journée et bises campagnardes !
Coucou Claude. Je n'ai jamais fait de quad. :-)) Je trouve ces engins bien pétaradants. Peut-être que le tien a réveillé la petite maison? :-) Bises alpines.
SupprimerJ'imagine que ce fut un beau moment lorsque tu contas les pirouettes coquines des écureuils et que le merle reprenant ton refrain a chanté l'amour , la vie et la joie , une sorte de fête parcourue des frétillements frissonnants de la nature en liberté .
RépondreSupprimerJe suppose que la petite maison a été très contente de mes histoires et du chant du merle. Elle devait frétiller. :-) Bises alpines.
SupprimerCoucou Dédé.
RépondreSupprimerIl me semble pouvoir à nouveau faire un tour sans détour dans ta jolie montagne !!!
Un coin joli pour vagabonder dans les herbes hautes des pâtures !
Il me semble ouïr le sont des clarines, que j'aimais comme dans mon enfance faire des galipettes sur un tel cousin d'herbe tendre !!!
Milles bises pour un tel rêve, que jamais il ne s’achève...
A ++++
Coucou Daniel. Tu as des problèmes avec blogger? Quelle plaie cette plateforme! A croire que blogger fait tout pour nous décourager!! J'aime beaucoup le son des cloches des vaches. Quand je vois un troupeau qui ne porte pas de cloche, je trouve cela bien tristounet. Bises alpines.
SupprimerDélicieux !
RépondreSupprimerMissYves
Merci Miss. ;-)
SupprimerA consommer sans modération. ;)
SupprimerJe ne connais pas ce payage suisse.
RépondreSupprimerJe préfère les marques de montre luxe, les hôtels à St Moritz, Gstaad, Zurich Genève, Montreux où ça transpire la testostérone, les beaux ctre commerciaux où c'est nickel, ordonné.
Sourire...Je regarde ma swatch à défaut d'une vacheron constantin.
Ah si je pouvais écouter l'abeille butineuse qui vit seulement qq semaines.
Coucou. Que de préjugés! :-)) Il existe des hôtels fort sympathiques à Gstaad ou St-Moritz. Et près de chez moi, il y a un centre commercial où tout est bien rangé et je n'habite ni à Genève ni à Zurich. TOUS les centres commerciaux sont bien ordonnés. :-)) Et contrairement à toi, je ne porte même pas de montre. Je regarde l'heure sur mon téléphone portable. Allez, je vais aller enregistrer l'abeille et je t'enverrai sa musique en Mp3. Bises alpines.
Supprimermerci d être passée me voir... gros bisous
RépondreSupprimer;-)
SupprimerBonjour Défé. Merci pour cette belle histoire de rencontre avec cette petite maison un peu esseulée. Bonne journée
RépondreSupprimerCoucou. Heureusement qu'elle a un arbre qui veille sur elle et quelques personnes qui viennent lui rendre visite. Belle journée
SupprimerBonsoir Dédé,
RépondreSupprimerComme je l'aime cette maison, et comme j'aime ton évocation si pleine de poésie. C'est amusant, j'ai écrit sur une maison dans le même esprit quand je m'amusais à donner vie aux photos d'un ami dans la rubrique Les Mots dans les yeux de mon blog !
Un petit paradis que j'aimerais trouver à proximité pour apaiser les tumultes du quotidien.
Bises
Anne
Bonjour Anne. Il est clair qu'une telle maison est très tranquille et permet de se ressourcer. Cependant, celle-ci ne doit pas être très confortable à l'intérieur et il me semble qu'il n'y a même pas l'électricité. C'est bon à savoir quand même avant de s'y installer. ;-) Bises alpines.
Supprimerils font de nous ce qu ils veulent ces matous...petit coucou d amitié
RépondreSupprimerOn en est complètement gaga. :-) Belle fin de semaine.
SupprimerUne petite question indiscrète, Comment est venue ton style d'écriture conte?
RépondreSupprimerEuh... vaste question. Sans doute que c'est le style d'écriture qui me prend le moins de temps et d'énergie. :-) Car je manque singulièrement de temps et d'énergie pour alimenter ce blog. ;-( Et puis c'est peut-être aussi plus facile de faire ce genre de texte pour illustrer mes photos. Mais je ne suis pas sûre de ma réponse. Il va falloir que j'y réfléchisse. Bises alpines.
SupprimerCoucou, Charles Ingalls ne doit pas être bien loin !😉
RépondreSupprimerBises Puydômoises
J'entends une musique jouée par un violon. Ce doit être lui. :-)
SupprimerCoucou Dédé,
RépondreSupprimerLa petite maison dans la Prairie je regardais en 1978 lorsque j'habitais au Québec.... Cela commençait juste et c'était bien charmant.
Merci pour ta jolie photo et ton texte si bien composé. Te lire est source de bien-être. Je t'envoie une grosse bise des Alpes du Sud
Coucou. Je n'ai jamais aimé cette série. J'ai bien plus aimé les livres écrits par Laura Ingalls, plus proche de la réalité et bien plus poétique. Bises alpines du Nord.
SupprimerBonjour Dédé, tu as bien fait d'aller la saluer, elle doit être triste d'être toujours seule et toujours fermée.
RépondreSupprimerJ'espère qu'un jour des enfants viendront y jouer, ou qu'une jardinière viendra l'agrémenter de quelques fleurs...
Ce sera plutôt le paysan du coin qui viendra lui rendre visite je crois. Merci de ta visite. Bises alpines.
SupprimerUne maison de rêve...
RépondreSupprimerOu un rêve de maison...
SupprimerTotalement envouté par le charme de cette image.
RépondreSupprimerTu nous contes une belle histoire !
RépondreSupprimer