Zurich, Suisse |
La ville était grise ce jour-là, presque triste. Soufflant en bouquets de rafales, le vent s’infiltrait à chaque recoin et l’hiver était omnipotent dans les rues. Tout le monde se pressait sur les trottoirs, à la recherche de chaleur et de couleurs. Les quelques touristes, peu nombreux, tentaient de saisir les beautés de la cité, à travers une lumière froide qui n’apportait que peu de contrastes aux monuments et aux bâtiments.
Sous ce plafond de nuages bas, j’aurais presque pu croire que rien ne me plaisait tellement le froid me transperçait le corps, s’insinuant jusque sous ma peau. Les arbres étaient dénudés, recouverts de particules hivernales et tout paraissait terne, sans saveur.
Traversant le pont, la « Grossmünster » dans mon dos, je me demandais bien où mes pas allaient me conduire, eux qui étaient assourdis par le bruit de l’eau froide juste au-dessous. Mais c’était sans compter avec le vol de ces mouettes lacustres, qui dans une joyeuse débandade, ont virevolté au-dessus des passants, avec moult cris et battement d’ailes. Et dans ces frôlements, j’ai senti que, malgré ces tons sombres d’un hiver finissant, le pouls de la vie battait toujours, avec force.
Dans le vol libre de ces oiseaux rieurs, j’ai accueilli alors avec bonheur la respiration toujours présente de la cité et des alentours. Et dans la contemplation de cette scène urbaine pleine de poésie, mon cœur rempli d’une douce allégresse a fait voler en éclats ma tristesse contenue.
Sous ce plafond de nuages bas, j’aurais presque pu croire que rien ne me plaisait tellement le froid me transperçait le corps, s’insinuant jusque sous ma peau. Les arbres étaient dénudés, recouverts de particules hivernales et tout paraissait terne, sans saveur.
Traversant le pont, la « Grossmünster » dans mon dos, je me demandais bien où mes pas allaient me conduire, eux qui étaient assourdis par le bruit de l’eau froide juste au-dessous. Mais c’était sans compter avec le vol de ces mouettes lacustres, qui dans une joyeuse débandade, ont virevolté au-dessus des passants, avec moult cris et battement d’ailes. Et dans ces frôlements, j’ai senti que, malgré ces tons sombres d’un hiver finissant, le pouls de la vie battait toujours, avec force.
Dans le vol libre de ces oiseaux rieurs, j’ai accueilli alors avec bonheur la respiration toujours présente de la cité et des alentours. Et dans la contemplation de cette scène urbaine pleine de poésie, mon cœur rempli d’une douce allégresse a fait voler en éclats ma tristesse contenue.
Dédé © Mars 2018
Le pouls de la ville est rendu de manière saisissante dans ta photo, vive, animée, et c'est un autre pouls que celui qui bat, à quelques mètres de là, dans le quartier des banques et des affaires. Aujourd'hui tu me fais aimer ZH!
RépondreSupprimerCoucou Dad. Zurich est effectivement pleine de contrastes. J'ai découvert des quartiers sympas, et d'autres que j'ai moins aimés, très branchés, une jeunesse dorée qui consomme sans compter. Mais la vieille ville reste vraiment très belle et sympathique. Bises alpines.
SupprimerCoucou Dédé.
RépondreSupprimerTu es descendue de ta montagne pour affronter la ville...
Très bon weekend.
Bises, A +
Hello Daniel. Oui, de temps en temps, je descends de l'alpage pour faire quelques courses et me mêler à la civilisation. :-)) Mais j'ai vite fait de remonter sur l'Alpe sublime. ;-) Je reste montagnarde dans l'âme mais ouverte sur d'autres choses quand même. Belle fin de semaine. Bises!
SupprimerFrimas dans la ville... Il est vrai que la bise, le brouillard, les températures hivernales, sont des invités bien embarrassants... Et pourtant, nos amies les bêtes nous rappellent qu'il n'est pas de temps pour la fête. Car, le temps de la fête, c'est maintenant !
RépondreSupprimerEn vous souhaitant un week-end festif à souhait :-)
Bonjour Monsieur aux grandes oreilles. Vous devez en avoir marre du froid de cette hiver et vos grandes oreilles doivent souffrir. Vivement le printemps mais il est vrai que l'on doit prendre le temps comme il vient et profiter de l'instant qui nous est donné. Belle fin de semaine et belle fête à vous aussi. :-)
SupprimerEh bien tout est dit dans ton texte et moi j'admire derrière mon écran cette agitation "dont j'entends les cris..." Très belle photo, comme quoi rien n'est jamais perdu ! ;)
RépondreSupprimerBelle journée et Bises
Hello Chris. Je peux dire que la photo est vraiment un instantané. J'ai dégainé alors que les mouettes nous frôlaient et j'ai bien eu peur d'avoir quelques cadeaux de leur part sur ma veste. :-)) Mais je crois que le résultat est parlant et plein de vie. Belle journée et bises aussi.
SupprimerL'ambiance que tu décris si bien est un peu celle que nous avons ces jours-ci dans le sud. Pas très habituel dans la région, tout comme cet hiver dans son ensemble.
RépondreSupprimerMais les oiseaux sont là ;-)
Bises et très belle journée à toi.
Hello Pascale. Je pense que l'ambiance que je décris est celle que vivent les villes en Suisse allemande tout l'hiver, sous le brouillard et dans un froid mordant. J'ai de la chance d'habiter en montagne où il y a plus de soleil et moins de ce brouillard bas qui traîne en permanence sur le plateau suisse. Je pense que le printemps va gentiment arriver dans ta région. En tous les cas, cela a été un vrai hiver! Bises alpines et belle fin de semaine.
SupprimerApparemment une simple photo dans la grisaille d'un ciel urbain, quelques mots sur la feuille et doucement j'entends le bruit de la ville, celui des mouettes au dessus de ma tête et grâce à vous je souris ! Magnifiques ! Biz Lyne
RépondreSupprimerGénial alors si vous souriez! C'est le but! Bises Lyne.
SupprimerVrai qu'il y a des bruissements, des cris, des débandades qui n'appartiennent qu'aux villes, à la joie des villes, dont il faut connaître les codes. Les sons. Les autres couleurs... Les autre manières d'appréhender les "gens"... dont on croit qu'ils sont fermés alors qu'ils sont seulement citadins, obligés de mettre une aura de solitude autour d'eux pour ne pas être amalgamés sans pitié...
RépondreSupprimerCoucou Edmée. C'est vrai que dans les villes, il y a une ambiance que je ne connais pas en station de montagne. Mais c'est tellement enrichissant de sortir de chez soi, et d'aller à la rencontre d'autres choses. Par contre, je suis toujours très contente quand je retrouve mon coin de forêt et mes montagnes. :-) Bises alpines.
SupprimerD'un seul regard
RépondreSupprimeren quelques mots
tu nous montres
que seul le vivant
peut donner vie
à toutes ces pierres inanimées
et voila que ces pierres, cette ville
deviennent plus souriantes pour moi
Merci Dédé ;-)
Coucou le poète. C'est vrai que ces pierres deviennent presque souriantes avec le cri des mouettes. Bien vu! Bises et merci à toi pour tes commentaires toujours poétiques.
SupprimerIl suffit parfois d'un souffle, d'une poussière d'étoile, d'une petite note de musique lachée par la nature pour que le voile sombre se déchire et laisse entrer la lumiière.....cela s'appelle l'émotion. Je suis ravie que tu l'aies ressentie ce matin là puisqu'elle a changé ta façon d'aborder la journée et les derniers sursauts de l'hiver.
RépondreSupprimerCoucou Chinou. C'est vrai que j'avais bien de la peine à déambuler dans ce froid mordant. Et soudain, tout a été différent. Merci les mouettes! :-)
SupprimerOn entre avec volupté dans ce décor.
RépondreSupprimerQuelle belle écriture !
Merci Loïc!
SupprimerJ'aime la nature, les villages, la solitude, le calme, et j'aime tout autant les grandes villes, la foule, le bruit, la vie pressée ... il faut juste, comme tu le décris avec autant d'exactitude que de sensibilité, parvenir à en saisir la pulsation. Chaque ville a la sienne, un rythme qui lui est propre, et sans doute aucun certaines nous parlent au cœur, au corps plus que d'autres. Zurich a su te parler, finalement, et j'aime beaucoup la façon dont tu nous racontes que parfois, pour sentir ce pouls battant, il suffit de lever le nez.
RépondreSupprimerBises d'une petite ville où on ne regarde pas toujours mouettes et goélands d'un œil joyeux ;-)
Coucou! Comme je le disais plus haut, j'ai quand même eu peur que les mouettes ne s'amusent à nous crépir la tête et les habits de jolis cadeaux tout blancs. :-) Mais ouf, rien n'est tombé sur moi. Peut-être sur d'autres un peu plus loin. :-))
SupprimerJe n'aime pas trop les grandes villes, mais je sais reconnaître les atmosphères particulières je crois et les apprécier en temps voulu. Bises alpines.
La vie souffle toujours, qu'il fasse beau, gris, venteux, neigeux, brouillardeux etc
RépondreSupprimerCoucou Martine. Tu as raison. La vie est là, parfois un peu moins agitée mais toujours belle pour qui sait l'apprécier.
SupprimerBonjour Dédé oui ☺️ même en ville, la vie et la nature parviennent jusqu'à nous... Il suffit d'ouvrir les yeux et de suivre le vol des oiseaux pour s'extraire d'un quotidien parfois lourd. Belle journée ☺️
RépondreSupprimerBises
Coucou Michèle. Respirer, regarder, admirer. Et tout cela l'espace d'un instant. Ensuite, on est souvent mieux. Bises et belle fin de semaine.
SupprimerBonjour Dédé,
RépondreSupprimerLe regard est différent selon notre humeur intérieure. Ces oiseaux ont réussi à t'apporter un sourire et un bien être, c'est super. Je vois que tu n'étais pas la seule photographe. :-)
Bises et bonne journée.
Coucou Caroline. Je n'étais pas la seule photographe et j'ai admiré le bel appareil du monsieur sur la gauche avec son gros objectif. Je crois me souvenir qu'il photographiait des cygnes sur la rivière. Bises et belle journée.
SupprimerQue c'est beau Dédé, chaque saison a son charme!!! Bise, bon vendredi tout doux et dans la joie!
RépondreSupprimerHello ma belle. L'hiver citadin n'est pas trop ma tasse de thé mais il faut lui reconnaître un certain charme. :-) Belle fin de semaine et bises alpines.
Supprimerbonjour Dédé , superbe cliché et l'église j'aime +++ et ce vol d'oiseau superbe ! gros bisous passe un beau weekend A+
RépondreSupprimerCoucou Bébert. Tu es toujours enthousiaste! C'est bien. J'ai un fan assidu. ;-) Bises alpines et beau WE aussi!
Supprimeron te sent étonnée de te découvrir de l'amour pour une scène "civilisée", encore t'est il transmis par des mouettes passeurs d'émotion
RépondreSupprimerCoucou Emma. C'est vrai que je suis nettement plus à l'aise sur mon alpage que dans une rue d'une grande ville de Suisse. Enfin, Zurich est une ville importante mais il y a en encore de plus grandes n'est-ce pas? :-) J'ai aimé ce moment mais comme Heidi, je reviens vite dans mes montagnes autrement je déprime.
SupprimerTu dis bien le bonheur de chaque instant, quand la tristesse disparaît au contact du souffle vital.
RépondreSupprimerEt ce souffle, tu le trouves magnifiquement dans la poésie des choses.
Merci Dédé, pour ce beau texte qui entre en résonance avec ma propre lecture du monde. Mais ça, tu le sais déjà... ;-)
Belle semaine chère douce alpine, qui s'éclipse parfois dans des paysages différents, mais toujours aussi beaux.
¸¸.•*¨*• ☆
Hello dame céleste. Il faut savoir s'ouvrir à d'autres choses, avoir le nez en l'air, accueillir ce qui nous est offert, regarder le monde chaque fois avec des yeux nouveaux. Et sentir les émotions autour de nous. Tout cela nous nourrit et nous remplit! La vie en cela est absolument passionnante. Je t'embrasse frangine. ;-)
SupprimerBonjour Dédé, c'est toujours un plaisir de te lire et l'image colle parfaitement avec ce froid polaire que tu nous décrie. Bon weekend à toi et à très bientôt !
RépondreSupprimerCoucou JP. Le froid était effectivement polaire. Je dois dire que je supporte bien mieux le froid en montagne qu'en ville. Allez savoir pourquoi! Bises alpines et merci de la visite.
SupprimerCoucou chère Dédé, j'aime beaucoup ta photo pleine de vie, les gens bien emmitouflés et les mouettes apportent un plus très agréable à regarder :-) J'aime aussi tes mots qui, avec ta photo, font un ensemble très poétique.
RépondreSupprimerGros bisous ♥
Coucou ma chère denise. J'essaie de sortir de ma zone de confort avec ce genre de photos. En général, je fais tout pour qu'il n'y ait personne sur mes photos de paysage mais je m'habitue peu à peu à mes congénères. :-)) Bises alpines et merci de ta visite.
SupprimerLa vie peut être belle....C'est une question d'état d'esprit. Nos pensées moroses viennent bien souvent l'assombrir. Ne nous laissons pas piéger par nos pensées !!
RépondreSupprimerLa vie est belle. C'est nous qui souvent déformons les choses. Merci de la visite mon sage Daniel. ;-)
Supprimerbonsoir ma belle... effectivement l image est bien hivernale... ici quelques fleurs déjà... mais bien sûr c est le sud... gros bisous bonne soirée
RépondreSupprimerCoucou. La photo date du 24 février. La semaine qui a suivi ma visite à Zurich, il a fait encore très froid. L'hiver n'a pas encore dit son dernier mot, ce matin il a encore neigé ici. Bises alpines et beau samedi.
SupprimerBonsoir Dédé,
RépondreSupprimerCes oiseaux ont donc le pouvoir magique de remonter le moral?
Vive les mouettes, alors!
Le temps est mitigé en Bretagne, parfois pluvieux, parfois ensoleillé et il y a, bien sûr, également plein de mouettes!
Gros bisous,
Mo
Coucou Mo. Je ne sais pas si elles remontent le moral de ceux qui reçoivent la fameuse guano, tel Dupont et Dupond dans les albums de Tintin. :-)) Ici, il neige! Bises alpines de fin d'hiver.
SupprimerQuatre photographes sur le pont, c'est la fête à la Mouette on dirait. Les intermittents du spectacle bossent à fond ! Grüezi Dédé !
RépondreSupprimerPouet, pouet, c'est la fête à la mouette. :-))Tu as bien compté. Nous étions 4. Grüezi! Et bises.
SupprimerCoucou Dédé.
RépondreSupprimerParce que la vie triomphera toujours, même de l'hiver (même dans le plus aride des déserts, en cherchant bien, on la trouve), son pouls, plus ou moins vif, plus ou moins atténué, finit toujours par se rappeler à qui en doute.
(Quand même, visiter une ville dans le froid, ce n'est pas ce qu'il y a de plus agréable.)
Bon samedi et merci pour ce partage.
Fabrice
Coucou Fabrice. C'est vrai que visiter une ville dans ces conditions, ce n'est pas l'idéal. Mais il fallait quand même que je vois la vieille ville. Le petit tour à pieds a été rapidement fait et je suis vite rentrée à l'hôtel pour me réchauffer devant un bon apéro! Je ne perds jamais le Nord moi. Bises alpines et belle fin de semaine.
Supprimeret dire... que cet interdit de le nourrir...cette joyeuse bande...bises
RépondreSupprimerCoucou Elfi. Ah bon? J'apprends quelque chose. Bises
SupprimerBonjour la Suisse :) très jolie ta photo et le texte wow !!!! j suis pas allez à Zurich , j'était à Luzern au plus profond de la Suisse centrale lol , merci à toi de ton passage oui c'est une magnifique région mais ils sont barjots aux niveau des prix mdrrr , tu es en Valais ? bonne journée à toi
RépondreSupprimerCoucou. J'adore Luzern, Lucerne en français mais je lui reproche d'être littéralement envahie par les touristes asiatiques et de perdre un peu de son âme. Enfin, c'est ainsi. J'aimerais bien une fois voir le carnaval de Lucerne!
SupprimerEt oui, je suis en Valais. Bises alpines et belle fin de semaine.
bonjour, les oiseaux mettent un peu d'animation; quel envol ! le mec sur la gauche a un super zoom, ça doit être bien lourd à bout de bras; pour ma part j'ai renoncé à ce genre d'objectifs trop lourds; bon w end, bisous
RépondreSupprimerHello Francine. C'est vrai que c'est un énorme objectif. Je pense aussi que cela doit être très encombrant, surtout pour la photographie urbaine. S'il fait de la photo animalière, il doit utiliser un tel zoom mais se balader en ville avec, ce n'est pas top, d'autant que d'autres objectifs peuvent aussi donner de belles photos urbaines. Bises et belle fin de semaine.
SupprimerBonjour Dédé,
RépondreSupprimerTu décris très bien ta photo ... tout y est !
Oui, l'hiver est long cette année même chez nous dans les Alpes du Sud.
Un gros bisou. Courage courage !
Coucou Elisa. Il manque juste un tout petit rayon de soleil. 😊 bises alpines et venteuses.
SupprimerLe titre, la photo, le texte , tout cela est plein de vibrations annonciatrices du renouveau, malgré le gris et le froid.
RépondreSupprimerHello Miss. Le renouveau tarde quand même. Nous arrivons pourtant à la mi-mars.
SupprimerJ'ai vu d'abord les oiseaux. Et puis juste après le photographe avec son gros appareil. Curieuse de savoir quelle photo il a pu faire. Mais elle était forcément moins bonne que la tienne, puisque tu as l'essentiel de la vie...
RépondreSupprimerIl avait un plus gros objectif que moi. Et bien plus lourd. Je n'ai pas pris beaucoup de photos lors de cette balade car j'avais bien trop froid!
SupprimerCe vol de mouettes tu l'as pris au bon moment, les courants d'air ne donnent pas envie de s'attarder mais le photographe a vu autre chose, ta photo est très réussie en tout cas Dédé
RépondreSupprimerBonne journée
Il y avait des cygnes au bord de la rivière. L'autre photographe a dû s'y intéresser. Merci de la visite et belle fin de dimanche.
Supprimer..."le pouls de la vie battait toujours avec force".... MERCI Dédé pour tes mots, ta photo est magnifique ! les mouettes ont réchauffé le froid ambiant !
RépondreSupprimerbisou.
Den
Hello ma poétesse provençale. Elles ont mis une petite note de joie dans un tableau bien gris. Bises alpines.
SupprimerLe rire des mouettes fait venir la mer qui berce notre âme au coeur des villes
RépondreSupprimerCoucou Ulysse. Ce sont des mouettes lacustres. La mer est trop loin de Zurich mais j'aime ta poésie. :-)
Supprimertrès belle photo avec ces mouettes en vol
RépondreSupprimerBon dimanche
Merci Eki et bon début de semaine à toi.
SupprimerBattements d’ailes, battements de cœurs, comme quoi la vie est bien là ! A palper et à transmettre comme tu sais si bien le faire.
RépondreSupprimerOui la vie est là, dans le moindre battement d'aile, dans le moindre souffle d'air et dans les rires des passants. Bises alpines et belle semaine.
Supprimerje vois deux photographes qui s'affairent ...le lieu en vaut la peine
RépondreSupprimerIl t'en manque un. Il y en a trois et avec moi, cela fait 4. ;-)
SupprimerBonjour
RépondreSupprimerParfois un petit rien peut nous remonter le moral et les animaux sont souvent très fort pour ça!!
Bisous
Coucou la Louve. Un souffle, un battement d'ailes, et une atmosphère particulière qui surgit de nulle part. Et le tour est joué. Bises
SupprimerBelle description hivernale du souffle de cette ville que tu sembles vivre et aimer !
RépondreSupprimerA bientôt.
Bonjour. Et bienvenue ici, je ne crois pas me souvenir vous avoir déjà vu(e) ici. ;-)
SupprimerLes grandes villes et moi cela fait deux. Mais je sais apprécier ce qu'elles offrent. Je les visite avec plaisir, mais je retourne avec joie dans les montagnes. A bientôt!
Savoir distiller du bonheur à partir du gris, du froid, de la ville, et de l'hiver demande de bonnes dispositions à l'observation... et le concours d'une envolée de mouettes "rieuses" joliment mises en scène sur ton cliché.
RépondreSupprimerBises et bonne semaine
Hello Francis. Je suis d'accord avec toi. Il fallait une bonne dose d'observation pour trouver dans cet atmosphère particulière d'un samedi après-midi gris et froid une pulsation du bonheur. Heureusement que les mouettes ont rigolé. ;-) Bises alpines et belle semaine à toi aussi.
SupprimerOuf ! on l'a échappé belle, l'optimisme prend le dessus !
RépondreSupprimerOuf! C'était moins une mon Loulou. ;-)
SupprimerBonjour
RépondreSupprimerJe te souhaite une bonne semaine!
Bisous
Merci et pareillement.
SupprimerTout comme Galet qui met des mots sur mes images, tu sais accompagner les tiennes avec une courte histoire qui vient compléter le tableau et qui donne encore plus de vie et de sens à ta photo.
RépondreSupprimerBon début de semaine. (oui je sais je suis un peu en retard...)
Coucou Robert. Merci pour la visite et non, tu n'es pas en retard, nous ne sommes que lundi. C'est le début de la semaine! Bises alpines.
SupprimerComme tu dis ces mouettes lacustres rieuses sont sans doute des mouettes rieuses, leur vol rapide donne une idée du vent qui tourbillonne et du temps qui s'emballe à la différence des piétons qui semblent plus statiques.
RépondreSupprimerJ'aime bien la perspective que tu as donnée par ton cadrage, on sent qu'après avoir traversé la rivière on va s’engouffrer dans la rue qui tourne à droite au delà.
Y a-t-il un bon pâtissier où boire un chocolat chaud pour se réchauffer ?
Coucou Cergie. Il y a, dans la vieille ville de Zurich, un tas de petits bistrots sympas et certainement des salons de thé mais je sortais du musée, et je n'avais plus tellement de temps avant que la nuit ne tombe. Alors je ne me suis pas arrêtée. :-) C'est Dédé qui visite les villes au pas de course. Bises ma belle.
SupprimerBonjour Dédé
RépondreSupprimerZurich est une ville de contrastes et je m'y rendais fréquemment lorsque j'étais en activité mais, curieusement, je n'en garde que peu de souvenirs ... Dois-je croire que j'étais si accaparé par mon job que je n'ai rien vu d'autre ?
Bises savoyardes
Coucou. Peut-être que tu étais effectivement trop accaparé par le travail. La vieille ville est vraiment très jolie et les bords de la Limmat sympas. Et le lac pas loin est très beau, par beau temps. Ce qui n'était pas le cas lors de ma visite. Tout était un peu monochrome. Bises alpines.
SupprimerDédé , je te souhaite et je nous souhaite de toujours sur notre chemin , rencontrer "ce vol libre de ces oiseaux rieurs"
RépondreSupprimermerci pour ce joli billet !
Bises
Merci Noëlle pour ce joli commentaire. C'est en effet un voeu que l'on peut faire pour chacun d'entre nous. Merci et bises!
Supprimerbonjour Dédé , un régal de revoir tes articles textes et photos merci pour tes coms et visites bisous belle semaine a +
RépondreSupprimerCoucou Bébert. Tu es toujours enthousiaste! C'est gentil de venir me rendre visite régulièrement. Bises et je vais passer chez vous ce matin. ;-)
SupprimerHello ! Dédé,
RépondreSupprimerQue ce soit en dedans ou en dehors de ta "zone de confort" tu réussis toujours aussi bien à captiver notre attention. Ta photo est magnifique et ton texte démontre avec brio comment la vie nous réserve souvent des surprises au moment où nous nous y attendons le moins.
L'instant d'avant ta photo, tu ne pensais qu'à aller te mettre au chaud. Et soudain les mouettes rieuses te font faire volte-face, afin de mettre en boîte leur ballet aérien. L'espace d'un instantané tu oublies ce satané vent qui te glace les doigts et tu appuies sur le déclencheur.
Ton demi-tour t'a permis de faire coup double. Non seulement tu as immortalisé les évolutions virevoltantes de ces championnes de vol à voile, mais tu as du même coup capturé en arrière plan les tours jumelles de la Grossmünster ainsi que la très originale Wasserkirche paraissant voguer sur la rivière.
Chapeau ! Madame la fée Dédé, ton cadrage est parfait et fait de l'effet ;-)
J'espère que tu n'as pas attrapé froid sur ce coup-là et que chez toi la neige ne va plus tarder à laisser place aux petites fleurs de printemps natives de ta belle contrée alpine.
Bonne journée, Dédé, bises de beau temps (mais pas encore tout-à-fait printanières ici)
Coucou Tilia. Alors oui, je sors de ma zone de confort quand je prends en photo des gens et des mouettes en plein vol. Je ne sais pas pourquoi mais pendant des années, je n'aimais pas avoir des individus sur mes photos. Et puis il a fallu que je me mette dans la tête que les gens font partie de la nature et qu'ils mettent de la vie sur les photos. Maintenant je place quelques personnes. Tu vois, je me soigne! :-)Tu as raison quand tu parles de mon demi-tour. C'est vraiment ce qui s'est passé. J'avais déjà photographié la Grossmünster quelques minutes auparavant et j'avais rangé mon appareil. Et là j'ai dû dégainer très vite, un peu au pif. :-) Donc je suis contente du cadrage.
SupprimerJe n'ai pas pris froid pendant ce petit séjour de quelques jours à Zurich mais il faisait vraiment froid. Et visiter une ville dans ces conditions n'est pas forcément très agréable. Heureusement qu'il y avait le Kunsthaus!
Quant au printemps, je crains qu'il ne soit encore bien loin. Il neige par petites quantités à peu près tous les jours. Et nous avons vraiment un déficit de lumière. Et pourtant j'habite dans une région réputée très ensoleillée mais voilà, l'hiver 2017-2018 est particulier: très neigeux, froid et peu de soleil. Alors j'attends déjà que la neige fonde avant de voir les petites fleurs. Heureusement je suis amenée à me rendre régulièrement en plaine ces jours-ci et donc je vois un peu plus de couleurs. Bises alpines encore hivernales.
Comme par hasard, la première photo de mon dernier billet (posté le lendemain du tien) est une mouette rieuse ;-)
RépondreSupprimerLes grands esprits se rencontrent. :-)
Supprimerça commence presque comme une chanson de Barbara... Les mouettes donnent fière allure à cette photo !
RépondreSupprimerCoucou. Oui, sans les mouettes, je pense que la photo aurait été un peu fade. Merci de la visite!
SupprimerCoucou ma Dédé !
RépondreSupprimerComme j'aime bien la ville, j'en aime bien ta description. J'aime assez la comparaison de Tilia quand elle dit que les deux clochers sont les tours jumelles.
Ici aussi des fois je vois le vol du nuée de mouettes, car si il y des mouettes des villes, il y a aussi
des mouettes des champs.
Comme je préfère l'été à l'hiver, je verrai bien ta photo avec un beau ciel bleu, des jardinières fleuries sur les rambardes du pont et aux fenêtres de la bâtisse qui fait le coin.
Sur ce, je vais aller boire ma boisson chaude car ici ce matin, c'est à nouveau l'hiver. Je dis ça car ce week-end ce fut plutôt printanier.
Bises ensoleillés, oui, car il est là et bien là, malgré la froidure.
Coucou ma Claude. La ville n'est pas l'environnement que je préfère mais j'admets qu'elle peut receler des trésors et une ambiance vivante et colorée. Malheureusement pour les fleurs dans des bacs sur le pont ou aux fenêtres des bâtiments, il va falloir encore attendre un peu car le printemps n'est pas décidé à s'imposer face à l'hiver. Mais on garde le moral! Bises alpines et belle journée.
SupprimerJe fut fille de la ville devenue fille des champs, mais j'y retournerai un jour, j'y retournerai, à la ville !
SupprimerBises et belle journée à toi aussi !
Une ville tranquille alors? ;-)
SupprimerNon non, je parle de la Capitale. Là où sa grouille de partout.
SupprimerBisous et bon wouik !
Bonjour
RépondreSupprimerJe te souhaite un bon mercredi!
Bisous
;-)
SupprimerEt pourtant tu es habitué au froid, alors il devait faire vraiment très très froid !
RépondreSupprimerJ'étais carrément frigorifiée! :-))
SupprimerJ'aime ton texte mais je retiens de la photo, avant tout, la folle liberté des oiseaux.
RépondreSupprimerÉtat d'esprit du moment sans doute.
Ah! La liberté!
Bises ligériennes.
Parfois j'aimerais bien être un oiseau, voler au-dessus des passants et me moquer de la calvitie de certains. ;-) Bises alpines.
SupprimerIl y a toujours quelques part des oiseaux rieurs, ou d'autres situations, qui nous rappellent que la Vie est là ! Et c'est tant mieux ! :-)
RépondreSupprimerBelle fin de semaine, Dédé. Bisous.
Oui. Heureusement qu'on peut se marrer de temps en temps. 😊 Merci de la visite ma chère. Bises alpines.
SupprimerHips, sur ma page j'ai beaucoup aimé la jument coiffée par l'Oréal !
RépondreSupprimerBises Dédé
Elle le vaut bien!
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