Abbaye de Vezzolano, Italie
La petite abbaye reposait dans son écrin de verdure chatoyant. Paisible, endormie là depuis des siècles, elle ne se réveillait de sa torpeur que quand les chants des fidèles retentissaient entre ses quatre murs de pierres.
Nous nous sommes approchés doucement, conscients que les mots étaient inutiles face à la beauté de l’édifice et qu’un silence respectueux du poids des ans et de la solennité des lieux s’imposait de lui-même.
Les oiseaux chantaient dans les bosquets aux alentours et le jardinier susurrait des mots amoureux aux roses parfumant toute l’allée menant au cloître.
La douce quiétude qui m’envahit à ce moment-là, quand un groupe de pèlerins entonna à pleine voix un chant d’action de grâce, m’émeut encore aujourd’hui. Ce jour de l’Ascension, dans la campagne italienne, il n’y avait que ferveur et respect et même le merle qui psalmodiait quelques litanies dont lui seul connaissait la mélodie fut submergé par la ferveur du chant liturgique.
Là-bas, en arrière-fond de ce paysage baigné par la lumière du milieu du jour, les Alpes encore enneigées se sont mises en prière, mains jointes dans la blancheur tardive de ce printemps. Dans cet élan mystique, une cloche teinta et le souffle du vent emporta autour du monde des notes de paix. Jetant alors un dernier regard à la lourde porte qui retenait l’esprit des lieux, nous sommes repartis main dans la main, emplis d’une tendre harmonie.
Il y a des moments tel que celui-là où le mystère et la grâce jaillissent des pierres séculaires, gardiennes d’un joyau posé délicatement dans le sein protecteur de la terre.
Nous nous sommes approchés doucement, conscients que les mots étaient inutiles face à la beauté de l’édifice et qu’un silence respectueux du poids des ans et de la solennité des lieux s’imposait de lui-même.
Les oiseaux chantaient dans les bosquets aux alentours et le jardinier susurrait des mots amoureux aux roses parfumant toute l’allée menant au cloître.
La douce quiétude qui m’envahit à ce moment-là, quand un groupe de pèlerins entonna à pleine voix un chant d’action de grâce, m’émeut encore aujourd’hui. Ce jour de l’Ascension, dans la campagne italienne, il n’y avait que ferveur et respect et même le merle qui psalmodiait quelques litanies dont lui seul connaissait la mélodie fut submergé par la ferveur du chant liturgique.
Là-bas, en arrière-fond de ce paysage baigné par la lumière du milieu du jour, les Alpes encore enneigées se sont mises en prière, mains jointes dans la blancheur tardive de ce printemps. Dans cet élan mystique, une cloche teinta et le souffle du vent emporta autour du monde des notes de paix. Jetant alors un dernier regard à la lourde porte qui retenait l’esprit des lieux, nous sommes repartis main dans la main, emplis d’une tendre harmonie.
Il y a des moments tel que celui-là où le mystère et la grâce jaillissent des pierres séculaires, gardiennes d’un joyau posé délicatement dans le sein protecteur de la terre.
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C'est avec ce billet que je vous laisse pendant quelques temps. Une pause s'impose dans le rythme de mes publications mais je viendrai vous voir de temps en temps avant de revenir ici. Bel été à toutes et tous et prenez soin de vous.
Dédé © Juin 2019
Une très belle découverte, havre de paix, d'amour et d'espoir, lieu qui inspire le partage et la communion, on se sent plus serein quand on trouve un tel endroit.
RépondreSupprimerPasse de belles vacances et prends bien soin de toi
Amicalement
Claude
Coucou Claude. Il y a de beaux endroits qui respirent la sérénité. Il faut savoir les dénicher. Merci de la visite et bel été. Prends aussi bien soin de toi. Bises alpines.
Supprimermagnifique illustration et textes... j oserais dire comme d hab... suis particulièrement touchée par cet article qui reflète vraiment ma pensée sur ce qu'est le vrai bonheur... par contre bien triste d apprendre que tu nous abandonnes... même si c est parfaitement égoïste... j espère que cette pause t apportera la sérénité... à bientôt donc je t embrasse
RépondreSupprimerCoucou Chris. Je ne vous abandonne pas, je prends un peu de recul car je suis fatiguée et l'été qui est enfin là en montagne ne dure pas. Il faut vite en profiter! Bises alpines et prends bien soin de toi.
SupprimerCes moments de grâce, la vie en douce parenthèse sont des trésors… L'abbaye romane que tu nous fais découvrir respire la paix et la sérénité. Je suis allée voir son intérieur : les fresques, les bas-reliefs, une splendeur. Merci de nous la montrer ce matin.
RépondreSupprimerL'été est une période de ruptures, de nouveaux projets. Il est temps de passer à d'autres rythmes et à d'autres activités. Je te souhaite un très beau et très prolifique été, chère Dédé!
Coucou Dad. L'été qui arrive enfin en montagne est bref, éclatant. Je dois aller le rencontrer. Mais je ne suis pas loin. Quant à l'abbaye, si tu ne la connaissais pas déjà, je te conseille le détour et ensuite un petit verre de barolo dans les Langue. :-) Bises alpines.
SupprimerJe suis certaine que tu profiteras de ta pause pour te ressourcer encore davantage, et nous ramener des moissons de beaux billets comme celui-là...
RépondreSupprimerEt bien sûr, j'ai noté cette belle abbaye dans mes projets de visite, car ça y est, je pars en Italie en septembre et j'en suis très heureuse.
Je t'embrasse chère frangine de coeur et de ciel.
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Quelle bonne nouvelle que ce voyage en Italie! Tu adoreras, j'en suis sûre! Bises alpines à travers ce beau ciel bleu d'été.
SupprimerMerci pour ce beau billet dont je me suis régalée comme de la superbe photo Dédé, bonne pause, profites du temps qui passe trop vite !
RépondreSupprimerCoucou Marine. Je sais, je n'arrête pas de lui courir après, ce fameux temps!
SupprimerCoucou Dédé.
RépondreSupprimerC'est plus qu'une neuvaine donc, c'est une retraite !
Dans un cadre pareil un moment de quiétude nous guette...
Bises..
A bientôt, que l'instant te soit beau....
Coucou Daniel. Je suis mystique parfois. :-) Bises alpines et bel été à toi aussi.
SupprimerBel été à toi aussi, avec ce magnifique "arrêt sur image" et impression paisible. Moi aussi je ferai silence pendant une bonne quinzaine, réunion de famille dans la gaité, je veux être disponible pour ça et pas pour le blog :) Bises liégeoises, très ensoleillées...
RépondreSupprimerFaire silence sur son blog, c'est bien! Et si c'est pour de belles et joyeuses retrouvailles familiales, c'est encore mieux. Profite! Bises alpines.
SupprimerBonne pause !
RépondreSupprimerMerci Manou!
SupprimerCoucou Dédé
RépondreSupprimerBel été à toi aussi chère Dame Valaisanne ! Je ne sais où tes pas (ou tes roues) te mèneront, pour ma part la semaine prochaine je retourne dans ton pays pour enrichir ma collection de bisses (actuellement 51 au compteur !).
Bises
Prends de la crème solaire et des bouteilles d'eau. On nous annonce la canicule mais les bisses sont bondissants ces jours-ci. Ce sera fameux! Bises alpines.
SupprimerUne magnifique abbaye nichée au milieu de le verdure, une belle image.
RépondreSupprimerMerci!
SupprimerC'est presque un chant que tu nous offres au travers ta prose. Cette magnifique Abbaye, est lovée dans un paysage superbe de verdure.
RépondreSupprimerMerci pour ce moment passé en ta compagnie avec toujours le grand plaisir de te lire.
Je te souhaite une bonne pause Dédé, que l'été te soit agréable et plein de sourires.
Bises et à bientôt
A toi aussi Pascale, plein de joie et de sourires pour ces prochaines semaines! Bises alpines.
SupprimerQuoi de plus beau que des notes de musique qui résonnent au sein des pierres? Justement je viens de chercher et de trouver les livre de Roger Caillois "La lecture des pierres" en anglais en pdf pour une copinaute américaine.
RépondreSupprimerJoyeuse pause Dédé, à bientôt.
Coucou Thérèse. Il faut vraiment que je lise cet écrit! Bises alpines et à bientôt.
Supprimercomme c'est bien dit... un de ces moments de grâce où se fissure notre gangue matérielle, comme dans ce moment décrit par EE Schmidt (http://eperluette.over-blog.com/2017/01/mozart.html ) Bel été, Dédé
RépondreSupprimerCoucou Emma. Quel magnifique extrait que tu me donnes à lire. Merci! Bises alpines.
SupprimerL'abbaye accrochée à ces splendides pans de verdure nous rappelle cet avant-hier déroulé trop vite, qui étonne et révèle en nous ces beautés nichées qui demeurent.
RépondreSupprimerMon espace à moi attendra en partie, immobile, mais pas que.. je dois au contraire dégourdir mes pas.
Bonnes vacances ma chère Dédé, profite au mieux de ces instants de repos et j'attends tes textes splendides en cadeaux.
De gros bisous.
A bientôt.
Den
Je vais très bien.
Coucou Den. C'est une bonne nouvelle que tu me donnes à lire quand tu écris que tu vas bien. Oui, dégourdis tes pas, hume l'air joyeux de l'été et respire à plein poumons. C'est ce que je te souhaite! Bises alpines.
SupprimerQue c'est gentil de nous laisser avec cette paix immense qui émane de ton texte, de ton image.
RépondreSupprimerExcellente pause Dédé
Merci Colo mais je ne serai pas très loin. Bises alpines.
SupprimerComme tu dis bien les choses que l'on ressent parfois
RépondreSupprimerMerci Martine. C'était un magnifique moment que j'avais envie de partager ici. A bientôt.
SupprimerMerci de nous laisser, lors de ton absence, ce billet si plein de paix et de sérénité.
RépondreSupprimerBonne pause, chère Dédé. Grosses bises.
Merci Françoise. Profite bien de cet été qui arrive! Bises alpines.
SupprimerTu sais Dédé que je n'ai pas ton talent pour écrire et tes mots aujourd'hui sonnent "émotion", paix et douceur.
RépondreSupprimerIls viennent de faire résonner en moi le Lac de Lamartine -" Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices ! Suspendez votre cours :Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours !"
C'est ce que je te souhaite pour ton temps de pause. A tout bientôt. Bien amicalement. Chinou
Merci pour ces vers de Lamartine. Bises ma belle et à bientôt.
SupprimerQuelle délicate émotion tu partages avec nous... Merci chère Dédé,
RépondreSupprimerRepose toi bien et reviens nous en pleine forme,
Bisous,
Mo
Je reviendrai... en forme de Dédé. :-) Bisous
SupprimerQue de beauté... Vous avez assurément voyagé dans des lieux où la nature, l'œuvre des hommes, et peut-être même celle de Dieu, concourraient toutes à l'avènement d'une harmonie, d'une proportion, d'un équilibre...
RépondreSupprimerBon été, dame Dédé, et au plaisir de vous lire ensuite 😊
Bonjour Monsieur aux grandes oreilles! Harmonie et équilibre, voilà ce que je vous souhaite pour votre été. Bises mon cher Monsieur. Et prenez bien soin de vous.
SupprimerBonjour Dédé, j'aime ces édifices cachés par des arbres ou des collines, ça leur donne encore plus de mystère voir du respect.
RépondreSupprimerPar chez nous il y à le couvent de la Grande Chartreuse en Isère, tout ça pour dire que je ressens exactement la même ambiance dans ta lecture, et pourtant ça fait des années que nous y avons été. l'émotion reste intacte !
Profite bien de ta pause, l'amoureux des photos viendra te voir régulièrement !
En espérant que la grêle et les orages ne sont pas trop inquiétant dans ta belle région, je t'embrasse.
Coucou JP. Merci pour cette suggestion de visite, je ne connais pas la Chartreuse que tu cites. Et pour ce qui est de la verdure qui entoure mon abbaye, je tenais à la montrer de loin car je trouvais que c'était vraiment un bel écrin. J'ai par contre pris des photos de près mais bof, pas convaincue. Bises alpines et à bientôt!
SupprimerPas la peine d'y aller, tu décris si bien cette atmosphère de paix, de sérénité et de ferveur. J'aime entrer dans les églises, les monastères et les abbayes, m'asseoir et ressentir les ambiances.
RépondreSupprimerBonnes vacances et à bientôt sur les blogs. Bises parisiennes.
Sentir le pouvoir des pierres, c'est beau et c'est bon! Bises mon cher sage. A bientôt.
SupprimerUne très belle lumière.
RépondreSupprimerBonne pause chère Damalpine ;-)
Merci Mister K. :-)
SupprimerDe tels lieux aussi me parlent car ils ont gardé en eux l'âme de ceux qui les ont édifiés Bonne pause Dédé
RépondreSupprimerNe pas oublier les bâtisseurs, c'est vrai. Ils étaient bien inspirés pour ce bel édifice. Bises alpines mon cascadeur.
SupprimerDédé, comment ne pas avoir envie de se reposer quelques temps devant un tel lieux. Je te souhaite un bel et bon été.
RépondreSupprimerReposons-nous alors! Mais ne ronfle pas trop fort stp. Bel été! :-)
SupprimerJe te souhaite un bel été ma Chère Dédé. Tu vas nous manquer tu sais !
RépondreSupprimerJe te dis à la rentrée. Prends bien soin de toi.
Elle est belle ton abbaye Italienne dans sa verdure. Une image très reposante.
Bonne pause et un big bisou de Haute Provence
Coucou Elisa. Je ne serai pas très loin tu sais! J'ai juste besoin de recharger mes batteries car comme tu le sais, tenir un blog, c'est du boulot! Bises alpines et à bientôt.
SupprimerBel été dans la sérénité !
RépondreSupprimerA toi aussi madame l'alphabet!
SupprimerBel été à toi, Dédé, et merci pour cette ouverture sur la beauté et sur la joie.
RépondreSupprimerQu'elles t'accompagnent au long de tes jours.
Bien à toi,
ANNE
Beauté et joie, voilà ce que je te souhaite également pour ces prochaines semaines! Bises alpines.
SupprimerBonsoir Dédé ta photo est magnifique et ton texte est si beau on aime tous les deux++++ merci gros bisous beau week-end à++
RépondreSupprimerBécots à vous deux et profitez bien! Bisous!
SupprimerBelle et bonne pause, Dédé ! Parfois il faut s'éloigner pour pouvoir revenir, pour refaire le plein de beaux récits et de belles images et voir autre chose que son écran :-)
RépondreSupprimerInternet est chronophage et forcément à un moment ou un autre...
Bel été, Dédé !
Bises ♥
Internet me prend parfois la tête. Ecrire me fatigue, prendre des photos parfois aussi. Il est temps de prendre du recul mais je ne serai pas très loin. Bises alpines ma chère Fifi et prends bien soin de toi.
SupprimerUn joyau serti dans un écrin de velours vert émeraude effectivement... Bises et bel été à toi Dédé
RépondreSupprimerUn petit bijou. On est riche! Bises alpines et profite bien mon cher Francis!
Supprimerpetit coucou provençal... j espère que tu vas bien et que tu profites de ta pause... bisous
RépondreSupprimerCoucou! Et bisous.
SupprimerUne jolie photo, un joyau d'ocre sur un écran de verdure
RépondreSupprimerMerci Marie. L'endroit était beau, la photo ne fait que le refléter. ;-)
SupprimerMerci Dédé, pour ce magnifique panorama verdoyant. Un peu de fraîcheur, ne serait-ce que pour les yeux, c'est agréable par ce temps.
RépondreSupprimerComme il est fort tard (ou tôt !) je reviendrai tantôt pour lire le texte qui accompagne la photo.
Bonne pause (au frais dans tes hautes montagnes)
Bises et à bientôt
Coucou ma chère Tilia. Tu es très matinale ou alors tu es insomniaque. Mais ces jours-ci, c'est à ces heures-là qu'il fait le plus frais, tranquille devant son ordinateur, à regarder la verdure de ma photo. Bises alpines en surchauffe.
Supprimerimage type à regarder pendant la canicule
RépondreSupprimerJe suis d'accord mon cher Gégé. Salutations de Dédé.
Supprimer"Solennité" je ne sais pas pourquoi subitement m'a ramené plus de dix ans en arrière du temps béni où JE me marrai pas mal. J'avais plein de copains de blog et peu à peu ils ont tous disparu. Sauf toi alors je compte sur toi, tu reviendras...
RépondreSupprimerIl y en avait un que tu connaissais bien, virevoltant petit quoique territorial. T'en souviens tu, il habitait à cette époque le Valais, il pensait partager le 75 avec toi (non, pas Paris mais autre chose). A un moment on terminait nos échanges par "je t'embrasse respectueusement" par ce qu'il avait une princesse très jalouse qui le surveillait. Solennité c'est plus fort que respect mais c'est du même ordre, non ?
J'imagine cette abbaye très bien pour en avoir visité une (celle d'Autrey) dans les Vosges, du moins les jardins qui étaient tenus par un frère, frère Siméon qui enlevait sa tenue de bure pour y oeuvrer et qui devait courir pour ne pas être en retard aux offices. J'avais acheté un saule suisse (salix helvetica) dont j'avais très envie et qui n'a pas survécu chez moi. Ainsi que d'autres plants qui font toujours merveilles dans notre jardin. Comment servir le ciel lorsqu'on n'aime pas les oeuvres du créateur ?
Coucou. Oui, je me rappelle de cette époque où nous avions plein de copains blogueurs. Et puis les temps changent, certains disparaissent et d'autres apparaissent, rien n'est figé, tout est impermanent. ;-) Sais-tu ce qu'il est devenu, le monsieur à la princesse très jalouse?
SupprimerJe suis allée regarder ce qu'est un salix helvetica. Arbuste montagnard, il n'a peut-être pas aimé le grand bassin parisien et s'est laissé mourir, un peu comme Heidi à Francfort. ;-) J'espère que Frère Siméon gardait quand même un slip pour œuvrer dans son jardin! :-))
Disons que nous avons changé toutes les deux, toi en bien et moi en moins bien
Supprimer:-D
Le colibri ben non plus de nouvelles, je pourrais tenter de renouer mais je suis si paresseuse, je vais voir de temps en temps ses anciennes traces mais celles ci peu à peu disparaissent. Aux dernières nouvelles il était reparti dans ses forêts équatoriales et tant mieux s'il est silencieux, c'est qu'il a une vie trépidante
Quant au saule suisse, je l'ai peut-être malencontreusement installé en été alors que j'aurais dû avoir la patience d'attendre la bonne saison dans son petit pot, il aurait continué à faire ses petites racines, et puis il a peut-être manqué d'eau
SupprimerLe saule crevette est très spectaculaire aussi, pas très haut et lui il me réussirait c'est sûr. Mais je sais pas, j'ai plus la foi...
Les crevettes poussent dans les arbres??? Je ne savais pas! :-))
SupprimerMais oui on va attendre ton retour dans la solennité. Car tu reviendras, lorsque tu auras rechargé tes batteries et ta carte mémoire, tu as beaucoup à raconter et à nous surprendre pour peu qu'on laisse la source resurgir...
RépondreSupprimerPas trop de solennité quand même... l'instant n'est pas si grave. Je reviendrai mais là, je fatigue singulièrement des publications, même si elles ne sont pas nombreuses. Et je dois apprivoiser un nouvel objectif. ;-) Pour les photos de paysage. Alors je vais m'entraîner. Bises alpines surchauffées. (39 degrés aujourd'hui dans la plaine du Rhône...)
SupprimerWelcome à ton nouvel objectif !
SupprimerLorsque j'ai un nouvel appareil je mets très longtemps à prendre une première photo, sur celui que j'ai présentement j'ai tant attendu que pour finir je me suis aperçue que la batterie ne fonctionnait pas. Heureusement il était encore sous garantie !
Bises de la plaine de la Seine !
(Ou plutôt de la rivière Oise)
J'ai déjà testé le mien, il a l'air de se comporter à merveille. Bises alpines en surchauffe.
Supprimerje dois encore rattraper ... les photos sont superbes! et la 100ème se fête! félicitations!
RépondreSupprimerRattrape gentiment, il n'y a pas le feu au lac! Bises!
SupprimerEncore oublié de me déconnecter avant de poster un commentaire la nuit dernière, du coup il est allé se perdre dans le spam :-(
RépondreSupprimerComme tu vois, chère Dédé, ma mémoire ne s'améliore pas et je retombe à chaque fois dans la même erreur !
bref, avant de revenir ici comme promis, ma curiosité m'a poussée à aller faire un petit tour sur le net à la découverte de cette belle abbaye qui m'a profondément touchée par sa simplicité.
Aucune ostentation dans son architecture mêlant le grès à la brique, ni dans ses décors sculptés et peints. Ce qui s'accorde fort bien avec ton récit tout empreint d'une sereine contemplation.
Bonne pause Dédé, profite bien de tes balades et de l'air pur des sommets alpins.
Coucou ma chère Tilia. Ne t'en fais pas, je regarde régulièrement la boîte qui contient les spams et je peux sans autre récupérer tes messages. Ils ne sont pas perdus. Concernant l'abbaye, j'ai aussi trouvé très beau son intérieur et notamment le cloître, très bien conservé, orné de belles peintures. Par contre, je n'ai pas pris de très belles photos car je me suis un peu loupée dans les réglages. Mais ta vidéo donne un bon aperçu. A bientôt ma chère et prends bien soin de toi. Profite des beaux jours, ils ne durent pas toujours.
SupprimerCoucou ma Dédé !
RépondreSupprimerToi aussi tu déconnectes. Comme je te comprends !
Je trouve que tes mots collent parfaitement bien à ta photo.
C'est un bel écrin vert dans lequel est lové un petit bijou d'architecture.
Bonne pause et gros bisous !
A bientôt !
Coucou ma Claude. Oui, je vais prendre quelques distances par rapport au monde des blogs même si je passerai de temps en temps faire des coucous. Mais concernant ma production photographique et d'écriture, je lève un peu le pied car cela me demande beaucoup d'énergie et je n'ai pas beaucoup de temps. Et puis l'été en montagne est court, il faut en profiter. Bises alpines et à bientôt.
SupprimerBonjour, elle est nichée dans un bel écrin de verdure, on doit y être au calme; je te souhaite une bonne journée, bisous et à bientôt
RépondreSupprimerPas de touristes en masse, de cars entassés sur les routes. Quelques pèlerins et visiteurs émerveillés. Bises alpines.
SupprimerBel été à toi!
RépondreSupprimerMerci Anne. A toi aussi!
SupprimerBonne pause et repause toi bien !
RépondreSupprimerJe me pose durant la pause.
Supprimer
RépondreSupprimerMerci pour ce moment d'harmonie, avant ta pause, que je te souhaite la meilleure possible.
On a bien besoin d'harmonie dans ce monde si complexe. A bientôt!
SupprimerEt de la part de Robert du Canada:
RépondreSupprimer"Je te souhaite un repos "rafaîchissant" malgré cette canicule qui vous affecte, passes un bel été! J'ai hâte de te relire".
"Rafraîchissant" n'est pas encore le terme approprié, mais je fais le plein d'idées pour mes prochaines publications. A bientôt et bel été Robert.
Supprimerpetit coucou à ma montagnarde.. t as peut être un peu plus de fraicheur que nous... c est tout le mal que je te souhaite... gros bisous
RépondreSupprimerIl faut monter très haut pour avoir de la fraîcheur. On trouve encore un peu de neige mais il faut bien se tartiner de crème solaire car le soleil est méchant. ;-) Bises alpines.
Supprimerpetit coucou... encore de la chaleur mais c est redevenu normal.. oufff... vendredi dernier c était vraiment dur... espère que toi tu as de l air et pas trop d orages... bisous
RépondreSupprimerIl y a eu de gros orages, violents et de la grêle. Mais on se remet gentiment. Bises alpines et beau dimanche.
SupprimerAlors là, vais-je oser te parler de cochons face à un tel paysage ? Ce seraient plutôt des sangliers d'ailleurs qui sont très propres ils se lavent en se roulant dans des souilles et dorment dans des bauges bien douillettes
RépondreSupprimerLes cochons de la ferme des sablons sont en nombre en temps ordinaire et rangés par catégories d'âge. Et ils ne sentent pas bon du tout, du moins leur litière souillée de lisier sent pas glop. Lors de la porte ouverte il n'y en avait plus que trois, alors à trois ça va et ils avaient une couche de paille très épaisse. C'étaient les vacances pour eux quoi.
Je ne sais pas si j'aurai une connexion au Crotoy la semaine prochaine et de plus je serai bien occupée avec mes petits diables jusqu'à la fin du mois de juillet.
Profite du printemps tardif des fleurs et des oiseaux, du meuglement des vaches et du tintement des clarines
Grosses bises fraîches (je porte même une petite laine) du Bassin Parisien
Coucou ma belle. J'ai acheté un livre sur les fleurs des Alpes. Je sens que je vais me régaler à parcourir mes sentiers fétiches à mettre un nom enfin sur toutes ces petites dames qui tapissent les prairies. Profite bien de ce temps estival, hors du temps. Bises alpines.
Supprimerje repasse pour un petit coucou, la chaleur me fatigue mais c'st bon pour le foin , qui continue à présent pour de grosses balles rondes, il faut penser aux chevaux, aux ânes et aux biquettes.
RépondreSupprimerBonne pause Dédé, je suis en roue libre moi aussi...
Les chevaux, ânes et biquettes ont faim et il faut donc les nourrir. C'est bien qu'il fasse un peu chaud, mais pas trop. Ici, en montagne, les orages apportent tout de suite une note de fraîcheur bienvenue, mais ils ont été quand même bien violents la semaine passée. Avec la neige qui fond encore en haute altitude et toute cette eau des orages, les rivières sont bien chargées et en plaine, le Rhône est gros. Bel été et bises alpines.
SupprimerAu milieu de la nature
RépondreSupprimerentre les vielles pierres
écouter la musique de la Vie
:-)
Elle est belle cette musique de la Vie, sans fausses notes! Bises alpines mon poète et belle suite d'été.
Supprimercoucou... je viens aux nouvelles... j espère que t as pas trop d orages... bisous
RépondreSupprimerOn a eu pas mal d'orages. Mais c'est la saison. Bécots.
SupprimerCoucou Dédé.
RépondreSupprimerMerci de tes gentils passages chez moi...
C'est plus qu'une neuvaine que tu fais, c'est une retraite!
Tu ne vas tout de même porter le voile ?
Bises, profite bien de tes montagnes.....
Tu as raison Daniel, je me demande si je ne vais pas prendre une retraite anticipée. ;-) Belle semaine.
Supprimertu es partie faire campagne pour l'égalité des salaires homme- femme
RépondreSupprimerje te verrai bien en violet
C'est vrai que le violet me va bien. :-)
SupprimerBonjour
RépondreSupprimerEn voila un endroit hors du temps et de l'espace!
Je te souhaite une bonne pause!
Bisous
Merci Wolfe. J'ai bien besoin d'une pause de blog. Il faut parfois savoir décrocher. Bises alpines.
Supprimerpetit coucou histoire de te faire un gros bisou
RépondreSupprimerpetit coucou de fin de semaine... j espère que tu vas bien et que la neige est repartie... bisous
RépondreSupprimerHello. Merci pour tes passages. De mon côté, je prends un peu mes distances par rapport aux blogs...mes passages sont moins fréquents chez les amis mais je reviendrai. Bises alpines.
SupprimerUn instant de sérénité et de quiétude au sein de la petite Abbaye ou il doit faire bon méditer et se ressourcer.. Merci Dédé !
RépondreSupprimerIl est bon d'avoir des endroits et des moments pour se ressourcer et méditer. C'est vital. Bises alpines.
SupprimerMerci pour la visite estivale, j'espère que ta pause se passe dans le bonheur et qu'au moins les nuits donnent un peu de fraîcheur.
RépondreSupprimerBises et bonne journée
Les orages ont apporté un peu de fraîcheur bienvenue. Ouf! Bises alpines.
SupprimerBonjour, c'est bien verdoyant, un petit havre de paix où j'irais bien me perdre, je te souhaite une bonne journée, bisous
RépondreSupprimerUn endroit très serein et agréable à découvrir. Bises alpines.
SupprimerTu as repris le clavier en main pour venir gentiment laisser un commentaire chez moi et je t'en remercie. Est ce à dire que tu as aussi repris le chemin de ton blog ? J'ai hâte de te lire.
RépondreSupprimerBon week end.
Coucou. Non, je ne vais pas encore publier. A mon avis, pas avant le mois d'août. :-) Il faudra être patiente! Bises alpines.
Supprimerbonjour bonjour... je pense que t as récupéré un peu de fraicheur... ici pas encore mais on entend l orage au loin... ça va venir... bon week gros bisous
RépondreSupprimerLe temps oscille entre gros orages, petites pluies, soleil généreux. Bises alpines.
Supprimerbonjour ma belle un petit coucou pour te dire qu on pense à toi... bonne continuation bisous
RépondreSupprimer;-)
SupprimerUn lieu paradisiaque pour trouver la Paix intérieure.
RépondreSupprimerBises de la Loire.
Elle est tellement importante cette paix intérieure. Je suis sans cesse en train de courir après elle. Bises alpines.
Supprimercoucou je pense à toi... bonne continuation bisous
RépondreSupprimerA bientôt!
SupprimerSous quels cieux t'en es tu allée, Dédé ? As tu enfourché ton cheval, chaussé tes skis à roulettes, es tu grimpé dans un compartiment fantôme ou dans une nacelle de montgolfière ? Bonne continuation de pause, mais n'y prends pas trop goût ! La pause quand on est bien reposé cela finit par devenir une seconde nature !
RépondreSupprimerBises de retour au bassin parisien
Coucou ma belle. Une bonne pause, bien marquée, fait toujours du bien mais ne t'inquiète pas, je la prolonge juste encore un tout petit peu avant de revenir. Bises alpines.
Supprimerpetit passage d amitié... bisous
RépondreSupprimerMerci ma belle. Bisous
SupprimerIl est vrai qu’il faut prendre une pause sur le net pour se retrouver, se reposer et se ressourcer je te souhaite de la paix et de la sérénité comme cette photo que tu nous offres, au plaisir de te relire très bientôt.
RépondreSupprimerMerci Robert. Je prends goût à cette pause mais je projette de revenir tout soudain. Bises alpines et à bientôt donc.
SupprimerQuel texte magnifique, qui traduit bien la beauté de ce moment de grâce. Et la photo est splendide. il y a des lieux qui nous font croire...
RépondreSupprimerCoucou et bienvenue ici. Heureusement qu'il y a des lieux où on peut encore se ressourcer à l'abri de la fureur du monde. A bientôt.
SupprimerUn bisou en passant ;-)
RépondreSupprimerA bientôt
Coucou. Merci, merci. Je reviens... :-)
Supprimerc est vrai que la fraicheur arrive la nuit.... ceci dit c est bien agréable ici... bonne soirée
RépondreSupprimerCoucou. On arrive bientôt à Noël. :-))
SupprimerBonsoir Dédé un régal de te lire et cette photo est magnifique merci gros bisous belle semaine à+ amicalement
RépondreSupprimerCoucou Bébert. Merci de ta visite. Je publie à nouveau bientôt. Prends bien soin de toi.
Supprimertrès jolie photo et mots.
RépondreSupprimerBonne pause, à bientôt
Coucou. La pause se termine gentiment. :-)
SupprimerBonjour Dédé, tu as joué avec bonheur les ermites le temps d'une pause au sein d'une abbaye ou règne la sérénité et la quiétude. l'essentiel pour un humain !
RépondreSupprimerCoucou. Je crois que j'aimerais bien être ermite plus souvent. 😊
SupprimerCoucou Dédé, je suis ravie de voir que les feuilles de ce cerisier sont toujours aussi verte mais bientôt il va te falloir une serre pour lui garder ses feuilles comme tu mettais ton petit bonhomme de neige au congélateur tous les soirs. J'imagine toutefois que nous ne verrons pas l'automne arriver ni les cerises poindre leur nez et que tu vas bientôt te décider à nous montrer tes photos de cet été avec ton nouvel appareil que tu auras appris à maîtriser.
RépondreSupprimerBises fraîches comme il faut, du bassin parisien
Nouvel objectif ma belle. Pas nouvel appareil. Bises du matin.
Supprimer