Massif de la Bernina, Les Grisons, Suisse
Je ne m’habituerai jamais à la beauté, celle de ces montagnes majestueuses qui se dorent au soleil d’hiver, dans un froid mordant. Elles ne disent rien et pourtant, elles expriment tout, leur grandeur mais surtout la petitesse de l’homme qui, un jour, lorsque tous les glaciers auront disparu, criera son désespoir de se heurter à la pierre trop rugueuse de son orgueil démesuré.
Dédé © Mars 2021
Quel spectacle somptueux Dédé : on s'y croirait ; comme chez Philippe Delerm "la vie est en relief"..... entre la pierre rude et la blancheur immaculée de sa neige qui invite à la glissade ! quel bel attrait sur ta page matinale qui démontre une fois de plus la pauvreté imparfaite de l'homme et la beauté éternelle des montagnes, ce précieux ornement des Grisons chez toi,... dans l'impermanence des choses dans ce monde transitoire...
RépondreSupprimerMerci beaucoup .....
douce journée à toi.
Coucou Den. Attention aux glissades car c'est bien un glacier au pied des montagnes et tu risquerais de tomber dans une crevasse! Quand l'être humain aura compris que nombre de ses actions sont négatives pour la nature, peut-être qu'il sera trop tard. Espérons quand même et vivons au plus près de nos consciences. Bises alpines et belle fin de semaine.
SupprimerTu ne sais pas si bien dire, Dédé, il y a 40 ans je l'ai effectuée la glissade sur un mont des Alpes. Partie tôt le matin avec deux jumeaux guides avec d'autres personnes, en haute montagne. Cependant, pas très habituée à ces marches-là, pas très bien chaussée, vêtue d'un Kway, et en retard sur le temps imparti à la descente, nos guides nous ont dévié de notre tracé initial, avons coupé à travers les glacis et les éboulis.... et j'ai glissé, glissé, sur une descente de 7, 8 mètres, me fracassant sur un amas pierreux. Un peu sonnée, quelques bleus aux cuisses, clopinant en revenant au camping, mais pas plus que cela, par chance. Dans cette descente impromptue, je criais LE CANON, LE CANON ! il s'agissait de l'appareil photo de mon époux... tout neuf... et lui (l'appareil) comme moi sommes redescendus avec quelques retards, et quelques reproches - à moi et surtout aux guides - et notre inconscience - ... L'appareil a continué à capturer de belles photos, et moi honteuse de cette erreur qui aurait pu m'être fatale, j'ai retrouvé ma petite famille : Faby avait 8 mois, et Maryline 6 ans !
SupprimerOuf! Plus de peur que de mal! Pour toi... et pour le CANON. :-)
SupprimerDe très belles images, mais comme tu le dis pour combien de temps encore? L'humain ne sait pas admirer ce que la nature offre, il vaut toujours la conquérir et ce faisant il ne fait que la détruire, les plus beaux sommets du monde sont devenus les poubelles des prétendus aventuriers.
RépondreSupprimerAmicalement
Claude
Nombre d'individus ont pris conscience de certaines choses mais c'est aussi au niveau politique et économique que les choses doivent changer. Je suis aussi d'accord avec toi sur les aventuriers pollueurs, qui, sous prétexte de la performance sportive, ont des comportements totalement irresponsables quant à leur manière de traiter la montagne. Bises alpines Claude.
SupprimerC'est vrai, on ne s'habitue jamais à tant de splendeur, et c'est tant mieux.
RépondreSupprimerMerci pour le partage, bien à toi,
ANNE
Oui, heureusement, car l'on deviendrait blasé. Bises alpines.
SupprimerCoucou Dédé
RépondreSupprimerSublime montagne si bien par toi contée...
Très bon weekend, A +
Et encore, je ne dis pas tout ce que les montagnes me racontent. Si tu savais... ;-) Bises alpines.
SupprimerBravo, Dame Dédé, pour tant de beauté, de ciel bleu et de neiges immaculées...
RépondreSupprimerEt quel privilège, que d'avoir été témoin de cette apparition, d'avoir senti la morsure du froid dans ses membres, d'avoir ajouté aux dimensions de ta photo celle du temps partagé...
Très bon week-end, Dédé ;-)
Bonjour Monsieur aux grandes oreilles. Vous oubliez le vent, qui soufflait en rafales ce jour-là et qui rendait la prise vraiment difficile. J'avais les doigts gelés, le nez qui coulait et les oreilles qui s'allongeaient. Mais au final, le Piz Bernina m'a gratifié d'une vision idyllique à cette altitude. Merci Dame Nature d'être si généreuse pour les pauvres humains que nous sommes. Bises alpines et très bon WE également.
SupprimerBonjour Dédé
RépondreSupprimerMagnifique photo qui me fera toujours rêver.
J'aime bien : "La pierre trop rugueuse de son orgueil démesuré...", Félicitations.
Merci et bon vendredi !!!
Coucou le gitan. Parfois j'ai des envolées lyriques... :-) Merci de la visite et bises alpines.
SupprimerL'homme se comporte bien souvent comme un prédateur face à la nature. Il n'en est pas propriétaire mais seulement locataire !!
RépondreSupprimerL'homme a dû dompter la nature pour survivre, d'une certaine manière. Mais il l'avait fait en bonne intelligence. Siècles après siècles, il est devenu bien plus arrogant. Le développement durable ne doit pas rester un vain mot!
SupprimerTrès belle image de ce massif montagneux enneigé.
RépondreSupprimerChère Valaisanne
RépondreSupprimerMagnifique ce paysage de Piz Bernina ! Il figure dans mon carnet de courses pas par le Biancograt (hélas !) mais venant d'Italie par le Piz Zupo avant de descendre à skis par le glacier de Morterastch (difficile). Souvenir, souvenir ...
Bises savoyardes
C'est une très belle région en tous les cas mais moi, j'ai regardé la Bernina depuis en bas. :-) Bises alpines.
SupprimerC'est beau c'est majestueux, c'est froid.
RépondreSupprimerJe t'ai déjà dit mille fois mon Loulou que tu dois te couvrir pour venir me rendre visite: bonnet et moufles au minimum.
SupprimerLa force tranquille de la montagne, une force qui rassure en même temps qu'elle nous interroge sur nos faiblesses. Que c'est beau!
RépondreSupprimerSi seulement plus de monde sur cette planète s'interrogeait vraiment sur ses faiblesses. Que fait-on à la nature aujourd'hui? Comment est-ce qu'on cohabite avec elle?
SupprimerBonjour ma chère Dédé, Ta photo me fait rêver devant ta merveilleuse photo de ce superbe massif. Profitons encore de ces magnifiques montagnes et glaciers. Un grand merci ♥
RépondreSupprimer"L’homme se doit d’être le gardien de la nature, non son propriétaire" Philippe Saint-Marc.
Je te souhaite un très bon week-end avec de gros bisous ♥
Bonjour ma chère. Malheureusement, les glaciers fondent à vue d'oeil. La planète terre a déjà vécu des périodes de réchauffement climatique bien avant celui que l'on vit aujourd'hui. Seulement, ce qui change, c'est que là, il semblerait que ce soit un peu à cause de nous que la nature est mise à mal. Il est urgent de réfléchir tout en continuant à contempler. Bises alpines.
SupprimerRespect devant cette beauté majestueuse qui met en question notre "orgueil" et notre avidité pour avoir pillé la terre qui nous porte. Merci pour tous ces "Waouh !" que tu nous offres à chaque fois.
RépondreSupprimerAvoir nous avoir émerveillés, qu'elle nous ramène sur "le droit chemin" cette sidérante beauté des sommets.
Merci Dédé, talentueuse photographe et conteuse.
Oui, l'être humain est orgueilleux et n'apprend pas de ses erreurs. Après le premier confinement, on disait que la société allait changer de manière de faire: consommation plus locale, respect des valeurs, équité, justice. Force est de constater que dès que les magasins rouvrent, on s'y précipite pour acheter ce qui est bien souvent superflu, inutile. Quand est-ce que nous allons comprendre? Bises alpines.
SupprimerBonjour chère Dédé,
RépondreSupprimerC'est un texte court mais la pensée est élévée.
C'est vrai qu'on ne se lasse jamais de la beauté de la montagne...
Bonne journée à toi et gros bisous,
Mo
Coucou. Parfois, je m'exprime sans avoir besoin d'écrire des pavés. C'est quand je suis fatiguée. :-) Bises alpines.
SupprimerImpressionnantes ces montagnes. Il y a ce goût de se lancer dans cette nature mais les dangers inhérents. L'ensemble, vu de loin, est appaisant.
RépondreSupprimerC'est une montagne qui n'est pas facile. surtout qu'il y a un premier danger au premier plan, le glacier et ses crevasses. On le distingue moins en hiver quand il est recouvert de neige.
SupprimerBonsoir Dédé waouh d'accord avec toi j'adore les montagnes enneigées merci beaucoup gros bisous belle fin de semaine à+
RépondreSupprimerJe les aime bien aussi mais là, je crois que j'ai envie d'un peu de printemps alors que dehors il neige. :-) Bises alpines.
SupprimerJe ne pourrais m'en passer, ayant vécu aux pieds de ces colosses toute ma jeunesse valaisanne... Mais je me tiens à distance en hiver - et suis très prudente en été, leur rudesse me fait désormais peur! Une beauté redoutable!
RépondreSupprimerIl faut connaître ses propres limites quand on est en montagne. Mon père m'a appris ses dangers. Même en simple randonnée, il faut être vigilant. Foi de Valaisanne.
SupprimerTout est dit et résumé ici . Oui, l'homme est petit et il serait utile qu'il en prenne conscience afin de cesser de mettre en péril son cadre de vie. Je te souhaite un bon week end dans ton écrin blanc et pur .
RépondreSupprimerIl y a quelques signes qui sont peut-être encourageants. Mais ce qui me dérange, c'est l’ambiguïté de l'être humain: capable de descendre dans la rue pour défendre le climat tout en vivant dans une société de surconsommation quotidienne. Et je suis pareil que tout le monde.
Supprimertrès joli texte et superbement illustré... la terre nous survivra et la nature reprendra ses droits j en suis certaine... gros bisous
RépondreSupprimerCertes, la terre nous survivra mais que deviendront nos descendants?
SupprimerJ'aime beaucoup, à la fois votre photo et le texte qui l'accompagne.
RépondreSupprimerMerci à vous pour votre message.
Bonjour Madame Chapeau. Merci à vous de votre passage, qui rime avec message. :-)
SupprimerQue ces montagnes sont belles et majestueuses, oui ! Et comme l'homme est petit et bien bas, en effet. Mais la nature aura toujours le dernier mot, et cela, il ne le sait pas.
RépondreSupprimerBelle fin de semaine à toi, chère Dédé. Et un beau week-end. Gros bisous.
Mais toi tu le sais ma chère Françoise. ;-) Bises alpines et belle semaine entourée de tes oiseaux.
SupprimerBonjour Dédé, des phrases courtes mais avec d'immenses vérités.
RépondreSupprimerCette photo force naturellement le respect, physiquement quand on est face à Elle, point de paroles, la contemplation inonde.
Merci pour cette beauté, très bon weekend avec des bises de notre Isère !
Tu sais que j'ai eu de la peine à la prendre cette photo! Il faisait tellement froid là-haut que mon appareil s'est bloqué à un moment donné, plus moyen de faire des mises au point, il avait trop froid et patinait dans le vide. Il a fallu que je le réchauffe et la batterie s'est vidée en très peu de temps. Heureusement, j'ai quand même pu prendre quelques portraits de la Bernina. Bises alpines et bonne semaine.
SupprimerAlors cette photo prends encore plus de forces, merci pour cette passion de la Nature !
SupprimerBises Dédé
Que dire de plus?
RépondreSupprimerSplendeur, majesté, intériorité.
3 mots qui résument bien les choses. Merci Miss. Je vais t'engager pour devenir ma porte-parole. Tu vas à l'essentiel. :-)
SupprimerExcellemment dit... tu as toujours les mots justes et l'illustration belle et forte.
RépondreSupprimerMerci Dédé !!
Passe un doux weekend dans ce cadre si majestueux...
Damned. J'ai failli ne pas valider ton commentaire! Les affres de blogger...merci de la visite. J'aimerais avoir toujours les mots justes...mais ce n'est pas toujours le cas. Bises alpines.
SupprimerCoucou ma Dédé !
RépondreSupprimerLes belles montagnes enneigées sur fond de ciel bleu font de belles photos.
De nos jours plus personne ne respecte rien comme on dit, et quand je dis rien, c'est un vaste sujet.
Bon week-end et bises campagnardes, dans la froidure ce matin.
Coucou ma Claude. Je dirai qu'une grande partie de l'humanité ne respecte plus grand-chose. C'est vrai. Pourtant, il y a des signes ici ou là d'une certaine prise de conscience mais le processus peut malheureusement être très long. Aujourd'hui, parler du réchauffement climatique, de développement durable, cela passe après les inquiétudes liées au COVID. Bises alpines dans les giboulées de mars.
SupprimerLes montagnes vibrent haut et fort, et quand elles se parent de leur blanc manteau, c'est l'apothéose ! Juste savourer ce moment , merci Dédé, doux week end dans la beauté du monde. brigitte
RépondreSupprimerCoucou Brigitte. Garder ses yeux ouverts sur la beauté du monde, s'en rendre compte, être humble. Tout un programme! Bises alpines et bonne pose.
SupprimerUne iumage et trois lignes bien plus efficace que de longs discours .
RépondreSupprimerBises .
Je n'avais pas le courage de faire de grands discours et je ne sais pas si j'aurais été écoutée jusqu'au bout de toutes façons. :-) Bises alpines.
SupprimerComme toi chère Dédé je frissonne à la vue d'une montagne enneigée non pas de froid mais de plaisir ....symbole de la force mêlée à la pureté !Beau dimanche Bises occitanes pluvieuses
RépondreSupprimerJ'ai aussi frissonné de plaisir... mais surtout de froid puisqu'il faisait - 20 degrés environ. ;-) Bises alpines dans les giboulées.
SupprimerTiens mon commentaire a disparu.
RépondreSupprimerSacré blogspot, qui fait des entourloupes même à ses abonnés...
Que redire ? Que ta photo et le texte qui l'accompagne sont sublimes ?
Et que je pense en te lisant à cette parole du célèbre chef indien Sitting Bull « « Quand le dernier arbre aura été abattu - Quand la dernière rivière aura été empoisonnée - Quand le dernier poisson aura été péché - Alors on s'apercevra que l'argent ne se mange pas. »
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Ah! Le grand chef indien était bien sage. De cette sagesse qui semble si souvent faire défaut à notre humanité! Bises alpines.
SupprimerUne beauté à l'égal d'une coupe de chantilly. Belle et bonne journée pleine de beauté.
RépondreSupprimerEspèce de gourmand! :-) Bises alpines.
Supprimerle beau nous remplit les yeux et la tête et le coeur... on ne s'en lasse pas!
RépondreSupprimerSans le beau, que deviendrons-nous? Mais sommes-nous toujours capables de le voir et s'émerveiller? Combien de gens blasés sur cette planète?
Supprimer"Lorsque tous les glaciers auront disparu" j'ai bien peur qu'il n'y ait plus grand monde pour crier de désespoir.
RépondreSupprimerÀ propos de glaciers, je pense souvent à ceux qui donnent naissance au Rhône, ce fleuve servant de refroidisseur pour maintes centrales nucléaires disposées sur ses rives, tu vois le problème !..
Coucou. Le glacier du Rhône se meurt petit à petit, comme nombre de glaciers en Suisse. Quant au rôle du Rhône dans le fonctionnement des centrales nucléaires... à quand un changement de politique radicale concernant les énergies renouvelables? Quand je vois que des associations écologiques font des recours contre des éoliennes, je me pose quand même quelques questions... Bises alpines.
SupprimerPourquoi voudrais-tu t'habituer à la majesté, à l'émerveillement ? C'est une qualité de savoir, encore et toujours admirer.
RépondreSupprimerIci, sur ta photo, on entend aussi le bruit des craquements de la neige, de l'air qui circule...j'adore.
Un beso
Moi pas, mais quand je vois nombre de mes congénères tellement blasés devant les beautés de la nature, cela me fait réagir. Bises alpines.
SupprimerSchmoutzy printanier et frisquet.
RépondreSupprimerMais les forsythias sont de retour :-)
Coucou. Ils fleurissent aussi en plaine mais la neige persiste en montagne. Il faut juste espérer qu'il n'y ait pas de dégâts dus au gel dans les cultures.
SupprimerJe ne voudrais pas me retrouver seul, perdu dans la nuit quoique un bon duvet, un thermos de café, des effets chauds.
RépondreSupprimerVoir Vénus qui brille et s'endormir paisiblement.
Personne ne le voudrait. ;-)
SupprimerL'hiver dans toute sa splendeur
RépondreSupprimernous remplissant le cœur
de bleu soleil
Quel spectacle en effet que l'hiver au soleil. Merci de la visite.
SupprimerCoucou Dédé,
RépondreSupprimerJe vais très très bien, merci, et j'espère qu'il en est de même pour toi.
Grandiose ce panorama, et comme toi, je ne me lasserai jamais d'une telle beauté de notre nature.
Et sous ce grand ciel bleu, c'est de toute beauté.
Bises et bonne journée
Hello Pascale. Contente de te retrouver par ici. Je vais bien aussi même si la période n'est pas des plus simples. Heureusement qu'on ne se lasse pas des beautés que la nature nous offre. Elles font partie de notre quotidien et peut-être encore plus lorsqu'on est photographes. Bises alpines.
SupprimerBonjour, oui mais ce jour là il sera trop tard, je te souhaite un bon week end, bisous
RépondreSupprimerJe pense qu'il n'est jamais trop tard. On y croit! Bises alpines.
SupprimerAdmirons-les
RépondreSupprimertelles qu'elles
enveloppées de calme
et de sérénité
leur beauté impose
de les respecter
Le respect envers les montagnes et toutes les créatures de la nature. Merci pour tes mots!
SupprimerMajestueuses ces montagnes, Merci Dédé pour ton partage !
RépondreSupprimerEt dire que l'on croyait ces glaciers éternels...
On parlait de neiges éternelles sur les montagnes que j'ai côtoyées toutes mon enfance (pas celles-ci). Et aujourd'hui, quand je les revois, force est de constater que les neiges éternelles ont bien diminué, devenant des neiges tout court. Merci de la visite.
SupprimerBonjour Dédé,
RépondreSupprimerTout comme toi, je suis fascinée devant la grandeur et la beauté de nos montagnes.
Elles m'apaisent et savent me procurer un grand bien-être. Avec elles, je ne pense plus c'est un vide immense en moi qui me fais du bien. Belle fin de semaine Dédé. Bises
Coucou Elisa. C'est aussi ce que je ressens quand je suis face à elles. Je ne pourrai pas vivre dans un pays plat. N'en déplaise à Jacques Brel. Bises alpines des Alpes du Nord.
SupprimerMerci pour votre passage sur mon blog !
RépondreSupprimerMagnifiques images de la Belle Suisse toute proche.
J'ai habité de nombreuses années au Plateau d'Assy, et la montagne me manque !
Bien amicalement et MERCI
Bonjour et bienvenue ici. Je comprends que la montagne puisse manquer à celles et ceux qui l'aiment. Elle m'a manqué pendant des années et j'ai décidé, d'y revenir. Et je ne regrette pas. Je mesure chaque jour qui passe la chance que j'aie. Belle journée et à bientôt ici ou ailleurs.
SupprimerPetit coucou... je pense que la neige commence à fondre... ici c est déjà tout fleuri... bisous
RépondreSupprimerElle a fondu et là, j'ai de nouveau un mètre et plus devant la maison... Belle semaine et bisous.
SupprimerY a t-il des des restos en Suisse donnant sur une baie vitrée ou en terrasse?
RépondreSupprimerAvec de tels paysages splendides, comme sur la photo, ça doit être quelque chose la raclette suisse de Dédé et je ne parle pas du vin blanc sec et des desserts ;-)
Bises du soir
Coucou. L'endroit où j'ai pris cette photo: Il y avait un petit resto. Mais comme le COVID est présent partout, même à plus de 3000 mètres, le resto était fermé et il fallait faire la queue à l'extérieur pour commander quelques babioles et du chocolat chaud. C'était une drôle d'ambiance. Bises du jour sous la neige.
SupprimerTu crois que les glaciers vont disparaitre ?
RépondreSupprimermoi je crois qu'il y aura toujours des personnes pour fabriquer et vendre de la glace
c'est si bon la glace en été ;-)
Il y a aura toujours Pascal pour déguster des glaces en été car c'est un grand gourmand. ;-)
SupprimerTableau du Levant
RépondreSupprimerGuettant tout signe de voyage
Mon coeur chante la mer
?
Ma réponse chez toi. :-)
SupprimerJean Ferrat l'a fort bien chantée,
RépondreSupprimertoi, tu la photographie avec magie!
Tu me donnes une vraie envie de partir au pays de cette belle lumière.
Bises de ma Loire enfin retrouvée.
Coucou. La lumière est belle dans bien des endroits. Si tu vas à l'endroit où ma photo est prise, il va falloir t'équiper chaudement. Car nous sommes à plus de 2500 mètres et il doit y avoir encore plus de neige aujourd'hui qu'en janvier quand j'ai pris la photo. Bises alpines.
SupprimerJe partage votre avis : on ne peut pas s'habituer à la beauté. En être étonné chaque jour, s'en émerveiller, c'est aussi cela, vivre.
RépondreSupprimerC'est surtout cela vivre: continuer malgré tout à s'émerveiller pour tout et rien. Belle journée
SupprimerMerci pour tes visites et tes vœux de rétablissement.
RépondreSupprimerOui, la covid, pas seulement pour les autres.
Et là, la Bernina, les glaciers, on y est monté.
Pour toi, ça doit être au printemps ou en automne, nous n'avions pas tant de blancheur.
Un train ne passe pas loin, le bernina express.
Il a la particularité de parcourir un virage à 360° pour amoindrir la pente.
Mais tu connais peut être.
https://i.goopics.net/3ZV5W.jpg
Amicalement. Yann
Coucou Yannn! Contente de te savoir de retour parmi nous! J'ai pris la photo de la Bernina en janvier de cette année par une journée très très froide et avec un vent à décorner les boeufs. Je connais également le petit train que j'ai pris il y a de cela quelque années jusqu'en Italie. C'était un grand moment. J'aimerais le prendre une fois en hiver. Ce sera pour une prochaine fois. Bises alpines et merci de ta visite.
SupprimerOh que oui pour l'orgueil démesuré...
RépondreSupprimerLa photo est très réussie 🙂
Tellement orgueilleux qu'on aimerait parfois lui mettre des coups de pied dans les fesses pour le réveiller. Merci de la visite. ;-)
SupprimerComme sur ton article d'aujourd'hui j'avais bien laissé un message, que se passe--il ?
RépondreSupprimerLe rouge-gorge est revenu avec la douceur béarnaise...
Marine D