Il était une fois Dédé qui avait
envie d’écrire et de photographier le monde, en noir et blanc ou en couleurs.
Partout où elle passait, elle inventait des histoires et admirait les paysages.
Montagnarde, elle aimait les sommets enneigés mais ne boudait pas la mer ou
l’océan, les grandes plaines monotones, la tourbe odorante, les fleurs de janvier,
les grandes forêts magiques et leurs lutins facétieux, les lacs sauvages, les
vieux châteaux et abbayes oubliées, les petits villages et les grandes cités chargées
d’histoire. Du Nord au Sud, d’Est en Ouest, elle cheminait, inlassablement, à
chaque saison, curieuse et amoureuse.
C’est aujourd’hui le 100ème
billet pour ce blog qui ne serait rien sans vous. Pour vous remercier, je vous
offre cette photo.
Prise en automne 2017, elle est
de ces photos qu’il ne faut pas manquer. Ce soir-là, le peintre céleste était
particulièrement inspiré pour illuminer ainsi les sommets et le ciel avant la
tombée de la nuit. Aucun artifice, c’est ainsi que le paysage s’est présenté
l’espace de quelques minutes.
Et pour terminer, il est temps
pour vous de travailler un peu. Je vous invite donc à compléter cette petite
phrase toute simple : « Quand je viens rendre visite à Dédé,
je… » Je me ferai un plaisir de célébrer ainsi avec vous ce 100ème
billet.
Merci et bises alpines à chacune
et chacun de vous.
Dédé © Juin 2019
La vue est splendide, un instant de magie que tu as eu le privilège de pouvoir saisir, je sais que ces instants sont fugaces et réussir à marier dans le feu du ciel les sapins et les sommets enneigés, c'est du grand art
RépondreSupprimerAmicalement
Claude
Coucou Claude. Il fallait faire vite, sortir l'appareil, faire quelques réglages, demander au ciel de ne pas bouger et faire clic. :-) Merci de ta visite et bises alpines.
Supprimer"Quand je viens rendre visite à Dédé, je" me prépare à m'échapper du quotidien pour m'envoler le plus souvent au cœur des montagnes pour rejoindre Dédé dans ses pérégrinations et je savoure... Merci Dédé pour tes mots infatigables.
RépondreSupprimerCoucou Thérèse. Merci d'avoir joué le jeu. C'est vrai que nous sommes souvent dans les montagnes chez Dédé mais aussi souvent ailleurs. :-) Bises alpines et merci de tes visites infatigables. ;-)
SupprimerUn magnifique cliché illumine ta 100ème et quand je viens rendre visite à Dédé, je suis comme un enfant qui, chaque semaine, déballe sagement un cadeau sans abîmer le papier, savourant chaque pli jusqu'au plaisir d'ouvrir le couvercle et de découvrir son petit trésor hebdomadaire...
RépondreSupprimerCoucou Francis. Le cadeau est bi-mensuel depuis quelques temps, plus hebdomadaire. Mais ce que tu écris me touche. Merci de ne pas abîmer le papier et d'ouvrir délicatement le couvercle. ;-) Bises alpines et merci de tes fidèles visites.
SupprimerQuand je viens rendre visite à Dédé, je prends une petite laine contre la fraicheur de la montagne et j'arrive en apnée, pour pouvoir gorger mes poumons du bon air paisible et frais en choyant mon regard... Bonne journée Dédé!
RépondreSupprimerHello ma belle. Oui, les soirées sont fraîches à la montagne. Mieux vaut être bien équipée pour venir rendre visite à Dédé. Merci et bises alpines!
SupprimerCoucou Dédé.
RépondreSupprimer"100ème" Un siècle donc !
Cent fois merci de tes gentilles publications qui nous ravisent le cœur.
Bon weekend.
Gros bisous, A +
Tu vois mon cher Daniel. Me voici vieille. :-)) Merci de passer régulièrement me faire un petit coucou et cela depuis mon tout premier blog de l'époque. Bises alpines.
SupprimerQuand je viens rendre visite à Dame Dédé, je mets entre parenthèses mon activité professionnelle, je laisse de côté mes recherches brusques et opiniâtres sur internet, je n'accorde plus d'attention à mon agenda et ses rendez-vous...
RépondreSupprimerQuand je viens rendre visite à Dame Dédé, c'est comme si j'ouvrais une fenêtre, recevais un peu d'air frais en plein visage, entendais à nouveau la mésange musicienne, ressentais en moi un frisson de nature sauvage...
Quand je viens rendre visite à Dame Dédé, je encontre un autrepart, je trouve un lieu inconnu, ou alors la réminiscence d'une image ancienne et lointaine, je bois à la source de la poésie et de la fiction, je suis ailleurs...
Quand je viens rendre visite à Dame Dédé, je me concentre, j'explore mes entrailles, je retrouve une sensation intime, un tréfonds poussiéreux, que j'extrais à force d'analyse et de discours...
Quand je viens rendre visite à Dame Dédé, j'inscris ici le fruit mûr consécutif au labour, le soleil qui suit la nuit profonde, l'obole qui provient de la pénitence: un texte rassemblant mon être intime, laborieusement inspecté et mis en paroles...
Quand je viens rendre visite à Dame Dédé, et après avoir publié mon petit mot, je reprends ma longue marche quotidienne, mais avec une lueur en plus, au creux de mes entrailles et de mon coeur...
Oh! Merci Monsieur aux grandes oreilles. Je n'en attendais pas autant mais me voilà comblée de savoir que je vous procure autant de petites joies quand vous passez ici un vendredi sur deux. Et si je peux alléger votre quotidien de dur labeur, vous mettre dans le coeur un peu de joie et dans les yeux des images qui vous comblent, j'en suis, ma foi, fort heureuse. J'imagine vos grandes oreilles frétiller à l'écriture de ce commentaire. ;-) Merci mille fois et bises alpines mon cher Monsieur. Prenez bien soin de vos grandes oreilles dans les heures qui suivent, on annonce de forts vents par ici et là. Il ne faudrait pas qu'elles s'envolent.
SupprimerUne magnifique centième !
RépondreSupprimerMerci. Champagne! :-))
SupprimerAujourd'hui en venant rendre visite à Dédé je m'extasie, tout autre mot serait de trop !
RépondreSupprimerQuand je viens rendre visite à Dédé je viens à la rencontre de la beauté de la nature et à la féérie des contes et légendes de son imagination.
Quand je viens rendre visite à Dédé, Je viens lui offrir une goutte de poésie pour lui dire MERCI !
Coucou Madame l'alphabet! C'est vrai que tu me laisses toujours ta poésie en retour et j'apprécie beaucoup lire tes vers et ta prose. Merci pour cela et pour tes visites fidèles et bises alpines.
SupprimerCoucou ma Dédé !
RépondreSupprimerTu nous gâtes pour ta 100ème. Un chef d'oeuvre cette photo, elle est magnifique, sublime, splendide, je dirai même somptueuse.
Quand je viens rendre visite à Dédé, j'en prends plein les yeux, tant par ses photos que par ses textes dont la prose magnifiquement imagée, ressemble à un poème.
Dédé, tu n'as pas ton pareil pour nous enchanter par ton talent de photographe et par ta plume.
Gros bisous sarthois et venteux
Coucou ma belle. Cela fait un moment qu'on se côtoie sur nos blogs respectifs et puis le virtuel s'est transformé en réel aussi! Tu es une fidèle de la première heure et je te remercie pour cela. Bises alpines
SupprimerBen oui hein ! Avant Rouen et après, et toujours.
SupprimerMoi aussi je te remercie de ta fidélité.
Gros bisous !
Bon jour Dédé,
RépondreSupprimerTout d'abord, magnifique sensation en découvrant la photo de ton article du jour. Une merveille dans ces superbes teintes.
Bravo pour ta 100° et toujours le plaisir de te lire.
Bises et bonne journée
Merci Pascale. Je n'ai pas fait grand-chose pour la photo. Il faut remercier la nature. 😊 bises alpines et merci de la visite.
SupprimerQuand je rends visite à Dédé, je me demande
RépondreSupprimersi le site photographié sera montagneux, maritime, d' ici ou d' ailleurs,
si le N et B ou la couleur seront au rendez-vous
si le temps atmosphérique sera à la neige, à la brume, au soleil,
si les mots seront mélancoliques, joyeux, mi-fée, mi-raison...
Surprise du jour, ces couleurs flamboyantes pour l' anniversaire :merci et bravo.
Hello Miss. Cela fait un moment que je voulais publier cette photo mais je ne trouvais pas la bonne occasion. C'est chose faite. Merci pour ton gentil commentaire qui reflète exactement ce que je fais dans cet espace. Bises alpines
SupprimerCoucou Dédé, une merveille cette photo pour fêter la 100ème... une vraie réussite. Continue de nous faire rêve par tes mots et tes images enchanteresses. Merci
RépondreSupprimerBises et délicieux vendredi.
Hello Den. Je vais poursuivre mais je pense prendre quand même une petite pause estivale pour me reposer. 😊 Bises alpines.
SupprimerTu as raison Dédé... faut savoir se poser, se pauser de temps en temps.
SupprimerBisous du Midi.
Je me remets bien.Si heureuse !
Den
Coucou la Valaisanne :) wowwww tu nous gates pour ta 100éme !!!! vue de ding et couleur magique !!! , y'a pas la Dent Blanche dedans (le sommet le plus élevé) , merci pour ce partage , amitié d'Auvergne
RépondreSupprimerHello Steph. Non. Pas de Dent Blanche. Mais de gauche à droite les sommets les plus hauts: Weisshorn, Zinalrothorn et Obergabelhorn. 😊 Il ne reste plus qu'à grimper dessus maintenant. Bises alpines et merci de la visite.
SupprimerIncroyable, ce ciel : Il donne l'impression que la mer se trouve juste au-delà des Alpes, avec un archipel, une grappe d'îles où j'irais bien me retirer dans un cabanon, pour rêver, nager, me détendre, naviguer. Ce devait être un moment magique, unique, quand tu l'as prise, cette photographie. Elle constitue une invitation à plonger dans le monde des rêves.
RépondreSupprimerQuand je rends visite à Dédé, je prends toujours un moment pour me centrer. J'observe la ou les images. Puis, je lis le texte. Je profite de cette rupture dans mon quotidien, je prends du recul. Je me rends présente aux mots, aux couleurs, aux atmosphères. C'est toujours l'occasion pour moi de faire un voyage. C'est toujours une passionnante découverte.
Pour ce centième billet, je t'offre un bouquet de fleurs des champs, coquelicots, bleuets, marguerites, avec un petit billet : "continue encore et encore".
Coucou ma Dad. C'était effectivement un moment magique de vivre un tel coucher de soleil. Cet automne-là, je me rappelle que nous avons eu vraiment des soirs magnifiques qui nous mettaient déjà en condition pour faire de beaux rêves la nuit venue. Je regrette juste d'avoir eu les sapins devant qui gâchent un peu l'ensemble. Merci pour ton commentaire et pour le bouquet de fleurs des champs. J'aime particulièrement la grâce des coquelicots ces jours-ci. Bises alpines et beau samedi.
SupprimerBonjour Dédé
RépondreSupprimerQuand je rends visite à Dédé, j'ai hâte de lire son billet!
Ta photo est exceptionnelle! Ce sont des montagnes extraterrestres prises sous un soleil mauve?
Bisous,
Mo
Coucou. C'est bien la réalité et non une scène de science-fiction. J'ai juste eu le temps de parquer ma soucoupe volante pour prendre la photo. :-)). Bises alpines et merci des visites.
Supprimerme régale d'avance de la lecture de ses textes... et leur illustration toujours réussie. gros bisous bonne soirée
RépondreSupprimerMerci Chris pour ton commentaire et tes visites. Bises alpines et belle fin de semaine.
SupprimerQuand je viens rendre visite à DD, j'enfile mes chaussettes de laine DD et je m'installe confortablement pour déguster la petite histoire du jour…
RépondreSupprimerDieu que cette photo est belle !!!
Des chaussettes de laine à cette saison? Cela doit sentir le fromage quand tu viens rendre visite à DD. 😁
Supprimeron attend la photo du lutin facétieux
RépondreSupprimerIl est timide. Il faudra attendre encore un peu!
SupprimerIl y a des moments de vie, d'émotion, de bonheur, de partage, de complicité, de silence assourdissant, de communion et parfois de tristesse aussi, que seule la nature peut offrir à ceux qui lui ouvrent leur coeur.
RépondreSupprimerQuand je viens rendre visite à Dédé, je suis sûre de vivre tout cela grâce à et avec elle.
Merci! J'essaie toujours de faire passer les émotions du moment. Parfois joyeuses, d'autres fois plus mélancoliques. Comme la vie. Nos blogs sont ce que nous sommes. Bises alpines.
SupprimerQuand je viens rendre visite à Dédé, je suis toujours curieuse de savoir où je vais atterrir cette fois, dans ses montagnes ou ailleurs, en noir et blanc ou en couleurs, et aussi curieuse de lire les mots qu'elle va trouver cette fois pour accompagner ses images.
RépondreSupprimerDes teintes particulièrement étonnantes et belles pour cette 100ème note.
Un peu psychédélique cette photo mais elle me rappelle un si beau moment! En N&B, cela n'aurait pas été du tout la même chose! 😊
SupprimerQuand je viens rendre visite à Dédé je sais que mon esprit s'élèvera vers des sommets et qu'ainsi je trouverai la vie plus belle...
RépondreSupprimerCoucou Marine. J'espère que les sommets ne sont quand même pas trop hauts et ne nécessitent pas le port du masque à oxygène! :-) Bisous ma belle.
SupprimerQuand je viens rendre visite à Dédé, je sais que je vais voir des merveilles et c'est le cas pour cette magnifique photo. Ce ciel est magnifique. Bravo pour ton centième billet et je lis tes mots avec bonheur :-)
RépondreSupprimerGros bisous Dédé ♥
Coucou ma belle dame du bout du lac. Merci pour tes gentils mots que tu déposes toujours fidèlement ici. Le ciel était magnifique, je n'en ai pas vu souvent de semblables. Bises alpines et belle semaine!
SupprimerMagnifiques photos pour une centième !
RépondreSupprimerJ'ignorais que tu faisais aussi des voyages interplanétaires…
c'est sur Alpha du Centaure qu'on a de si belles couleurs ?
Coucou Alain. Tu ne savais pas que j'étais souvent dans la lune? J'ai un super vaisseau spatial avec vitesses automatiques et je pars souvent faire le tour de la Galaxie. Mais pour ce qui est de ce ciel, il était simplement en Suisse, tu sais, ce tout petit pays perdu au milieu de la grande Europe. ;-) Bises et merci du passage.
SupprimerCoucou Dédé et tes bises alpines !
RépondreSupprimerLorsque je viens voir Dédé déjà je prends mon temps car je sais que chez toi il y a beaucoup de choses à lire.
J'admire en premier ta photo qui est toujours très belle puis je parcours ton écrit.
Ton blog est beau tout comme cette photo prise au bon moment. il fallait être là juste à ce moment précis où le rose des nuages illumine les cimes enneigées.
Je te souhaite un bel été. Je t'envoie une bise alpine du Sud
Hello Elisa. Ah oui, les fameuses bises alpines, légères, fraîches, parfois saupoudrées de neige mais toujours agréables sur la joue. :-) Je te souhaite également un bel été dans les Alpes du Sud. Même si la semaine précédente, nous avons eu un peu de chaleur, l'été ne veut pas vraiment arriver. Il a de nouveau neigé sur les sommets. Mais on y croit. Merci pour ton commentaire et ta fidélité ici sur chaque billet. Bises alpines.
SupprimerBon anniversaire !
RépondreSupprimerQuand je viens rendre visite à ton blog, je sais que je vais ouvrir une fenêtre sur le ciel, les prés, la montagne.
Que je vais prendre une gorgée d'air pur, un rayon de lumière et quelques mots légers, qui proposent, murmurent et n'imposent jamais.
Je viens te voir comme on pousse un volet pour prendre des nouvelles d'une amie.
Bien à toi, dans la beauté.
Merci Anne. C'est bon de savoir que tu viens me rendre visite en amie. Cela me touche. Beaucoup. Alors je t'envoie aujourd'hui quelques bises toutes fraîches, un peu mouillées par une petite pluie fine qui donne l'impression que l'été ne se presse pas. A bientôt!
SupprimerAh si vous saviez … Quand je viens rendre visite à Dédé…
RépondreSupprimerj'y viens souvent à la va-vite avant d'aller dormir,
à la va-vite pour y faire juste un petit tour rapide,
et ça là qu'à chaque fois tout se corse…
je n'arrive plus à en décoller et m'y enivre d'images et de mots plus revigorants les uns que les autres.
De tout cœur, merci Dédé, pour ces cadeaux que tu nous offres avec tant de délicatesse.
Coucou Anne. Alors c'est donc à cause de moi que tu repousses toujours l'heure d'aller dormir. :-)) Merci pour ton commentaire et tes visites presque nocturnes. ;-) Bises alpines.
Supprimer« Quand je viens rendre visite à Dédé, je ne commente pour ainsi dire jamais mais j'admire toujours... »
RépondreSupprimerAh, c'est donc vous qui passez avec ce beau chapeau sur la tête? Maintenant je saurai qui vous êtes et je lèverai le mien à votre passage. ;-) Merci d'avoir laissé un commentaire aujourd'hui.
SupprimerQuand je viens rendre visite à Dédé, je sais que le texte est second, que je viens avant tout pour la photo dont je ne sais rien à part qu'elle aura été soigneusement choisie, et que ce sera un plaisir pour l'oeil !
RépondreSupprimerHello Mister K. La photo, c'est bien mais les textes, j'y passe tellement de temps. :-))!
SupprimerDédé ne nous demande pas ce que nous pensons qu'elle est mais ce qu'elle nous apporte.
RépondreSupprimerCe que tu nous apportes est ce que tu es, une personne imprévisible avec des cartes plein les mains. Tu vas en tirer une qui sera toujours surprenante. Lorsque je viens chez toi je prends une grande bouffée d'oxygène, je porte mon regard sur un vaste horizon lointain, parfois je ris, parfois je suis émue. Tu me parles de moi tout en parlant de toi. Tu as une place à part. J'aime bien passer chez toi au moment du déjeuner parce que je me dis que tu es plus disponible ou bien en fin de journée parce que tu souffles. Chaque fois que je viens te voir c'est toujours parce que j'en ai envie
Coucou Marguerite. Tout ça? ;-) Au déjeuner, j'ai parfois le temps de venir lire les commentaires et d'y répondre. Mais c'est plutôt le soir que je fais tout cela, quand la journée de travail se termine. Enfin, parfois, je le fais aussi en pleine journée car cela me change les idées.
SupprimerQuand je rends visite à Dédé, j'ouvre tout doucement la porte car je sais que je vais être éblouie (mais jamais aveuglée) et transportée aussi bien par les photos que les mots dans un monde merveilleux et si reposant... " Merci à toi Dédé ! biz Lyne
RépondreSupprimerAh oui, il faut ouvrir doucement la porte parce que parfois je dors et je ne veux pas être réveillée en sursaut. ;-) Merci Lyne et bises alpines!
Supprimerun centenaire flamboyant ! quand je rends visite à Dédé j'ai rendez vous avec la beauté ./
RépondreSupprimerMerci Emma. C'est vrai que c'est une photo festive! Merci de la visite.
SupprimerJe sais que je vais voyager, peu importe que ce soit du nord au sud ou d'est en ouest. Pour admirer cette 100ème longuement il ne reste plus qu'à planter la tente.
RépondreSupprimerAlors il faut bien planter la tente pour qu'elle ne s'envole pas et j'amène les victuailles pour le pic-nic. :-)
SupprimerUn tel coucher de soleil c'est un cadeau somptueux que tu nous transmets de la part de mère nature. Les nuages s'enroulent comme des montagnes célestes. On dirait presque une aurore boréale comme je rêve d'en voir de mes propres yeux un jour. Je me souviens de mon Monsieur O me disant qu'il voulait voir un coucher de soleil, qu'un de ses copains lui avait dit que c'était très beau. Je ne crois pas que je pourrai lui en montrer un cet été lorsque nous serons avec lui en Baie de Somme car il aura fermé ses petits yeux pour la nuit depuis longtemps. Des photos en couleurs ou en noir et blanc dis tu. Celle ci n'est pas dans les tonalités que l'on a l'habitude de voir chez toi. Tes montagnes, les paysages de tes pérégrinations sont plutôt verts avec le bleu du ciel
RépondreSupprimerQuand je viens chez Dédé je n'en repars jamais triste, j'en ai toujours retiré matière à réflexion ou à songe. Dédé c'est une très vieille amie pleine de sagesse, doublée d'une tendre petite soeur parfois bien facétieuse
Coucou ma belle. C'est vrai que j'ai pensé à des aurores boréales quand j'ai pris cette photo. J'aimerais bien voir les vraies aurores boréales. Peut-être un jour en Norvège ou en Islande. La Baie de Somme, aussi un endroit que j'aimerais visiter mais ce ne sera pas pour cette année encore.
SupprimerLe N&B dans mes photos, je l'utilise de temps en temps. Et je l'apprécie de plus en plus. Mais pas toutes les scènes s'y prêtent, comme ces aurores boréales au-dessus des Alpes. ;-)
Merci Cergie de ton commentaire. Même si je ne sais pas si je suis vraiment... pleine de sagesse. :-) Mais je suis une amie, oui. Bises alpines ma toute belle.
Quand je viens rendre visite à Dédé, ma curiosité en est excitée : quelle photo quel texte a été posté ? Certes depuis plusieurs mois je traine les pieds dans tout ce que je fais, mais le blog de Dédé reste dans mes favoris.
RépondreSupprimer;-)
Attention à ne pas trop traîner les pieds, cela use les chaussures! ;-) L'été va arriver, on va retrouver de l'énergie et au diable les pieds qui traînent. En tous les cas, contente de ton retour et merci de m'avoir mise dans les favoris. Bises alpines
Supprimerau milieu de la fraîcheur des montagnes.
RépondreSupprimerbon après-midi
Il fait bien frais aujourd'hui, c'est vrai. :-) Bonne fin de journée.
SupprimerQuand je viens rendre visite à Dédé, je suis sur d'être étonné par son imagination ébloui par ces photos.
RépondreSupprimerLe blog d' une passionnée , une raconteuse et une gente dame qui a un coup d'oeil extra.
j'arrête elle va finir par s'y croire!!!
Bonne 100 éme miss et champagne pour tout le monde !!!!
Coucou mon barbu. N'arrête surtout pas. Je m'y crois déjà. :-)) Santé! Et merci d'être parmi les fidèles de la première heure. Bises alpines.
SupprimerDe bien jolies couleurs, et pas que. En ce qui concerne la suite de la petite phrase, je n'ose pas car une autre me vient en tête.. Cent billets, eh bien, quel énergie ;)
RépondreSupprimerOh! Alors je ne saurai pas quelle est l'autre phrase. ;-) Quant à mon énergie, oui, il faut en avoir pour tenir un blog mais le rythme de parution n'est pas si élevé finalement...:-)
SupprimerBonsoir Dédé bravo pour la 100 ieme et tu sais trouver les mots pour nous tenir en haleine hihihi , superbes tes photos comme celle ci ... Merci gros bisous belle semaine à++
RépondreSupprimerMerci Bébert l'enthousiaste! Merci de la visite et du commentaire. Bises alpines et belle suite de semaine.
SupprimerQuand je viens rendre visite à Dédé
RépondreSupprimerc'est comme si je rendais visite à une amie de longue date
en silence
nous regardons les paysages
qui se font mots
et nous écoutons les mots
qui se font paysages
Coucou Pascal. Cela me touche ce que tu écris. Alors continuons ensemble à admirer les paysages et à les chanter avec nos mots. Bises alpines.
SupprimerBonjour Dédé
RépondreSupprimerMerci pour cette très belle photo du soleil couchant sur la chaîne qui va du Zinalrothorn au Bishorn en passant par le Weisshorn, l'une des plus belles montagnes de la terre. Bravo pour ces cent billets dont je jalouse la qualité d'écriture.
Bises savoyardes
Le Weisshorn, l'une des plus belles montagnes? Je suis d'accord avec toi, quand je vois le coucher de soleil sur son sommet et sur son épaule, je me dis que c'est vraiment merveilleux.
SupprimerPour la jalousie, tu sais que c'est un très vilain défaut. :-))
Bises alpines et merci de tes visites fidèles.
Quand je viens rendre visite à Dédé, j'en prends plein les yeux !
RépondreSupprimerEt plein le coeur quand elle nous conte la vie, l'amour, les fabuleux paysages...
Et pour ce centième billet j'en reste muette !!!
Difficile de ce détacher de ce paysage
Et comme la liste des commentaires est déjà longue...l'ascenseur s'épuise à faire des d'incessantes remontées tout là-haut :-)
Tu as bien fait de la réserver pour cette grande occasion
Pour tous les moments de contemplation, MERCI Dédé !!!
Bises alsaciennes
Coucou Fifi. Même si tu es restée muette, tu as quand même pu écrire un commentaire, c'est déjà bien et je t'en remercie! :-) Merci pour toutes tes visites et tes gentils mots, toujours appréciés. Bises alpines.
SupprimerQuand je viens rendre visite à Dédé, je sais que je serai admirative de ses billets alliant si bien les images et l'écriture.
RépondreSupprimerEt ce soir, quand je viens rendre visite à Dédé, je me dis que j'ai de la chance pour le jour de mon anniversaire (le 7 juin) de pouvoir admirer une si belle photo ! Merci pour le cadeau ! :-)
Belle fin de journée, gros bisous.
Coucou Françoise. Alors je suis contente si je t'ai fait un beau cadeau pour ton anniversaire. Et bon anniversaire avec quelques jours de retard mais le cœur y est! Bises alpines ma belle.
SupprimerBonjour Dédé, bien surtout d'abord je te souhaite un très bon 100ème billet, qu'il y en est des milliers d'autres surtout ! On ne se connait pas c'est vrai, mais quand je viens rendre visite à Dédé je prends plaisir à lui faire un coucou. Bon, je n'ai pas fait dans l'original et je serais entièrement d'accord avec toi, mais sincèrement j'aime discuter avec toi histoire d'avoir ce lien Humain que j'affectionne tant ! Bravo à toi en t'écrivant à très bientôt c'est sur !!
RépondreSupprimerCoucou JP! Merci de ta visite. Je suis d'accord avec toi, même si on ne sen connaît pas en vrai, on a envie de partager notre passion de la photo et des mots et de faire découvrir à nos lectrices et lecteurs les beautés que l'on rencontre au quotidien. Ce partage-là me plaît infiniment depuis que j'ai des blogs. Je n'arrive pas à me faire à la superficialité des réseaux sociaux où tout va trop vite. Mettre un commentaire chez un ami bloggeur après avoir lu son billet et admiré les illustrations demande du temps mais c'est un beau partage. Merci de me le rappeler et bises alpines!
SupprimerQuand je viens rendre visite à Dédé, c'est comme si je frappais à la porte de ma frangine : elle connaît mon goût pour les mots, elle s'exprime dans la poésie descriptive comme personne, et on vibre des mêmes paysages, des mêmes gouttes de rosée, des mêmes souffles de vent.
RépondreSupprimerBref, quand je viens rendre visite à Dédé, c'est une fontaine de joie comme un grand choc au détour d'un petit clic.
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Coucou frangine. Vibrer des mêmes paysages, c'est beaucoup. C'est comme si on respirait en même temps, à la même cadence, devant les beautés du monde, même les plus infimes. Merci de ta visite ma belle et bises alpines.
SupprimerQuand je viens rendre visite à Dédé, je sais que ses textes seront toujours bien écrits et pleins de poèsie...Continue comme ça Dédé !!
RépondreSupprimerCoucou Daniel. Je continue ainsi jusqu'à combien de billets? :-) Bises alpines.
SupprimerC'est un véritable feu d'artifice ! ce ciel qui fête avec tant éclat le 100e billet de Dédé.
RépondreSupprimerQuand je viens chez Dédé, j'avoue que c'est pour me dépayser de mes Yvelines en admirant de magnifiques photos de nature. J'ai un faible pour la montagne et ses lacs. Et les contes de la Dame de Haute-Montagne me rappellent ceux de mon enfance, ainsi c'est un pur moment de bonheur que je passe chez elle à chaque fois.
Bonne continuation, Dédé, bises nocturnes (comme d'hab' ;-))
Merci ma chère Tilia. Tu fais partie des lectrices de la première heure et c'est important pour moi d'avoir des amies et amis qui savent autant apprécier ce que je fais. Si je peux te dépayser de ce que tu vois au quotidien (mais qui doit être très bien aussi mais différent), j'en suis fort contente. Quant aux contes, j'aime bien les écrire car il me rappelle aussi mes rêves d'enfant. Et j'aime bien tes commentaires dans lesquels tu me donnes aussi matière à rêver. Bises alpines et bonne soirée.
SupprimerP.S. fais-tu des insomnies? Tes commentaires sont souvent nocturnes, ainsi que tes bises.
Ah, excellent anniversaire à toi et ton blog, bravo!
RépondreSupprimerSuperbe photo de tes montagnes, un cadeau de luxe, merciiiiiiiiiiiiiii
Coucou! Merciiiiiiiiiiiiiiiii à toi. ;-)
SupprimerBravo!
RépondreSupprimerEt cette image est splendide!
Hello Anne. Un vieux blog finalement. :-) Merci pour ta visite.
SupprimerIl y a des blogs où on s'intéresse aux mots et d'autres où on s'intéresse aux images, chez toi on fait les deux car tu aimes autant l'un que l'autre, ta sensibilité artistique est développée dans les deux domaines et tu y ajoutes ta sensibilité tout court et tes grandes antennes d'empathie
RépondreSupprimerCe midi j'ai déjeuné avec Pat dans une auberge à Auvers-sur-Oise où tu étais allée avec Monsieur B. Peut-être aviez vous pris le train depuis la gare Saint Lazare ?
Bonne fin de semaine, Dédé !
Coucou ma belle. Je regarde, je tâte. Oui, c'est vrai, j'ai de grandes antennes mais j'ai tendance à les oublier car elles sont rétractables. :-)
SupprimerJe me rappelle bien de cette petite auberge, fort sympathique et du bon moment que j'y avais passé avec M. B. C'était il y a déjà quelques temps. Nous n'avions pas pris le train, nous y étions allés en voiture. Je ne me rappelle plus trop des détails. Bises alpines et belle fin de semaine à toi aussi.
"Quand je viens rendre visite à Dédé...", je découvre... et ça m'accroche...
RépondreSupprimer...et j'ai bien envie de remonter ton temps, goûter tes textes, admirer tes photos. Et puis un peux mieux te connaître aussi. Pour essayer de faire des images, je sais que ces lumières ne durent que quelques instants où, si l'on n'est pas prêt, simplement aller chercher l'appareil est déjà trop long. Je sais que pour obtenir tes images il faut comprendre la lumière mais aussi être sur place en permanence, ne pas hésiter à crapahuter longuement, bien réveillé à l'aube ou au crépuscule, ce qui bien souvent nécessite l'inconfort mais aussi le bonheur du bivouac (essaye un peu de t'endormir et te réveiller face au Pelvoux, tiens !). En tous cas, j'aime l'ambiance de ton chétoi, je reviendrai. Et puis, même si ça peut d'abord sembler surprenant, quelqu'un qui parle aux mélèzes ne peux être qu'intéressant !
Bizouilles !
Bonjour Candide. Je ne sais pas si tu vas beaucoup en apprendre sur moi en parcourant mon blog, je cultive la discrétion. ;-) Comme toi avec ton pseudo qui ne renvoie à aucun espace, je sais juste que tu te balades parfois à Morteau. Ce qui bien sûr ne fait pas automatiquement de toi une saucisse.
SupprimerM'endormir devant le Pelvoux, ce serait super! Alors j'attends que tu organises le bivouac. Ce matin, j'ai dit au mélèze bien vert qui trône devant ma fenêtre que tu avais écrit un message. Il m'a répondu qu'il fallait que tu essaies également de parler à un de ses congénères car les mélèzes ont besoin de compagnie et aiment deviser sur toutes sortes de choses. :-))
Allez, merci de la visite et à bientôt. Bises alpines.
Bonjour Dédé.
SupprimerDepuis l'automne, tu peux désormais me trouver là: http://candide35.canalblog.com/
Mais fais gaffe, ça peut être sombre.
Comme toi amoureux de la montagne et comme je te l'ai vu écrire, nulle part ailleurs je ne me sens moi.
Après quarante ans passés en Bourgogne, c'est en mai que je suis venu près de Morteau avec l'intention d'être régulièrement en montagne pour m'entraîner en vue de projets tels que la Haute Route des Ecrins ou la Grande Traversée des Alpes. Etre tous les jours en montagne pour y être comme dans mon salon, admirer, observer, bivouaquer, éculer mes chaussures et le sac neufs achetés pour l'occasion.
Des névromes de Morton réccurents m'ont arrêté, en larmes au pied de la voiture à la descente du Suchet. (Très ?) lents méandres médicaux, je dois bientôt voir un chirurgien. C'est pas gagné car mes genoux commencent à renâcler... Découvrant peu après que mes mains ne me permettront pas d'apprendre à jour de la guitare comme je le souhaitais, j'ai passé un hiver très sombre, recroquevillé devant le possible renoncement aux deux axes majeurs de ma vie, le vivre seul en ajoutant s'il en fallait encore. Alors j'oscille entre l'envie de venir ici pour m'en mettre plein les yeux comme quand je bavais dans les bouquins de Samivel ou Rébuffat, et éviter de retourner le couteau dans la plaie. Tu n'imagines pas comme je t'envie, Dédé !
Introspection, méditation, oser, les jours qui commencent à rallonger, ça va mieux.
Et si après l'opération je puis retourner en montagne, je te prends au mot et j'organise le bivouac face au Pelvoux, à l'automne quand les mélèzes flamboient.
Juste une chose pour finir: j'avais oublié ton invitation à parler aux mélèzes mais il n'y en a pas ici. Crois-tu que ça marche avec les épicéas ?
Bises jurassiennes !
Bonsoir Candide. C'est avec émotion que j'ai lu ton commentaire. Quand la santé nous lâche, on se sent tout petit, impuissant et malheureux. Les rêves semblent alors inaccessibles et on doute de soi, de sa capacité à vaincre les obstacles. Et pourtant, il y a une force en chacun de nous qui ne demande qu'à s'exprimer, passés les premiers doutes. J'y crois à cette force, j'y crois profondément. Elle permet de "soulever des montagnes". Tu vas trouver cette force en toi pour continuer à poursuivre tes rêves.
SupprimerLa montagne, c'est une notion très vaste. Il y a de petites montagnes, il y a de hautes montagnes. Toutes ces montagnes n'attendent que toi, d'une manière ou d'une autre. Mon père est un alpiniste. Jamais je ne ferai tout ce qu'il a fait. J'appréhende la montagne différemment, peut-être plus comme une contemplative. Pas besoin de faire des 8000 mètres pour être heureux.
C'est ce que je te souhaite, être heureux, devant ou dessus une montagne.
Quant aux épicéas, il paraît qu'ils apprécient aussi beaucoup qu'on leur raconte des histoires. Bises alpines.
Ton père est un alpiniste ? Un vrai d'avant guerre alors, qui grimpait en chemise de laine et knikers de drap, avec des souliers à tricounis et ailes de mouches, bivouaquant entre les blocs ou dans de pauvres cabanes de pierres ou de planches appelées "refuges" et s'encordant d'un tour de corde de chanvre autour de la taille ?
SupprimerNon, tous calculs faits, j'ai dû remonter trop loin ! Mais après guerre alors, quand la montagne n'était pas encore un bien de consommation de masse et seulement parcourue de passionnés comme on en rencontre aujourd'hui à la fin de l'automne...
Bon, dés que ma crève est passée je sors trouver un épicéa et je m'en vais lui raconter des histoires. Avec la gouaille que j'ai... Faudrait pas qu'il se plie en huit, quand même ! ;o))
Mon père est un alpiniste d'après-guerre. :-)) Bon après, on parle de quelles guerres?
SupprimerMais tu fais bien de soulever quelque chose qui me tient à cœur: la montagne comme bien de consommation. Quand je vois les gens qui pratiquent aujourd'hui le trail en été et le ski-alpinisme en hiver, cela me fait sourire. Aller toujours plus vite, plus loin, sans regarder ce qu'il y a autour de soi. C'est un affront fait à la montagne. Et d'ailleurs, ceux qui poussent sans cesse les limites (parfois bien trop loin comme Ueli Steck et d'autres encore...) devraient se poser les bonnes questions. Finalement, à quoi sert la montagne? Juste à se donner des défis?
Je suis bien d'accord avec toi,DD. Né à Paris, j'ai découvert la montagne vers vingt ans au travers des bouquins de Frison-Roche, Samivel et Rébuffat, dans les derniers moments des chaussures entièrement en cuir qu'il fallait roder, des piolets à manche en bois et des premiers sacs à dos en nylon rouge ou bleu. Les auteurs ci-dessus décrivaient une montagne où l'homme habitait dans une rude harmonie et où on allait dans un effort mesuré et contemplatif. Les marchands et le culte de la performance ont piétiné tout ça. C'est pourquoi j'aime y aller en automne: les rares rencontres sont alors toujours intéressantes. Et il n'est alors jamais question de défis, mais plutôt du bonheur d'être là, de la sensation d'être à sa place, accepté par la nature. Ceux qui ne font que passer ne sauront jamais ce qu'ils perdent !
SupprimerBonjour
RépondreSupprimerFélicitations pour ton 100ème billet!
Cette photo est magnifique!
Quand je viens rendre visite à Dédé, je m'évade et me sens en paix.
Bisous
Coucou! Merci pour le compliment. 100 billet et je me sens fatiguée. :-) Contente que tu te sentes bien chez moi! Bises alpines.
SupprimerAlors Bravo! Et bises à toi aussi !
RépondreSupprimerClap Clap. Roulements de tambour. Et bises alpines. :-)
Supprimerquelle vue magnifique, tout comme la précédente d'Irlande je crois.
RépondreSupprimerMerci Gégé. Oui, celle-là en Suisse et la précédente en Irlande.
SupprimerQuand je viens chez Dédé je repars rasséréné ou ému, la tête pleine d'étoiles et des fourmis dans les pieds.....
RépondreSupprimerAttention à ne pas avoir trop de fourmis mon cher cascadeur. Ce n'est pas très agréable! :-) Bises alpines et merci de la visite.
Supprimersûr on a besoin de soleil et de chaleur pour se regonfler le moral... et là en plus c est le parc d un restau taï super... je t attend... bisous
RépondreSupprimerMiam, miam. :-) Bisous.
SupprimerQuand je viens rendre visite a Dédé j’y trouve toujours un plaisir pour mes yeux, 7n plaisir qui m’amene Ailleurs le temps d’une image.
RépondreSupprimerTa photo est sublime, bon 100eme!
Coucou Robert. Contente si tu voyages en venant chez moi et pas de risque de perdre ta valise ou de rater ton avion. :-) Bises alpines et merci de ta visite.
SupprimerCe ciel me happe toujours aussi violemment, on a l'impression que le jour se lève dans le creuset des montagnes enneigées
RépondreSupprimerDédé la sonneuse de cloches, tu devrais entendre Monsieur O appuyer sur la trompette de vélo rouge que nous lui avons montée. Elle te ferait sursauter.
Coucou ma belle. Ah non. Ce ciel n'est pas violent. Il est tout gentil avant la nuit. Quant à la trompette...et bien je viens de sursauter! Mon coeur s'emballe.
SupprimerBravo Dédé, un 100ème billet qui résume ton travail et ta belle passion !
RépondreSupprimerMerci Jerry. Je me sens vieille maintenant. 100 billets, ça marque.
SupprimerUn petit coucou tardif!
RépondreSupprimerBises amicales
Marie
Merci Marie. J'espère que tu vas bien. Bises alpines du soir.
SupprimerQuand je viens rendre visite à Dédé, j'en prends plein les yeux, particulièrement pour cette 100ème. Somptueux.
RépondreSupprimer… découvre un autre lieu merveilleux, un endroit où je reviendrai.
RépondreSupprimerC'est en visitant Célestine que je vous ai remarqué. Très belle découverte.
A+
GL
Bienvenue ici. Je suis actuellement un peu en pause de blog mais je reprendrai les publications... un jour ou l'autre. ;-)
SupprimerQuand je viens rendre visite à Dédé,
RépondreSupprimerson oeil fascinant, ses mots imagés,
du rêve en sarabande, enivrée serais,
au-dessus son regard, la somptuosité,
vais trouver.............
Coucou Den. Merci pour tes mots et tes passages ici. J'espère encore te ravir mais pour l'instant, je prolonge ma pause encore un peu. Bises alpines.
SupprimerQuand je viens rendre visite à Dédé, je me dis qui est ce bout de femme qui se cache derrière les photos, ses écrits, cette sensibilité.
RépondreSupprimerMon imaginaire m'inspire des formes, une femme douce comme si je la connaissais un peu, je l'imagine belle parce que j'idéalise mais l'important c'est de lire et de sentir des choses invisibles...
Douce peut-être, fort caractère assurément, belle, ce n'est pas à moi d'en juger. Enfin, si. Je suis belle, je m'aime comme je suis et c'est le plus important! ;-)
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