L’Ile, délicatement posée dans l’océan Atlantique, bruissait de mille parfums. Même en ce mois de janvier, les fleurs jouaient les belles et dodelinaient de la tête au vent venu des sommets acérés.
Sur les flancs des montagnes, de multiples chemins de randonnées sillonnaient de petites parcelles cultivées, irriguées par des « levadas », ces étroits canaux d’irrigation qui permettent encore aujourd’hui l’acheminement des eaux venant du sommet des crêtes jusqu’aux cultures situées au sud de l’île. Il fallait un pied sûr, pour ne pas glisser dans les eaux pétillantes des canaux d’un côté ou dévaler les ravins vertigineux de l’autre. Tout en bas, dans un fracas assourdissant, les vagues s’écrasaient contre les roches noires volcaniques. Devant ce spectacle impétueux, les paroles étaient inutiles. Seul comptait le chant de la terre et de la mer, unissant leurs voix dans ces vibrantes mélopées.
De petits villages composées de charmantes maisons colorées s’agrippaient aux pentes escarpées, témoignant dans certains recoins de l’île et notamment dans la capitale d’une forte densité humaine, le tout tranchant avec la rigueur de l’Océan Atlantique. Dans les jardins, les fleurs hivernales rajoutaient des touches colorées, donnant l’impression, même en cette saison, d’une végétation luxuriante. Non loin des propriétés bien ordonnées, les vignes en pergolas attendaient patiemment le retour de la belle saison pour produire un vin doux, chauffé aux rayons du soleil. Tout près des feuilles cuivrées de janvier, les cultures de bananes et d’oranges complétaient ce tableau exotique. Et pendant que les vieilles et vieux des villages s’usaient les genoux sur les chemins escarpés des bourgades, les voitures montaient et descendaient des pentes hallucinantes dans un bruit de freins étourdissant.
Alors que les bords de mer semblaient vivre dans une éternelle douceur, les sommets, piquetés de tours rocheuses et de crêtes fascinantes dont certaines culminant à plus de 1800 mètres, se perdaient souvent dans des voiles de brume et de brouillard, fantomatiques et ne se laissant gravir qu’au prix d’un intense effort physique. Et au milieu de l’île, un immense plateau, parsemé de fougères et de prairies de mousse où des troupeaux de vaches paissaient tranquillement, rappelait les tourbières écossaises.
Afin de se réchauffer après avoir touché du bout des doigts les nuages, le retour dans les bourgades de pêcheurs permettait de côtoyer une population souriante et accueillante, fière de son pays et de ses racines. Et dans le petit port coloré, où des bateaux déchargeaient des espadons pendant que des roussettes accrochées sur des châssis de bois séchaient au soleil, une partie de cartes enjouée réunissait les hommes, yeux rivés sur leurs jeux, comme si leur vie entière en dépendait.
« L’Ile aux fleurs », si paisible au milieu de l’Océan, semblait vivre un printemps éternel, presque oubliée des fracas de la vie moderne. Et pendant que le temps s’enroulait autour des troncs rugueux des bananiers, virevoltant dans les parterres fleuris et s’engouffrant dans le ressac de l’eau, je m’imaginais voguer dans une douce musique, blottie au creux de tes bras.
De retour, mon esprit vagabonde encore et encore. Et dans tes yeux, je replonge dans les cascades scintillantes qui dévalaient les montagnes pour mourir amoureusement dans l’Océan.
Sur les flancs des montagnes, de multiples chemins de randonnées sillonnaient de petites parcelles cultivées, irriguées par des « levadas », ces étroits canaux d’irrigation qui permettent encore aujourd’hui l’acheminement des eaux venant du sommet des crêtes jusqu’aux cultures situées au sud de l’île. Il fallait un pied sûr, pour ne pas glisser dans les eaux pétillantes des canaux d’un côté ou dévaler les ravins vertigineux de l’autre. Tout en bas, dans un fracas assourdissant, les vagues s’écrasaient contre les roches noires volcaniques. Devant ce spectacle impétueux, les paroles étaient inutiles. Seul comptait le chant de la terre et de la mer, unissant leurs voix dans ces vibrantes mélopées.
De petits villages composées de charmantes maisons colorées s’agrippaient aux pentes escarpées, témoignant dans certains recoins de l’île et notamment dans la capitale d’une forte densité humaine, le tout tranchant avec la rigueur de l’Océan Atlantique. Dans les jardins, les fleurs hivernales rajoutaient des touches colorées, donnant l’impression, même en cette saison, d’une végétation luxuriante. Non loin des propriétés bien ordonnées, les vignes en pergolas attendaient patiemment le retour de la belle saison pour produire un vin doux, chauffé aux rayons du soleil. Tout près des feuilles cuivrées de janvier, les cultures de bananes et d’oranges complétaient ce tableau exotique. Et pendant que les vieilles et vieux des villages s’usaient les genoux sur les chemins escarpés des bourgades, les voitures montaient et descendaient des pentes hallucinantes dans un bruit de freins étourdissant.
Alors que les bords de mer semblaient vivre dans une éternelle douceur, les sommets, piquetés de tours rocheuses et de crêtes fascinantes dont certaines culminant à plus de 1800 mètres, se perdaient souvent dans des voiles de brume et de brouillard, fantomatiques et ne se laissant gravir qu’au prix d’un intense effort physique. Et au milieu de l’île, un immense plateau, parsemé de fougères et de prairies de mousse où des troupeaux de vaches paissaient tranquillement, rappelait les tourbières écossaises.
Afin de se réchauffer après avoir touché du bout des doigts les nuages, le retour dans les bourgades de pêcheurs permettait de côtoyer une population souriante et accueillante, fière de son pays et de ses racines. Et dans le petit port coloré, où des bateaux déchargeaient des espadons pendant que des roussettes accrochées sur des châssis de bois séchaient au soleil, une partie de cartes enjouée réunissait les hommes, yeux rivés sur leurs jeux, comme si leur vie entière en dépendait.
« L’Ile aux fleurs », si paisible au milieu de l’Océan, semblait vivre un printemps éternel, presque oubliée des fracas de la vie moderne. Et pendant que le temps s’enroulait autour des troncs rugueux des bananiers, virevoltant dans les parterres fleuris et s’engouffrant dans le ressac de l’eau, je m’imaginais voguer dans une douce musique, blottie au creux de tes bras.
De retour, mon esprit vagabonde encore et encore. Et dans tes yeux, je replonge dans les cascades scintillantes qui dévalaient les montagnes pour mourir amoureusement dans l’Océan.
Magnifique, le cadre est absolument fabuleux, on comprends aisément que tu sois tombée sous le charme, ta dernière photo me laisse perplexe, on se croirait au sein d'une société réservée aux hommes, on ne voit pas beaucoup de femmes dans le décors, j'ai cru en distinguer deux et je ne suis pas sur de moi, je n'aime pas trop ces endroits ou les femmes n'ont pas leur place
RépondreSupprimerAmicalement
Claude
Hello le Penseur. Oui, cette île avait tout pour me plaire et sans doute que je vais y retourner, un jour ou l'autre, pour faire toutes les randonnées que je n'ai pas encore pu effectuer. La première photo donne une belle représentation des sommets et des minuscules villages au pied des montagnes, ainsi que des fleurs, même en janvier. Tu fais une bonne remarque concernant la 2ème photo. Je l'avais remarqué également mais j'ai choisi de la montrer car elle donne une bonne image de ce qui se passe dans les petits ports. Les hommes jouent aux cartes (tu remarqueras que ce sont certainement tous des retraités). Les femmes s'engouffrent dans les cafés le matin pour se retrouver et discuter, sans les hommes. Certaines féministes crieraient au scandale. Ce n'est pas mon cas, pour moi, c'est une scène de vie, pleine de vie. Bises alpines et belle fin de semaine.
SupprimerExpliqué de cette façon je comprends mieux, les femmes dans les café avec des conversations de femmes et les hommes sur les terrasses avec leurs jeux et leurs mots, si c'est ainsi que ça se passe il ni y en a pas un des deux qui est déconsidéré et c'est tant mieux
SupprimerAmicalement
Les femmes avaient l'air enjoué dans leurs conversations et le jeu de cartes des hommes l'était tout autant. ;-)
SupprimerCoucou Dédé.
RépondreSupprimerTout comme les "Cangaceiros" tu es descendu de ta montagne.
Superbe paysage.
Des joueurs de cartes passionnés (pour nous semble la Belotes)il porte sans doute un autre nom, dans le coin.
Très belle fin de semaine.
Bises, A +
Coucou Daniel. Oui, je suis descendue de ma montagne pour en gravir d'autres, certes plus vertes mais tout aussi escarpées! Tu as raison, ils étaient très passionnés et les spectateurs faisaient également partie du jeu. Bises alpines et belle fin de semaine à toi aussi.
SupprimerPar contre, je ne sais pas le nom du jeu. Peut-être qqn pourra-t-il nous aiguiller?
SupprimerDeux photos très différente. Un point de vue splendide pour la première et une image très conviviale pour la seconde.
RépondreSupprimerEt nul doute au travers tes mots que tu sois sous le charme, ce que je comprends vraiment.
Et puis, quel beau nom "L'Île aux fleurs".
Bises et très bonne journée à toi
Il y a des fleurs toute l'année. Bien sûr, le printemps est la plus belle saison pour les voir éclore mais, moi qui venais des Alpes enneigées, j'ai été bien contente de voir les fleurs de janvier! Bises alpines Pascale et belle fin de semaine.
Supprimerbonjour Dédé , waouh la photo avec ce village tout en bas dans la vallée j'aime ! et quel beau récit ! merci et
RépondreSupprimerune partie de carte comme Pagnol hi hi hi ! gros bisous beau weekend A+ amicalement
Coucou Bébert-l'enthousiasme. Les villages semblent accrochés, presque prêts à tomber dans la mer. C'est impressionnant de les voir si petits dans un si grand décor de montagnes. Quant à la partie de cartes, elle m'a bien plu. Bises alpines et belle fin de WE à mes baroudeurs préférés.
SupprimerCe que tu montres, ce que tu racontes, une île aux fleurs, ça ressemble bien au paradis...
RépondreSupprimerEt la scène de cartes est extra aussi, le cercle photographié est une superbe scène de vie.
Coucou Sophie. Un paradis qui est bien fragile. Comme dans beaucoup d'îles, les promoteurs s'emparent de la moindre parcelle de terrain pour tenter de construire. Heureusement, nous sommes loin de certains bords de mer, comme la Costa Brava. Le gouvernement se rend compte qu'il doit préserver ce patrimoine culturel et naturel et une prise de conscience s'installe. Merci pour tes commentaires concernant les photos. Bises alpines et à bientôt.
SupprimerSuperbe endroit, je comprends si bien que tu comptes y retourner!
RépondreSupprimerUne île comme on les aime, celles où il y a une grande variété de paysages, en plus des plages:-)
Dans mon village îlesque, le matin ce sont les hommes qui jouent aux cartes, l'après-midi les femmes, sans se mélanger et c¡est bien comme ça, non?
Bonne journée!
Hello! Je compte y retourner car je n'ai pas fait toutes les randonnées voulues à cause d'une foutue grippe qui m'est tombée dessus. Alors je reste un peu frustrée mais contente d'avoir eu une première approche.
SupprimerPour ce qui est de cet endroit, il y a peu de plages, les sommets se précipitent dans la mer sur presque tout le contour de l'île. Les gens y vont plus pour se reposer, faire de la randonnée que pour aller se baigner. Il y a cependant de belles piscines naturelles mais qui n'étaient pas fréquentées à cette saison. L'Océan était trop froid pour s'y baigner.
Je trouve aussi bien que les hommes et les femmes ne soient pas toujours ensemble et que certaines traditions soient sauvegardées. Belle journée à toi aussi et merci de la visite.
On sent que tu as été pénétrée, sans résistance, par la beauté de cet endroit bien différent "du tien"... Autre beauté, autres couleurs, triomphe d'un printemps qui ne s'altère pas, et puis, avec tes yeux repus... voir le délice qu'il y a à vivre une vie qui ne change guère, dont on connait le scenario, parce que pères, grands-pères, mères et grands-mères l'ont vécue presque à l'identique et s'en sont trouvés bien...
RépondreSupprimerUn printemps éternel alors que chez moi, il faisait -11 degrés. :-) Le contraste était saisissant, surtout au retour! Tu as raison, certains délices de la vie, immuables, doivent se garder. Ils donnent toute la mesure de ces habitants qui se sont battus pour rester et cultiver ces lopins de terre si pentus. Bises alpines et à bientôt!
SupprimerMagnifique paysage avec un superbe premier plan !
RépondreSupprimerJ'avais un peu le vertige. ;-)
SupprimerNous aurions presque pu penser que tu étais à Collioure, les montagnes alentour où , autrefois, les raisins (et non l'eau) descendaient la pente dans des petits canaux , les routes tortueuses, les touristes et la mer. Mais ton île semble être un Eden dans lequel tu es entrée en communion avec la nature et les autochtones . Même si les fleurs du premier plan lui donnent un air "carte postale", j'aime beaucoup ta première photo en plongée sur le village.
RépondreSupprimerHello. Je pense que les montagnes à Collioure ne sont pas aussi escarpées que celles qui figurent sur la première photo. Certes, c'est peut-être une "photo carte postale". Mais pendant que tous les autres faisaient la même photo avec les montagnes et le village en contrebas à quelques pas de moi, j'étais la seule à cadrer avec mon premier plan de fleurs. :-)
SupprimerBonjour Dédé
RépondreSupprimerQue ce soit aux Açores, à Madeire, aux Canaries ou encore dans les îles du Cap Vert (mes préférées), le terme d'île aux fleurs est utilisé et il convient parfaitement ! Ce qui m'avait frappé ce sont les hortensias sur l'ilha de Säo Miguel... et encore les petits villages perdus sur les pentes des volcans sur l'Ilha de Santo Antåo.
Nostalgie ...
Bises savoyardes
Coucou Christian. Toutes les îles que tu cites sont superbes. Je me réjouis d'ailleurs de découvrir un jour les Açores. Et je me rappelle avec nostalgie de Santo Antao, un véritable paradis dont j'ai d'ailleurs parlé ici en 2016. Par contre, il me semble que seule Madère possède l'appellation "officielle" d'île aux fleurs. Bises alpines.
SupprimerQuel enchantement que de décrire avec tes mots sublimes et colorés , la magnificence de ces riches petites terres enveloppées d'eaux de l’océan. La nature prend ses droits, marient montagnes et vallées, soudent l'eau et la terre. Quelle beauté que ces succulents paysages qui ressemblent tant aux montagnes kabyles perchées là-haut dans les nuages.
RépondreSupprimerC'est toujours avec bonheur que je te lis charmante poétesse
Mes bises infinies, Dédé.
Ah mon cher Bizak. Un jour peut-être, verrai-je ces belles montagnes si chères à ton coeur. Mais je suis contente pour l'instant de partager avec toi et les autres, ces montagnes que je viens de découvrir. De toutes façons, les montagnes du monde ont toutes un dénominateur, elles nous permettent de nous rapprocher de l'infini du ciel. Bises alpines émues.
SupprimerMais c'est le paradis. Vite je prends un billet d'avion !!Ici il n'y a que grisaille et froid. Bon WE !
RépondreSupprimerEst-ce que tu prends un billet retour ou pas? :-)
SupprimerOui car je suis attaché ma région !!
SupprimerJe n'aimerais pas vivre tout le temps dans ce genre de pays. Les saisons me manqueraient mais c'est cependant magnifique et je comprends que tu veuilles y retourner.
RépondreSupprimerIl est vrai que sous nos contrées, nous sommes habitués à la valse des saisons mais j'imagine que les natifs de l'endroit sont bien heureux de ne pas avoir de vrais hivers.
SupprimerUn paysage impressionnant, et une belle scène de rue fourmillante de vie! Mais quand même... ça ne manque pas un tout petit peu d'hiver? Le vrai?
RépondreSupprimerBises ravies de voir le soleil revenu ailleurs que sur tes photos, et le froid en prime. Le vrai hiver, quoi! :-))
Je savais que j'allais le retrouver le vrai hiver. Il est bien là, devant ma fenêtre. Mais j'aime à me souvenir de la douceur des fleurs. Bises alpines.
SupprimerCoucou Dédé,
RépondreSupprimerje suis venue régulièrement chez-toi mais je tombais toujours sur ton billet de Noël !
Super .... enfin, un nouvel article !
Je te souhaite beaucoup de douceur et de bien-être pour 2019.
Mais je vois que tu as bien commencé l'année ! Une merveilleuse île, un climat délicieux. Tu nous reviens avec de beaux souvenirs.
L'île aux fleurs ne serait-ce pas le paradis ?
Belle fin de semaine. Bisous
Coucou Elisa. J'avais annoncé à la fin de mon précédent billet que je prenais une petite pause. ;-) J'en avais bien besoin et elle m'a permis d'aller à la découverte d'un nouvel endroit dont j'ai rapporté ces nouveaux clichés. Le climat était bien en effet. Mieux que par chez moi. Mais il faut faire attention, même là-bas, les nuits peuvent être fraîches et au sommet des montagnes, il faut avoir sa petite laine à portée de main. D'ailleurs j'ai attrapé froid...
SupprimerBises alpines et merci de la visite.
Quel magnifique paysage!...J'aime beaucoup tes fleurs en premier plan!
RépondreSupprimerLes fleurs sont contentes que tu les aimes bien. :-)
SupprimerMerci pour ce doux rayon de soleil que tu plantes au cœur de l'hiver.
RépondreSupprimerPhotos et mots nous réchauffent de concert.
Bises de la Loire.
On a bien besoin d'être réchauffé avec les températures qui sont annoncées pour ce WE! Couvre-toi bien et merci de la visite. Bises alpines.
SupprimerBonjour, je ne sais pas où c'est, mais c'est un endroit magnifique;; j'irais bien, non pas à cause du froid, ça ne me gêne pas, mais à cause du manque de soleil ! je te souhaite une bonne journée, bisous
RépondreSupprimerHello Francine. Je comprends. Je supporte assez bien le froid mais il est vrai que le manque de luminosité, je le vis un peu plus mal. C'est pour cela que si j'ai l'occasion, j'aime bien couper l'hiver avec une petite escapade dans un coin un peu chaud et ensoleillé. Bises alpines et belle fin de semaine.
SupprimerBonjour Dédé, je vois tes photos et ton texte et si je le pouvais j'irai vraiment vivre dans ces villages juste pour prendre un bain d'"Humain" afin de renouer ce contact que nous avons tous besoin. Ici en Isère (en ville surtout), nous nous éloignons un peu plus. Nous vivons avec en gardant la Joie de Vivre et l'optimisme ! Bonne continuation et bon weekend ;)
RépondreSupprimerCoucou Jean-Pierre. Je pense qu'effectivement, il y a une certaine solidarité dans ces petits villages, comme dans nos villages d'ailleurs. La vie y semble plus douce que dans la grande ville, c'est sûr. Et si on jouait aux cartes? :-) Bises alpines et merci de la visite.
Supprimerun bien joli texte comme d hab... c est doux et si reposant… j aime… bisous bonne soirée
RépondreSupprimerMerci Chris. Un peu de douceur dans ce monde de brutes. ;-) Bises alpines et belle soirée à toi aussi.
SupprimerJ'ai aussi randonné une quinzaine de jours à Madère et j'en ai gardé un merveilleux souvenir
RépondreSupprimerJ'aurais voulu faire plus de randonnées mais cette saleté de grippe a fait quelques dégâts. J'y retournerai! Merci de la visite le cascadeur!
SupprimerBonsoir Dédé
RépondreSupprimerMais c'est une île paradisiaque! Madère, donc?
Il faut que j'y aille! Moi qui aime tant les fleurs...
Bises,
Mo
Oui, Madère et ses fleurs. Un paradis éternel, un printemps qui dure. Il faut y aller. Mais les mois de mars et avril sont les plus beaux. Bises alpines.
SupprimerCoucou ma Dédé !
RépondreSupprimerQuelle magnifique première photo !
Serais-tu retourner au Cap Vert ? Où ailleurs ? Je pensais à Madère également où nous aurions du aller lors de notre croisière annulée.
En tous les cas tout cela est à nouveau fort joliment décrit.
Je crois que j'ai trouvé, c'est Madère.
Bises campagnardes mouillées et froides.
Coucou ma Claude. C'est bien Madère, plus proche de chez nous que les îles du Cap Vert mais déjà un changement de climat bienvenu. Malheureusement la grippe a eu raison de moi pendant quelques jours. J'aurais voulu faire beaucoup plus. Ce sera donc pour une prochaine fois.
SupprimerSi tu as l'occasion, vas-y! La douceur de vivre y est extraordinaire. Bises ma belle et couvre-toi bien.
Si beau ! merci Dédé pour ce partage délicieux au milieu des fleurs et la beauté des monts.
RépondreSupprimerBisou.
Coucou ma poétesse provençale. Toi qui vis dans le Sud, tu sais ce qu'est la douceur de vivre. C'est un peu pareil à Madère. Bises alpines et belle fin de semaine.
SupprimerBonjour Dame Dédé,
RépondreSupprimerBien bel endroit, il est vrai, mais qui est transcendé par votre regard de poétesse... On est transporté, l'espace d'un moment, dans des contrées où tout n'est que chaleur, soleil, bonheur...
En vous souhaitant un week-end aussi beau que votre narration
Bonjour Monsieur aux grandes Oreilles. Sans doute auriez-vous aimé vous balader le long de ces levadas, les oreilles frétillant dans le vent venu des montagnes et le regard penché sur l'océan tumultueux tout en bas. A moins que vous n'ayez le vertige. Mais j'imagine que vos grandes oreilles doivent vous apporter équilibre, si tant est qu'elles soient toutes les deux de la même grandeur. :-) Bises alpines et bon dimanche.
SupprimerDécrire les lieux aimés
RépondreSupprimeren touches d'un bonheur vécu
et offrir aux autres
l'envie du voyage !
Merci Madame l'alphabet. Tu sais saisir la poésie et la retranscrire en peu de mots. Bises alpines.
SupprimerIl pleut, il fait froid, ton texte fait du bien...
RépondreSupprimerAllez! Je commence à te tricoter gants et bonnet.
SupprimerQuelle bonne bouffée d'oxygène avec cette escapade !!!
RépondreSupprimerMerci pour ce printemps éternel dont la beauté et la lumière réchauffent le coeur et l'esprit...
Bises vers toi Dédé
Avec les températures qu'il fait ces jours-ci, on a bien besoin de se réchauffer au doux soleil des souvenirs. Bises alpines et belle semaine qui s'annonce.
SupprimerÇa serait avec grand plaisir Dédé !
RépondreSupprimerJe sors le jeu. (le grand jeu?). :-))
Supprimerpetit coucou à la montagne... gros bisous
RépondreSupprimerPetit coucou au Sud. Belle soirée.
SupprimerBonjour Damalpine,
RépondreSupprimerNe modérons pas nos ardeurs à Madère !
Joli partage.
Et ce printemps permanent m'apparait appréciable et attractif.
Ah non, on ne va pas modérer nos ardeurs! Encore un petit verre de vin?
SupprimerC'est toujours une sorte de rêve éveillé que de lire les comptes-rendus de tes voyages...parce que ton style poétique pare chaque fleur, chaque arbre, chaque chose de mille étincelantes joies.
RépondreSupprimerMais dis moi, tu es donc loin de tes montagnes embrumées et givrées ?
Quoi qu'il en soit, je te souhaite de continuer toujours à prendre la vie côté merveille
♥
Coucou frangine. J'aime me souvenir des belles choses que j'ai vues. Et quand j'ai la chance de faire un voyage, de revenir pour écrire toutes ces impressions. J'étais loin de mes montagnes pendant quelques jours mais j'y suis revenue! Et je peux te dire que ce soir, il fait bien froid dehors.
SupprimerPour ce qui est de prendre les bons côtés de la vie, je pense que c'est un état d'esprit. Je n'ai pas toujours été ainsi et parfois, c'est un peu plus difficile, comme pour chacun d'entre nous, de sourire à la vie. Mais en s'y entraînant, les choses deviennent un peu plus légères. Bises alpines
Le texte, les photos : on a véritablement l'impression d'y être et cela donne une furieuse envie d'y aller, dans cette île (la même que l'an dernier?). tu nous a offert avec ce billet un merveilleux voyage, entre terre et mer. Merci et bon lundi!
RépondreSupprimerCoucou ma Dad. C'est une belle île, surtout pour la randonnée. Un peu moins pour la baignade car il y a peu de plages. Par contre, tu pourrais aller nager dans une piscine naturelle.
SupprimerL'année passée, j'étais à la Gomera, dans les Canaries. Là, c'est Madère. Pas la même langue, pas la même densité de population, pas la même impression. La Gomera a malheureusement perdu nombre de ses paysans car la vie y était trop difficile. Le tourisme permet de repeupler un peu l'île. Madère, c'est différent. Il y a toujours des cultures, c'est très vivant. Mais je n'ai pas trop aimé Funchal, la capitale, un peu envahie par les seniors allemands et anglais venus chercher en hiver la douceur du climat.
Bises et belle semaine.
Très belle île que celle de Madère, comme vous nous le dites et montrez. Par contre, y vivre - j'y suis restée neuf mois - n'est pas aussi agréable car, en parlant la langue et en vivant avec les habitants, on y découvre ce que sait que l'insularité ;)
RépondreSupprimerBonjour. Ah, je pense bien qu'il n'y a pas que des avantages à y vivre. Les mentalités n'évoluent que très lentement et j'ai senti que les habitants ont une certaine méfiance... envers l'étranger. Merci de la visite et belle semaine.
SupprimerEncore un beau voyage, et l'occasion d'un voyage intérieur.
RépondreSupprimerMagnifique panorama, avec ces fleurs rouges (tisons de diable ?) qui encadrent royalement l'arrière-plan montagneux.
Coucou Miss. Et bien grâce à toi, je sais maintenant comment s'appellent ces fleurs. Merci!
SupprimerJ'étais presque au Paradis mais il y avait le diable pas loin avec ses tisons. :-) J'ai eu chaud! Bises alpines et belle semaine.
bsr, un endroit enchanteur avec ces ce premier plan fleuri et le paysage autour.
RépondreSupprimerMerci pour ce partage
Bonne soirée
Le premier plan fleuri fait l'unanimité parmi mes visiteurs de blog, semble-t-il. Merci Danièle de ta visite et belle semaine.
SupprimerBonsoir Dédé, voila un bien joli récit en forme de témoignage de ces coins de France ou la convivialité mêlé de sérénité fait du bien au cœur !
RépondreSupprimerOh! Jerry! Tu n'as pas bien lu... :-) ce n'est pas la France mais bien une petite île dans l'Océan Atlantique. Madère. Mais je te pardonne. Bises!
SupprimerMagnifiques paysages et scène de vie du pays. De superbes photos. Tu es surement une photographe professionnelle. L'as-tu dit quelque part ?
RépondreSupprimerCoucou mon ami l'artiste. Merci pour tes compliments et non, je ne suis pas une photographe professionnelle mais j'y aspire. Un jour peut-être. A l'heure actuelle, pour être photographe professionnel, il faut vraiment être capable de tout photographier. Pas seulement des paysages mais également des portraits, des natures mortes, des objets, etc. Ce n'est pas encore mon cas. Mais il faut poursuivre ces rêves n'est-ce pas? Bises alpines et à bientôt.
SupprimerCette île me tenterait vraiment, il semble que l'on y vive bien sans grand souci... Et le paysage est si plaisant !
RépondreSupprimerMerci de nous en prêter un peu de sa chaleur DD
Bisous
Oh, je pense que les gens ont leur soucis, comme tout un chacun. Mais vivre dans un pays qui ne connaît pas les grands froids de l'hiver ou les chaleurs suffocantes de l'été, cela a sans doute du bon. Bises alpines et belle suite de semaine.
Supprimerquel beau voyage! ça donne envie vraiment, merci du partage
RépondreSupprimerBonjour Sylvie. J'aime bien partager mes impressions positives. Merci de la visite.
SupprimerDédé, un texte qui donne encore plus envie d'aller sur cette île qui je pense doit être "Madère".
RépondreSupprimerExact Bernard. C'est Madère. Il y a de superbes randonnées à faire.
SupprimerQuelle transition entre "nos" montagnes enneigées et froides (mais belles) en ce moment et ces sommets verts où les fleurs explosent. Ce doit être dépaysant de passer des unes aux autres.
RépondreSupprimerEtant plus que sauvage, je reste avec grand plaisir sur ta première photo dans la liberté des montagnes, laissant la joie et la convivialité de ta seconde photo aux autres.
Merci pour ce partage aux parfums et couleurs bien chauds.
Bises.
Coucou Val. Je comprends ta "sauvagerie" qui est parfois mienne également. Mais je ne suis pas contre parfois une bonne partie de cartes! :-) Avec un petit verre de rouge et une bonne ambiance. Mais pas trop longtemps. Je reviens rapidement à la montagne, fort belle à Madère. Si tu as l'occasion une fois. ;-) Big bises.
SupprimerPrintemps éternel, je suis d'accord mais il doit faire bien froid le soir et humide les maisons ne sont pas forcément adaptées et les corps non plus qui passent du chaud au froid.
RépondreSupprimerQuelqu'un t'a-t-il dit que ce sont des aloes que tu as photographiés ? J'en ai mais en intérieur et ils ne fleurissent jamais chez moi.
Et ces messieurs jouent à la belote portugaise (voir ICI au square des Batignolles sur Cergipontin). Tu aurais pu demander mais tu n'as pas osé. Tu t'es enfuie en ayant peur qu'on te pourchasse...
Coucou ma belle. Alors oui, le soir, il ne fait pas très chaud mais les maisons sont confortables. Disons que Madère vit à des températures tempérées un peu toute l'année. Et cela en bord de mer. Il est clair que les villages accrochés tout en haut de la montagne sont moins nombreux et il est plus difficile d'y vivre certainement. Surtout qu'en janvier, il y a souvent des brouillards qui traînent en hauteur.
SupprimerQuant à ces messieurs, je ne pouvais pas leur demander ou jouer avec eux, je ne sais pas le portugais. :-))
Madère est une merveilleuse terre de contraste, j'y suis passée lorsque j'étais enfant et que nous nous rendions en Côte d'Ivoire par voie maritime sur un cargo de voyageurs. Pouvoir gratter les nuages après avoir cajolé la mer n'est pas donné à toutes les contrées...
RépondreSupprimerOn a eu de la neige ici mais guère, juste de quoi réjouir un peu les gens de la plaine...
Ah. Alors mon billet a dû te rappeler plein de souvenirs de voyage. Il y a des gros bateaux qui s'y arrêtent maintenant et qui déversent leurs flots de touristes qui repartent 12 heures après et qui filent sur les Canaries, ensuite le Cap Vert et pour finir dans les Caraïbes.
SupprimerQuant à la neige, quelques centimètres peuvent déjà faire de jolis petits bonshommes de neige. :-) Bisous.
Coucou Dédé.
RépondreSupprimerMerci de tes gentilles visites.
Très bonne fin de semaine.
Bises, A +
Et merci pour les tiennes. Bon WE. Ici, les températures sont glaciales. Brrrr. Bises alpines.
Supprimerle temps des fleurs... en janvier, mon rêve! je me contente des hellebores dans mon coin de jardin....bises
RépondreSupprimerQuand je ne suis pas en voyage, je regarde mes plantes vertes. Parfois, elles donnent quelques fleurs. :-) Bises alpines.
SupprimerAurais-tu jeté ton dévolu sur ton île paradisiaque pour t'éterniser loin du bruit ? sinon il nous manque les échos et les sons harmonieux de ta voix pour nous agrémenter les journées moroses qu'on vit ici.
RépondreSupprimerC'était juste un coucou d'amitié !
Bisous Dédé
Coucou. Je suis de retour mon chez Bizak et bien là dans mes montagnes où il fait très froid mais le soleil brille généreusement. Je te souhaite du soleil dans le coeur à défaut d'être dans le ciel. Bises alpines et à bientôt.
SupprimerUne série qui fait du bien compte tenu de notre météo excécrable
RépondreSupprimerAh! Tu as réussi à mettre un com! Super! Merci de la visite. C'est vrai qu'un peu de soleil et de douceur ne font jamais de mal. Bises alpines.
Supprimerpetit coucou à la montagnarde… tu dois être sous la neige non ? j aimerai bien en avoir un peu ici on en a pas vu depuis un bon moment… gros bisous
RépondreSupprimerCoucou. Quelques flocons aujourd'hui mais pas grand-chose. Bises!
SupprimerTa première photo se mérite, quel coup d'oeil dans la vallée ! E ce rouge des fleurs-grappes (?) qui encadre ce fastueux paysage !
RépondreSupprimerJ'aime autant ta deuxième image au ras du sol, attraper cette ambiance attentive autour d'une table et d'un jeu de cartes ♥♥ Il n'y a que des messieurs. Je parie que les dames font leur marché pour le repas de midi...Heureusement qu'elles papotent avec les copines, du moins j'ose l'imaginer :-)
Merci aussi pour ton texte qui nous permet de voyager avec toi !
Bisous frisquets !
Coucou Fifi. Oui, avoir un tel coup d'oeil sur les montagnes et les villages en-dessous se mérite. C'était un beau paysage. Quant à la deuxième photo, tu as raison, il n'y a que des hommes. Les femmes sont occupées ailleurs. Ce qui donne un aspect bien viril au jeu. On sentait la tension palpable entre les joueurs, les coups d'oeil entre eux et les spectateurs semblaient également vivre intensément la partie! Un grand moment!
SupprimerIci, quelques flocons aujourd'hui et aussi bien froid. Bises alpines.
P.S. Pour les fleurs, Cergie a parlé d'aloes. Et Miss-Yves de tisons du diable. ;-)
aloes
sur la première photo je pensais être à la Réunion
RépondreSupprimerEt bien tu as perdu. "vous êtes le maillon faible". ;-)
SupprimerPar contre, sur la 2ème, c'est une réunion de joueurs de cartes. ;-)
Il est bon d'avoir un lieu ressourçant où l'on peut aller se réfugier, et ensuite y retourner en rêve.
RépondreSupprimerToujours une belle écriture, Dédé, et des images magnifiques !
Merci pour ce partage. Bon début de semaine à toi, bisous.
Coucou Françoise. Je suis contente de ton retour par ici. Merci pour la visite et belle semaine à toi aussi. Bises alpines.
Supprimerbon lundi au chaud!
RépondreSupprimerJ'ai des courants d'air au bureau. Glagla.
SupprimerBonjour. Je suis venue rendre une petite visite matinale et souhaiter une bonne journée. Il doit y avoir beaucoup beaucoup de neige par chez toi.
RépondreSupprimerA bientôt.
Bonjour. Il doit y avoir à peu près 1 mètre. J'aime bien la neige et les paysages hivernaux. Ce qui me gêne le plus, c'est de devoir prendre la voiture dans des conditions pas toujours évidentes. Hier matin, par exemple, les routes étaient extrêmement mauvaises. Il faut s'habituer et rouler lentement et surtout bien anticiper. Merci de la visite et bon mardi!
SupprimerAh ces chers aloes vera qui me manquent de par la bonne humeur de leur floraison et de par leur gel qui guérit bien des maux surtout les brûlures. Certains mangent des filets d'aloe à la poêle.
RépondreSupprimerBref deux photos toutes lumineuses qui montrent que deux bonnes jambes, un bon vieux jeu de cartes et une langue pour parler suffisent à bien du bonheur. Prenons-en de la graine.
Coucou Thérèse. Je ne sais pas si j'aimerais des filets d'aloe à la poêle. Il faudrait que j'essaie mais je n'en ai pas dans mon jardin. :-)
SupprimerTu as raison, il en faut peu pour être heureux! Bises alpines et merci de la visite.
Bonjour, j''ai lu ta réponse, je n'aime pas partir au soleil en plein hiver, le retour est trop difficile !! c'est île est magnifique, j'ai vu un reportage, je crois que c'est dans échappées belles, sur la 5, je te souhaite une bonne soirée, bisous
RépondreSupprimerLe choc thermique à la sortie de l'avion n'était pas facile à gérer. Mais on s'y fait. C'est vraiment un endroit enchanteur c'est vrai. A bientôt et bisous aussi.
SupprimerC'est un réel plaisir, les mots autant que les photos...
RépondreSupprimerBienvenue Chantall et merci pour la visite! A bientôt!
SupprimerAh tu as raison Dédé, il faut parler le portugais au Portugal mais les portugais sont très doués pour les langues et parlent souvent le français. Mes joueurs de belote du square des Batignolles vivent en France, il m'était donc facile de discuter avec eux
RépondreSupprimerLorsque j'étais enfant et que nous voyagions en bateau nous le faisions sur des cargos de la compagnie des Chasseurs Réunis, le Mermoz, le Général Mangin, rien à voir avec les hôtels flottants qui sillonnent les mers chargés de touristes. On voyageait vraiment comme cela et on prenait le temps de le faire.
Bah oui la neige de Cergy est grise lorsque le soleil ne tape pas fort dessus. J'ai une fonction pour rectifier la balance des blancs mais je ne sais plus si je m'en suis servie. Aujourd'hui c'est la gadoue, et depuis dix jours les éboueurs en profitent pour ne pas passer
SupprimerTu n'es pas descendue voir ce qui fumait dans la vallée ? Un barbecue ? Une grosse ou une petite cheminée ?
SupprimerBises de bonne fin de semaine
Coucou Cergie. C'est vrai que le Général Mangin que tu me montres avec ce lien n'a absolument rien à voir avec les bateaux Costa! J'imagine que les croisières étaient synonymes de découvertes et aussi que vous preniez le temps. Je suis toujours effarée de voir ces touristes qui ne prennent le temps de plus rien du tout. Ils font la fête sur le bateau toute la nuit, accostent le lendemain matin avec des petites chaloupes, visitent en triple visite des sites prestigieux et repartent avec des babioles en souvenir dans leur valise. C'est un peu triste de voyager ainsi.
SupprimerQuant à ce qui fume dans la vallée, je pense que ce devait être du bois. Quelques jours avant la prise de cette photo, il y a eu de grosses pluies qui ont fait quelques dégâts dans la forêt. L'eau ruisselle dans la forêt et emporte un tas de choses sur la route que les gens ensuite ramassent et brûlent. En Suisse, on a l'interdiction maintenant de faire ce genre de "feu sauvage". Ce n'est pas le cas à Madère.
Et puis pour la neige, tant pis si elle n'est pas toute blanche. Cela reste de la neige. ;-) Bises alpines ma belle.