Face à ce spectacle, on ne pouvait qu’être saisi d’émotion : être au monde, l'admirer depuis la prairie et les sapins, au-dessus du lac jusqu’aux montagnes immaculées, et s’en imprégner dans cette fin d’automne brumeuse, où la lumière hésite et le silence s’étire.
Dans cette vibration, entre le proche et le lointain, entre ce qui retient et ce qui libère, j’ai compris ce qui ne devrait jamais s’effacer : savourer l'instant, respirer, sans craindre pour sa vie, dans un pays en paix. La paix n’est pas seulement l’absence de guerre ; elle se mesure dans la possibilité de rester là, sans bruit, et d’écouter le monde se tenir droit, entier, silencieux.
Et dans ce retrait assumé, dans ma contemplation de l’horizon immobile et inébranlable, tout mon être s’est effacé pour se remplir d’une intensité pure, celle de la gratitude. Ici, il n’y avait rien à posséder, rien à craindre ; tout demeurait, offert à qui savait encore s’émerveiller.
Dédé@Novembre 2025

Calme de la nature sublime, luxe de la paix toujours présente, volupté de l'introspection apaisée... Voici une belle introduction au week-end qui s'annonce... En vous le souhaitant heureux.
RépondreSupprimerOn ne saisit pas toujours la chance d'être dans un pays en paix, avec cette nature sublime à portée de...yeux. Merci monsieur aux grandes oreilles.
SupprimerIl n'y a rien à rajouter, c'est BÔ.......
RépondreSupprimerMerci Dédé, Bises de l'avant pays savoyard !!!
En peu de mots, en un clic de photo, on a tout ce qu'il faut pour être heureux. Merci et bises alpines.
SupprimerBonjour Dédé,
RépondreSupprimerC'est bon de se sentir petite partie d'un tout !
Malheureusement, beaucoup aimeraient être une grande partie du tout...
SupprimerUn superbe paysage très reposant.
RépondreSupprimerNous sommes d'accord. ;-)
SupprimerOh comme tu as raison, savourer l'instant présent, sans crainte, sans émotion négative...
RépondreSupprimerApprécier la paix, le calme, le silence...
Et ce paysage en est une invitation qu'il serait bien dommage de refuser.
Merci pour ce très joli moment.
Bises et bonne journée Dédé.
Plus j'avance et plus je suis sensible au silence et donc aux bruits qui m'agressent. Quel luxe de pouvoir percevoir le silence! Bises alpines.
SupprimerDevant le spectacle de la nature qui, dans le calme, se couvre peu à peu de brume avant la morsure, la grisaille, de l'hiver, on ne peut qu'être admiratif. Très bien exprimé, ce sentiment de gratitude, Dédé
RépondreSupprimerIl est vrai que nous avons eu de la chance de pouvoir profiter encore de l'automne clément, aujourd'hui, c'est l'hiver qui règne. Merci de la visite Antoine!
SupprimerCoucou Dédé.
RépondreSupprimerQuel sublime paysage...
Très bonne fin de semaine!
Merci mon cher Daniel. Bon dimanche à toi.
SupprimerSouvent, on reste sans voix devant tant de beauté! et une impression de paix nous submerge. C'est le plus beau cadeau de la nature. Sachons en profiter avant que le ciel ne nous tombe sur la tête. Merci et bonne journée. Gine
RépondreSupprimerJ'espère que le ciel ne nous tombera pas sur la tête mais malheureusement, il y a des signes négatifs qui traînent autour de nous, restons donc vigilants et sachons profiter de cette paix... Bises alpines.
SupprimerBonjour Dédé,
RépondreSupprimerce paysage est presque irréel dans sa beauté...
Bisous.
Bon après-midi,
Mo
Coucou. C'est juste Mo... et pourtant, il était bien réel. Bises alpines.
SupprimerQuel privilège de pouvoir ressentir tout cela. La guerre est loin, les drones ne traversent pas le ciel! Tous les jours je pense à ces privilèges que sont la paix et la liberté !
RépondreSupprimerOh, il y a quand même des petits malins qui font voler des drones ici et là... mais ce jour-là, il n'y en avait pas. Tout était si tranquille mais il manquait les vaches dans les prés. Trop froid pour elles!
Supprimerc'est tellement, tellement, tellement beau...
RépondreSupprimerd'une beauté qui rend heureux
Etre heureux devant un paysage, c'est merveilleux!
Supprimertrès jolie photo et superbe texte... ces rares moment de sérénité sont à conserver précieusement dans nos mémoires...bonne soirée ma douce gros bisous
RépondreSupprimerEt à nous d'engranger encore et toujours de tels moments pour enrichir notre mémoire. Bises alpines.
SupprimerTon texte rejoint celui des grands spirituels, contempler c'est s'oublier :"tout mon être s'est effacé" ; c'est contempler une beauté à l'extérieur de nous, qui fait écho à celle qui est à l'intérieur de nous. François Cheng dit : ça résonne". Et Maurice Zundel, ce merveilleux prêtre suisse :" Dieu, c'est qu'on on s'émerveille"
RépondreSupprimerLes temps modernes ont trouvé un mot nouveau le "flow", ce temps suspendu, où une personne est entièrement pris dans ce qu'elle fait, dans ce qu'elle contemple : un moment de grâce où le contemplant fait corps avec le contemplé.
Une image à couper le souffle, un texte court et dense ♥♥♥ Gratitude !
Oh, parler de Cheng et de Zundel en venant ici, quel honneur! J'essaie de dire ce que je ressens, tant mieux si je peux transmettre ces moments de grâce à mes congénères. Quant au flow... on a la fâcheuse tendance de mettre des noms anglais pour désigner des choses qu'on pourrait simplement qualifier de paix et de gratitude. Bises alpines et merci.
SupprimerLa paix n’est pas seulement l’absence de guerre ; elle se mesure dans la possibilité de rester là, sans bruit, et d’écouter le monde se tenir droit, entier, silencieux. Tout est dans cette phrase magnifique. Ta photo est extraordinaire. Je vois que la brume t'inspire de bien belles choses.
RépondreSupprimerBisous, chère frangine des Alpes.
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
J'ai toujours aimé la brume, tout comme toi. Elle inspire le calme, la reconnaissance, la gratitude. Elle magnifique les paysages, leur donne quelque chose en plus. Merci Frangine du Sud. Bises alpines.
SupprimerPlus on avance en âge plus on aime contempler, analyser, écouter les infimes bruits.
RépondreSupprimerOn devient sage...peut-être? :-)
SupprimerBonjour chère Valaisanne
RépondreSupprimerLes Alpes valaisannes en toile de fond, la vallée du Rhône dans le brouillard et en premier plan une verte prairie, comment ne pas être admiratif de ce que nous offre Dame Nature. Merci pour ce moment d'évasion vers les sommets. Bises savoyardes
Coucou mon cher Savoyard. Tu n'es pas au bon endroit, ce sont les Alpes bernoises, depuis le Rigi. On voit peut-être quelques sommets valaisans mais peu. ;-) Bises alpines.
SupprimerJ'aimerais tant revivre de tels instants - mais je ne désespère pas ...
RépondreSupprimerEn attendant , je savoure tes mots et le paysage que tu nous offres ...
Bises .
Coucou. Je te le souhaite! Mais je crois que quand tu arpentes ta campagne et que tu saisis les beautés de tes paysages, tu es toute proche de ressentir la même chose. Bises alpines.
Supprimerbonjour Dédé , ah oui c'est une photo et ce paysage qui sont magnifiques !!! et ton texte est superbement dit et c'est si vrai !!! et ... elle se mesure dans la possibilité de rester là, sans bruit, et d’écouter le monde se tenir droit, entier, silencieux. c'est mon point de vue aussi ! merci gros bisous beau weekend a+
RépondreSupprimerCoucou mon cher Bébert. Rester là, c'est tellement ça. Rester là au monde, devant la nature, apaisé. Bises alpines et merci.
SupprimerDes instants figés
RépondreSupprimerOù le regard s'éternise...
Beauté suspendue!
Et les pensées s'enroulent
dans la brume qui s'effiloche
au-dessus des vallées
Marie
Tes mots ouvrent une clairière de silence…
SupprimerLà où la lumière retient son souffle
et où l’âme, un instant, se déplie. Merci Marie.
Oui Dédé pouvoir ainsi contempler la nature en paix nous emplit de sérénité mais cela devient hélas un rare privilège en ce monde dominé par des pervers narcissiques ! Beau dimanche bises occitanes
RépondreSupprimerLes pervers narcissiques font beaucoup de bruit actuellement, c'est vraiment fâcheux ce qui se passe ici et là...J'ose espérer que contempler la nature en paix ne devrait pas être un luxe mais une habitude. Bises alpines.
SupprimerUne photo inspirante, qui t'a inspirée ce doux voyage intérieur. En te lisant, je t'ai entendue vivante et pleinement imprégnée de l'instant. La Paix en soi nait de ces moments magiques qu'il faut savoir ceuillir quand ils sont là, étonnamment merveilleux. Bises ligériennes.
RépondreSupprimerMerci pour tes mots… Ils prolongent encore un peu ce souffle de calme.
SupprimerCes instants rares, quand tout s’aligne et que l’intérieur s’éclaire doucement,
nous rappellent que la beauté existe aussi dans l’infime.
Elle se laisse trouver par ceux qui savent regarder. Bises alpines.
Ça sent le bonbon à la sève de pin.
RépondreSupprimerJe suis enrhumée, je ne sens rien. :-))
SupprimerTout est beau Dédé, la montagne et tes mots ! Regarder, se poser, admirer, s'emplir de la magnificence des sommets enneigés
RépondreSupprimerBlanc, bleu, vert des couleurs qui sentent bon les saisons, la nature, l'infini...
Je respire un bon coup comme l'oiseau je vis d'espace et d'air pur, avec toi, Merci !
Bienheureux oiseau es-tu! Bises alpines
SupprimerDédé:
RépondreSupprimervotre cliché d'aujourd'hui transmet presque presque la même sentation que vous avez senti: la paix, la douceur, le silence, la grandiosité de la nature, la beauté, le froid...
Merci!
Salu2 enneigés.
Il ne faisait pas très chaud mais pas très froid non plus. En Suisse, nous avons un vent, le foehn qui souffle souvent dans les vallées alpines en automne et en hiver. C'était le cas ce jour-là et c'est ce qui donne cette couleur un peu laiteuse au ciel. Bises alpines.
SupprimerUn océan minéral, des montagnes en guise de vagues.^^^^
RépondreSupprimerIl ne manque plus qu'un petit bateau... ;-)
SupprimerBeauté, paix et silence,
RépondreSupprimerRespect, admiration et contemplation,
Merveilleuse nature en offrande !
Paix et silence, les choses que je recherche de plus en plus et je rajoute aussi la beauté. Cela permet de traverser les épreuves de la vie. Merci!
SupprimerPaysages majestueux, grandioses, une vraie nourriture terrestre qui élève notre être tout entier... MERCI Dédé, ce message me touche profondément. Bises maritimes. brigitte
RépondreSupprimerMerci Brigitte. Parfois je me dis que je pourrai rester au sommet d'une montagne, tout simplement... comme une ermite. Bises alpines.
SupprimerRester là, sans bruit, en s'imprégnant, admirant et oui, remerciant. C'est magnifique, merci, merci de partager tout cela avec nous !
RépondreSupprimerIl faut partager ce qui nous rend heureux et nous apaise. Merci Colo.
SupprimerBonjour Dédé,
RépondreSupprimerSachons voir le bon, le beau. Arrêtons nos jérémiades et nos critiques. Profitons de la douceur d'un bon moment. Imprégné dans nos coeurs du positif. Merci pour ce joli moment de grande douceur et de beauté. Je t'embrasse et te souhaite une douce semaine
Coucou Elisa. Tu prêches à une convaincue. A toutes celles et ceux qui se plaignent de tout au quotidien et ne font rien pour changer, je les invite à s'élever, au propre comme au figuré. :-) Bises alpines.
SupprimerBonsoir Dédé,
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup tes mots "être au monde", saisir ces instants face aux paysages et tout ce qui nous entoure en t'avouant que c'est plus simple pour les décors naturels, avoir l'esprit silencieux et être pleinement conscient des pensées qui nous harcèle et finalement s'oublier.
Les paysages restent les mêmes mais sont différents à nos yeux pour chaque saison mais une chose est sûre c'est qu'il est toujours utile de te lire et vivre intensément les choses et nos ressentis.
Merci beaucoup pour ces utiles instants.
Etre dans la nature et être heureux me semble aujourd'hui bien plus facile que de vivre en société. Les êtres humains, en tous cas une grande partie d'entre eux... me fatiguent. ;-) Bises alpines
SupprimerBonjour, ce paysage est apaisant, j'adore voir les cimes enneigées, je te souhaite une bonne journée, bisous
RépondreSupprimerElles étaient déjà bien enneigées ce jour-ci. Aujourd'hui, elles doivent crouler sous la neige mais c'est trop loin, je ne peux pas aller le vérifier. Bises alpines.
SupprimerSachons profiter de ce que la nature nous offre.
RépondreSupprimerEt j'aime bien la notion de paix que tu déclines.
Bien au delà de « Guerre et Paix ».
Tu me parles de closes chuisses, la vraie raclette, je trouve ça « Fendant ».
Et en passant, j'irai au Cervin, en petit train.
Un de mes rêves. Gornergrat.
Amic@lement. ✅ Yann
Alors je te conseille de prendre une petite bouteille de Fendant pour faire ta montée en petit train, tu seras vraiment dans l'ambiance et n'oublie pas la viande séchée... :-) Bises alpines.
SupprimerC'est comme l'amour, il n'y à rien à posséder, à craindre, s'émerveiller ce que la vie nous présente sous différents aspects.
RépondreSupprimerEt pourtant, en Amour, certaines et certains pensent qu'il faut posséder et contrôler...
SupprimerIl n'est pas donné à tout un chacun de savoir ouvrir les yeux, regarder, contempler, se remplir de ce qu'offre la nature, d'entrer en communion avec elle. Nous partageons çà ensemble Dédé, toi et moi dans nos univers différents (et je te jalouse le tien ;-)
RépondreSupprimerIl est vrai que de savoir admirer et se taire n'est pas donné à tout le monde, monsieur ou madame l'anonyme. Il serait bien de signer le commentaire la prochaine fois. Merci. ;-)
SupprimerIl est certain que de tels paysages nous réconcilient avec ce monde si brute....pour un temps. Mais "c'est déjà ça" comme dirait Souchon.
RépondreSupprimerTes photos sont toujours aussi réussies Dédé ! Bises chaleureuses !
Un monde si brut, un monde de brutes oui... Il faut savoir se contenter de ce que l'on a et je trouve que ce que l'on a est déjà beaucoup devant un tel paysage. Merci de ta visite et bises alpines.
SupprimerBon,jour Dédé. J'apprécie autant tes propos que ta photo. Savoir s'émerveiller procure un bien fou. Bonne journée
RépondreSupprimerMerci petit écureuil. Reste bien au chaud car l'hiver est là. Bises alpines.
SupprimerLorsqu'en face de soi, un tel panorama sort de la brume, on ne peut que s'en imprégner et souhaiter que l'humanité entière fasse de même afin d'oublier, ne serait ce que l'espace d'un instant, les conflits de tous ordres qui agitent notre monde.
RépondreSupprimerDifficile d'oublier toute cette bêtise humaine mais gardons espoir...
Supprimerde magnifiques couleurs et ce volcan qui se réveille à moins que ce soit ta cheminée qui fume pour pas que le père Noël ne t'oublie. Mais comme tu as été trop gentille il n'y a rien à craindre
RépondreSupprimerOh... je ne crois malheureusement plus au Père Noël... Quant aux volcans, j'ai le mien qui bout à l'intérieur. :-)
SupprimerMerci pour ta visite au vitrail devinette. Pour moi façon escape game. Tu ne trouves pas la solution réponse, tu restes prisonnier de l'église :-))
RépondreSupprimerMais là il m'a fallu aller à Rome.
Si facile comme destination :-))
15 heures de bus, la nuit, pour moi sans dormir ou si peu.
À plus. ✓ Yann
15 heures de bus? Pas très confortables les bus... Mais c'était pour la bonne cause, pour s'échapper de l'église. :-)
SupprimerIl est des moments très intenses où l'on se sent pleinement vivant. Ils ne sont pas si fréquents que cela sinon on ne les apprécierait pas aussi intensément. Ce sont des instants où l'on se sent happé quasiment stupéfié. Je comprends qu'un tel paysage, vaste, structuré, tendrement lumineux ait pu te saisir. Il forme un tout que l'on ne peut hiérarchiser, des petites mottes au premier plan aux pics et crêtes qui s'échelonnent au loin. Par ailleurs les résineux en ligne me font penser à la forêt qui marche de Macbeth
RépondreSupprimerhttps://krapooarboricole.wordpress.com/2009/02/04/la-foret-qui-marche-macbeth-acte-v/
Quel souffle dramatique !
Bises Dédé !
Alors je peux t'assurer que les sapins ne marchaient pas. :-) En Suisse centrale, il suffit de monter sur des collines à 1500 mètres pour avoir ce genre de vue. On surplombe les petites colinnes et on voit au loin les Alpes, grandes et belles. Bises alpines.
Supprimerbonjour ,
RépondreSupprimeron peut remercier la nature d'un tel spectacle, et je m'imagine l'instant que l'on peut vivre devant un si joli panorama..
merci
pour cela
à bientot
On ne remerciera jamais assez la nature qui donne tant et dont on ne sait pas prendre soin... Merci de ta visite.
SupprimerCette beauté est d'une grande beauté... Mais aucune nature n'est pacifique, sous la beauté réside l'hostilité. C'est sans doute un animal mal préparé qui dit cela...
RépondreSupprimerJe vais donc répondre ceci à l'animal mal préparé. "C'est une façon de voir les choses..." ;-)
SupprimerAh il semble que ton site ne veuille pas de moi... Tant pis, merci pour ce partage.
RépondreSupprimerJe dois simplement valider les commentaires avant qu'ils n'apparaissent ici. Bienvenue. ;-)
SupprimerLa nature nous offre des cadeaux. Merci pour ce beau texte accompagné d'une belle photo. Merci d'être passé sur mon blog. Bonne journée.
RépondreSupprimerBienvenue ici. Finalement, on fait le tour des blogs amis et on découvre des blogs amis des blogs amis. Belle journée.
Supprimerpetit coucou pour te remercier d être passée me voir... gros bisous
RépondreSupprimer:-)
SupprimerBonjour Dédé, savourer l'instant au milieu de la nature, admirer, ouvrir ses yeux et respirer et ne faire rien d'autre que çà ..la sérénité ! çà me rappelle une très belle chanson sur ce sujet signée Alain Souchon & Laurent Voulzy "La baie des fourmis" :
RépondreSupprimer"Regarder la mer
Ne pas avoir d'autres envie que
Regarder la mer
Rester, rester
Sur le mur de pierre
Là où le soleil s'est mis
Rester, rester
Tout seul, solitaire
Devant la baie des fourmis
Regarder la mer
Rester la journée entière ici
Sur le mur de pierre
Devant la baie des fourmis"
Bonsoir Jerry. Dans ce monde si chahuté, c'est un privilège de pouvoir regarder le paysage que l'on a sous les yeux et de le faire dans la sérénité. On a tellement de peine à s'en souvenir au quotidien. Et pourtant! C'est ce qui me fait tenir dans ces temps compliqués. Bises alpines et merci de ta visite.
Supprimercoucher de soleil sur l atlantique chez toi... je pense que ça va être dur dur... gros bisous
RépondreSupprimerJe suis déçue... :-))
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