Parfois, on aimerait décrire toute les beautés qu'on a rencontrées pour repartir à nouveau en voyage et replonger dans les beaux souvenirs. Et puis on se rend compte que même avec des mots cérémonieux, des qualificatifs triés sur le volet, rien ne peut égaler en mots ce qui s'est présenté sous nos yeux. Alors on se tait, puis on balbutie et on tente de dire et de redire. On esquisse des phrases, qu'on efface ensuite et qu'on reprend à plusieurs reprises car elles ne rendent pas suffisamment hommage aux pays traversés. Et puis on se dit que quand même, il y aura bien une trace d'émerveillement qui jaillira au travers des lignes et qu'on pourra transmettre plus loin, telle une poussière de savane et de désert.
Je ne sais pas si j'ai traversé l'Afrique ou si c'est elle qui m'a traversée, de fond en comble. Je ne le saurai peut-être jamais clairement mais reste tapie dans le cœur une émotion de voyage et de découvertes rarement égalée jusque-là.
Dans la péninsule du Cap, entre l'océan Indien et l'océan Atlantique, les fiers vignobles, les plages infinies de sable fin, les chênes et les eucalyptus majestueux, les jardins tropicaux et les colonies de babouins et de manchots ont créé un ensemble éclectique de paysages et de senteurs multiples. Au cap de Bonne Espérance, synonyme de bout du monde et de navigation périlleuse pour les marins, le fracas de l'océan mêlé à un vent tempétueux nous ont happés dans un spectacle époustouflant, presque apocalyptique. Du haut de la montagne de la Table, c'était presque comme sur un sommet des Alpes maritimes avec des brumes vaporeuses et une vue à couper le souffle sur les flots altiers tout en bas. Dans la ville du Cap, les townships si pauvres mais si vivants côtoyaient un centre-ville presque européen, aux adresses gourmandes, aux musées passionnants, créant un foisonnement culturel étonnant et rafraîchissant. Plus au Nord-Est, les rivières foisonnaient de vie et les hippopotames, faisant semblant de dormir, presque totalement immergés dans l'eau, surveillaient pourtant sans relâche des crocodiles restés bien timides face à notre embarcation. Dans les immenses réserves, les animaux, en confiance et protégés, déambulaient au milieu des hautes herbes ravivées par la saison des pluies. Le Roi Lion, que l'on n'attendait plus vu le déluge tropical, nous avait tout de même gratifiés, après un jeu de cache-cache passionnant, de sa formidable présence sous nos yeux ébahis. Dans la savane et le bush, les éléphants, les girafes, les singes et les impalas nous ont fait rêver, comme dans nos songes enfantins les plus fous. Ainsi, le temps d'un safari pour découvrir les "Big Five", nous étions devenus des explorateurs, spécialistes invétérés de l'affût, poussant notre ranger un peu distrait à revenir sur les pistes ensablées et embourbées par des pluies torrentielles afin de clamer à ces animaux toute notre révérence face à cette si belle nature. Et encore aujourd'hui, je crois entendre la démarche chaloupée de Janet et Jock, ces éléphants formidables que j'ai eu l'immense privilège de cajoler.
Un peu plus loin, dans un village typique, un groupe de chanteurs et
danseurs nous ont ravis par leurs chants engagés où s'engouffraient
l'espoir et l'Amour d'une terre longtemps balayée par des conflits sanglants entre Blancs et Noirs. En les regardant et en les écoutant, c'était comme si toutes ces souffrances étaient balayées par leurs mélopées puissantes, enfin et pour toujours.
Le passage de la frontière pour arriver dans le territoire d'un roi épris de pouvoir a pris des allures de folles aventures avec des tampons innombrables sur nos documents de voyage et un contrôle minutieux de notre faciès d'étranger. Et dans ce territoire de l'Eswatini, on a presque eu l'impression d'être en Suisse avec ces petites montagnes verdoyantes où paissaient vaches et moutons. Les villages traversés montraient une vie paisible, animés par des nuées d'écoliers en uniforme qui égayaient de leurs rires les pistes poussiéreuses.
Le clou du voyage, longtemps rêvé, ce fut ces chutes du Zambèze (Victoria Falls) au Zimbabwe, spectacle inoubliable et grandissime où l'homme voyageur marche dans les pas de David Livingstone. Trempés par les vapeurs d'eau impressionnantes, nous étions pourtant ravis d'un tel spectacle qui rend l'humanité toute petite face à la grandiloquence de la nature. Il n'y avait rien à dire de plus si ce n'est prendre conscience que nous ne sommes pas grand-chose face à une telle sauvagerie des flots, baignés dans la douce lumière des arcs-en-ciel.
Si
vous n'étiez pas carnivore, vous auriez été très malheureux car
koudous, zèbres, crocodiles et phacochères ont peuplé nos assiettes et
dérangé quelque peu notre pauvre estomac peu habitué à une telle
abondance de viandes de toutes sortes. La fondue chinoise de nos fêtes
de fin d'année aurait fait bien piètre figure face à ces gigantesques
brochettes dégoulinantes de jus de viande. Et si vous n'aimiez pas
l'aventure, le coup de la panne et d'une attente de plus de deux heures sous une pluie battante et à la merci des serpents pour voir enfin arriver le véhicule sauveur, vous aurait achevés lentement mais sûrement.
Ces paysages magnifiques, ces fiers animaux rencontrés dans la savane, ces vins étonnants, ces forêts luxuriantes, ces fleuves alanguis, ces montagnes rougeoyantes dans les rayons du soleil, ces pistes sans fin et ces routes jonchées de nid de poule menant à des lieux paradisiaques, ces sourires et cette gentillesse manifestée aux voyageurs étrangers, m'ont profondément émue et marquée. Mais ce qui m'a le plus ébranlée, c'est l'Histoire non pas de cette nation mais de tous les peuples qui l'ont façonnée tout au long des siècles: colons d'origine hollandaise, française ou anglaise, indiens, métis, peuplades noires. Chacune de ces entités possède sa propre identité historique et au fil de relations très complexes et très souvent tragiques entre elles, elles ont écrit une histoire tourmentée dont l'apogée, la politique de l'Apartheid, a meurtri pendant des décennies des hommes et des femmes qui voulaient simplement être reconnus dans leur humanité. A Pretoria, devant la colossale effigie de Mandela, bras ouverts pour accueillir tout homme, blanc ou noir mais surtout dans le musée de l'Apartheid, les émotions m'ont submergée. Cet homme, enfermé pendant vingt-sept longues années, n'a jamais cessé la lutte pour son peuple. A sa libération, il a su pourtant trouver les mots pour pacifier une nation à feu et à sang. Par son exemple, il a fait taire la violence et a imposé à tous les conditions d'une société multiraciale vivant en paix. Et la "Nation arc-en-ciel" que symbolise le drapeau de la nouvelle Afrique du Sud, est un bel idéal qui reste encore à consolider, voire à bâtir sur les décombres d'un passé tourmenté.
Un voyage, c'est toutes sortes de choses: la découverte de paysages, de cultures différentes, de nourriture inattendue. Un voyage, c'est partir de soi-même pour aller à la rencontre de l'autre, sans préjugé mais avec soif de connaissance et de reconnaissance. Un voyage ne serait pas vrai et profond si le voyageur oublie l'histoire du pays qu'il parcourt et reste prostré dans son attitude de consommateur. Ainsi, un voyage, ce n'est pas seulement admirer les beautés des pays traversés mais c'est aussi se confronter à ses réalités multiples et faire l'effort de les appréhender dans toutes leurs dimensions. La découverte des townships à Johannesburg, notamment Soweto qui incarne à lui seul la lutte sanglante contre l'Apartheid, a été de ce fait très confrontante. Mais les sourires et la gentillesse de ses habitants ont effacé quelque peu la misère terrible qui y règne.
Oui, après l'écriture de ces lignes, je sais maintenant que ce bout d'Afrique m'a transportée et qu'il m'a traversée, de part en part, laissant en moi une immense émotion car au-delà des pages très sombres de leur Histoire, ces hommes et ces femmes rencontrées ici et là sont les successeurs de Mandela et de sa soif de paix et de réconciliation. Ainsi, malgré les guerres qui subsistent dans notre monde, émergent parfois de grands hommes qui marquent profondément l'humanité et qui nous aident à garder espoir en un monde meilleur.
Depuis quelques jours, quand je m'endors dans mes Alpes, je crois entendre le barrissement d'un éléphant et le rugissement d'un lion cabotin. Et ce matin, dans la neige fondante, j'ai même vu des empreintes d'éléphants.
****************************************
"Un voyage se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu'il se suffit à lui-même. On croit qu'on va faire un voyage, mais bientôt c'est le voyage qui vous fait, ou vous défait". (Bouvier Nicolas, L'usage du monde, 1963).
Dédé © Février 2023
Il est des voyages qui laissent des souvenirs impérissables.
RépondreSupprimerAmicalement.
Claude
Coucou Claude. Celui-là, c'est sûr, va rester un souvenir très fort. Merci de ta visite et bises alpines.
SupprimerQuel magnifique récit qui nous immerge dans ton vécu et pourrait même nous plonger dans un syndrome de Florence. Ton vocabulaire choisi, coloré, imagé nous fait vivre ton voyage, découvertes et péripéties. Sûr, tes souvenirs ne sont pas prêts de s'effacer.
RépondreSupprimerCoucou ma belle. Le syndrome de Florence? A ce point-là? :-) Il m'a fallu du temps pour écrire ce texte car je trouvais que mes phrases ne rendaient pas hommage à ce que j'avais vu et vécu. D'où le pourquoi du comment de l'introduction. Merci pour ta visite et ton avis. Bises alpines.
SupprimerTrès intéressant récit accompagné de 2 magnifiques images.
RépondreSupprimerImages triées parmi des tas d'autres images. Il va falloir que je fasse un tri important. La hantise de tout photographe qui revient de voyage. :-) Belle fin de semaine!
SupprimerMerci pour ce précieux partage Dédé !
RépondreSupprimerLa splendeur de ton voyage et de tes découvertes est à l'image de ton enthousiasme.
Un seul post ne suffit pas. On en redemande, récits et photos !
Coucou. Tu crois? tu veux encore des photos et des petites anecdotes? Je vais voir ce que je peux faire mais pour l'instant, je me repose car ce billet m'a demandé de l'énergie. :-) Bises alpines
SupprimerCe que tu peux et qui nous emporte dans ce beau pays. Mais prends soin de toi d'abord, c'est important. Bises Dédé.
SupprimerMagnifique récit Dédé, énoncé avec poésie, justesse, respect et philosophie... Tu transmets toutes tes émotions à la perfection. Si tous les voyageurs avaient cette soif de découvertes et cette humilité, alors oui, le voyage serait une vraie démarche et non une "consommation".
RépondreSupprimerJe t'embrasse Dédé !! Un bonheur de te lire, un voyage en soi...
Coucou. Aujourd'hui, on fustige beaucoup le tourisme de masse et à raison. Rien ne m'indispose plus, lorsque je suis en voyage, de voir débouler des hordes de touristes qui ne font que prendre des selfies et qui ne font que s'intéresser à des choses futiles. Pour moi, le voyage, ce n'est pas cela. C'est aller à la rencontre de l'autre et prendre vraiment le pouls d'un endroit. Bises alpines.
SupprimerCoucou Dédé.
RépondreSupprimerBon retour parmi nous...
Bon je vais devoir repasser (pas au fer bien sur) pour lire ton roman d'aventure !
A +
Hello Daniel. Lorsque tu reviendras, il y a aura une interrogation écrite. :-) A+
Supprimerbonjour Dédé , ah oui les voyages sont une partie de vie qui reste gravée dans nos mémoires et tu racontes si bien ... !!! et ces chutes du Zambèze (Victoria Falls) au Zimbabwe c'est mon rêve d'y aller mais bon ?? j'adore les cascades et chutes d'eau , merci pour ces photos magnifiques et +++ gros bisous de nous deux belle fin de semaine a +
RépondreSupprimerCoucou Bébert. Qui sait, peut-être qu'un jour, tu iras là-bas. Je mesure la chance que j'ai eu de visiter ce coin d'Afrique mais je ne suis pas sûre que j'y retournerai un jour. Bises alpines.
SupprimerCoucou Dédé,
RépondreSupprimerMagnifiques ces photos, et c'est toujours un vrai plaisir de te lire.
J'ai même envie de dire en te lisant que l'Afrique t'a imprégnée.
Merci pour ce très beau récit.
Bises et bonne journée.
Coucou. Je crois bien que tu as raison. En tous les cas, je ne suis pas ressortie indemne de cette expérience très enrichissante. D'ailleurs, de retour en Suisse, j'étais complètement à côté de mes pompes et il a fallu quelques jours pour que j'atterrisse. Bises alpines.
SupprimerOh comme je suis contente pour toi ma Chère Dédé ! Un voyage sensationnel qui laisse des traces au fond de l'âme. Tu écris très bien et tes mots ne porte aucunement ombrage aux magnifiques paysages. Tu as un très beau vocabulaire. Merci pour ce partage.
RépondreSupprimerBises et douce fin de semaine
Merci Elisa. J'ai eu de la chance de pouvoir faire ce voyage car ce n'était pas gagné. Je n'ai pu confirmer le départ que le jour avant mon vol, à cause de soucis de santé. Mais ouf, tout s'est bien passé. Contente que ce texte et ce billet t'ait plu! Bises alpines.
SupprimerCoucou ma chère Dédé, merci de partager ton merveilleux voyage en photos et surtout tes mots, tu écris avec ton coeur et tu exprimes si bien tes sentiments. Un voyage que restera gravé en toi. Merci aussi pour la vidéo, superbe :-)
RépondreSupprimerGros bisous et agréable week-end ♥
Heureuse qui comme Dédé a fait un beau voyage. :-) Merci pour ta visite mais il faut que je note que la vidéo n'est pas de moi mais bien tirée du net. Bises alpines.
SupprimerUn article qui d'emblée se dévore avidement, foisonnant , ressourçant , un hymne à la beauté de cette nature sauvage et puissante où tu as pénétré. Et les mots d'une humaniste , qui touchent .
RépondreSupprimerBises .
Humaniste? Moi? J'essaie en tous les cas mais je n'y arrive pas toujours. Merci de la visite et bises alpines.
SupprimerBonjour Dédé,
RépondreSupprimerQuelles images sublimes!
Bises.
Bon après-midi,
Mo
Coucou Mo. J'en ai tout un stock que j'ai à peine triées! Il y a encore du boulot! Bises alpines.
SupprimerBonjour Dame Dédé, et oui, ce voyage si abondant et varié a semble-t-il marqué votre esprit en profondeur. Peut-être est-ce là, dans ce for sentiment, la promesse d'autres ailleurs, avec d'autres sensations, mais toujours une rencontre au plus proche des populations et des lieux. En attendant, bon week-end, Dame Dédé !
RépondreSupprimerBonjour Monsieur aux grandes oreilles. Vous me connaissez bien, semble-t-il. En effet, voyager, c'est aller aussi et surtout à la rencontre de la population du lieu visité et ne pas rester superficiel. Et j'espère qu'il y a aura un jour d'autres ailleurs. J'y travaille d'ailleurs. :-) Bises alpines.
Supprimerje ne trouve pas les mots... juste un énorme WAW admiratif!
RépondreSupprimerWAOUH. :-)
Supprimerce fut un merveilleux voyage... tu nous en parle si bien que l on ne peut douter qu il t as transportée... merci de nous le faire partager... gros bisous
RépondreSupprimerOui, un merveilleux voyage qui me laissera de très beaux souvenirs. Bises alpines.
SupprimerJ'ai parcouru toutes les routes avec toi et ça m'a remémoré quelques souvenirs d'Amérique du Sud
RépondreSupprimerCoucou Martine. Ah, l'Amérique du Sud me fait de l'oeil également. Un jour peut-être.
SupprimerParfois - surtout quand on est photographe - on croit que ce sont les images qui vont parler le mieux d'un voyage, d'un pays, mais ici les mots sont tellement forts qu'on en oublierait presque de regarder les photos, et pourtant comme elles sont belles...
RépondreSupprimerJe me suis demandée une fois si je ne ferai pas un blog qu'avec des photos mais je n'y arrive pas, je suis un peu une pipelette. :-)
SupprimerBonjour Dédé
RépondreSupprimerUn voyage qui t'a marqué visiblement et tu as su faire passer tes émotions à travers ce texte magnifique...
Merci pour le partage, Bises !!!
Coucou mon gitan. Je ne voulais pas garder toutes ces émotions pour moi. C'était un peu lourd à porter, fallait un petit exutoire. :-) Bises alpines.
SupprimerQuelle grande voyageuse tu fais !
RépondreSupprimerPhotos époustouflantes, surtout la 2 : quel vertige !
Coucou Miss. Et je peux te dire que pour prendre la 2ème, j'ai dû jongler entre un parapluie et mon appareil tellement c'était humide!
SupprimerMagnifique réflexion, en écho de la pensée de Bouvier. J'ai vécu au Sahel, et malgré mon statut d'étrangère blanche, c'est une partie importante de moi-même que j'y ai laissée, une expérience qui m'a façonnée également et qui est maintenant indissociable de ma personnalité. Merci pour ce beau texte!
RépondreSupprimerBonjour Gine. Il n'y a pas à dire, l'Afrique est un continent à part, magique. J'ai rarement ressenti autant d'émotions dans un voyage. Alors je pense bien que le Sahel t'a envoutée quand tu y as vécu! Merci pour ce partage te concernant.
SupprimerMerci Dédé pour ton passionnant récit de cette belle aventure que j'aurais rêvé de réaliser Quand on fait ce genre de voyage il faut y aller comme toi avec une âme empathique et une ouverture aux autres pour s'en enrichir Bises languedociennes Ulysse
RépondreSupprimerCoucou mon cher Ulysse. Tu as tellement raison. D'ailleurs, à Soweto, j'ai laissé mon APN bien caché, pour respecter le lieu, les gens qui m’accueillaient dans la simplicité malgré leur grande pauvreté. Il y a un respect à avoir, quand on voyage: respect des lieux et respect des gens qui y vivent. Bises alpines.
SupprimerChère Valaisanne
RépondreSupprimerJe lis avec gourmandise ce long texte d’un voyage en Afrique Australe. Je revis quelque peu mon séjour là-bas, séjour étant peut-être peu conforme puisque c’est d’abord une navigation le long de la West Coast durant deux semaines me faisant aller de (presque) la frontière avec la Namibie jusqu’au cap des Aiguilles et retour avant d’aller découvrir les Big Five ou plutôt les Big Ten dans le parc Kruger. Comme toi, les émotions m'ont submergée notamment lors de ma visite des cellules de Rubben Island où Mandela a été enfermé durant de longues années. Tout ça est ancien mais j’en garde un souvenir ému.
Dans moins d’une semaine, c’est vers la Namibie que je vais diriger mes pas pour une nouvelle rencontre avec une faune riche.
Pour terminer ce mot, deux montages audiovisuels assez longs que tu regarderas si l’envie te vient :
https://vimeo.com/177938159
https://vimeo.com/177989976
Bises savoyardes
Coucou. Découvrir un pays par la mer, c'est tout différent je pense. J'ai bien apprécié tes deux vidéos qui m'a renvoyée en Afrique. Malgré tous ces kilomètres parcourus, j'ai toujours le même plaisir. ;-) J'espère que tu partageras avec nous tes belles images de la Namibie, un pays que j'aimerais également bien visiter un jour. Mais pour l'instant, j'attends la neige ou la pluie... Bises alpines et bon voyage.
SupprimerC'est une balade, une mélodie de paysages. C'est écrit avec conviction, amour, avec ton propre regard, ta façon philosophique nous donne un ressenti où tes mots résonnent d'humanité, il y a tout, la nature, les animaux, l'histoire des hommes, des cultures métissées qui ont façonné ce pays, l'injustice, la beauté des lieux, l'espérance
RépondreSupprimerL'écriture est une trace du coeur...
Coucou mon cher Laurent. Je crois que je suis une femme de conviction finalement. ;-) Qu'est-ce que tu en penses? Bises alpines.
SupprimerTu as fait là un merveilleux voyage, dépaysant, inspirant, et enrichissant.
RépondreSupprimerDe ceux que l'on ne peut oublier tant ils nous secouent profondément, et pour longtemps.
Tu as dû ramener des tonnes de photos extraordinaires, si on en juge par ton récit, et par les deux exemples que tu nous donnes à voir.
Un régal des yeux et du coeur. Avec des moments haletants comme dans un roman d'aventures du XIX° siècle. Des saveurs, des odeurs, des paysages ineffables.
Bises chère frangine des Alpes.
J'ai adoré !
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Coucou. J'ai adoré lire les Jules Verne quand j'étais plus jeune. Ceci explique peut-être cela. Et en retrouvant cette citation de Nicolas Bouvier, j'ai eu envie de le relire... et de repartir. Bises alpines et merci de ta visite enthousiaste.
SupprimerTu parles si bien de ce que tu as vécu et ressenti que pendant un instant, j'ai cru voyager à tes côtés, c'est magnifique MERCI, doux repos mérité à toi. Bises maritimes enfin pluvieuses ! brigitte
RépondreSupprimerCoucou Brigitte. Finalement, un tel voyage, ce n'est effectivement pas très reposant. Il fallait se lever à 4h00 du matin pour aller observer les animaux, prendre des vols internes, etc. Je suis revenue vannée. Maintenant je me repose... au travail. :-)) Bises alpines.
SupprimerCoucou Dédé, j'imagine un peu tes émotions lors de ce voyage, ça doit être un souvenir et des émotions, je reprends une de tes phrases: "se confronter à ses réalités"...peut-être qu'il faut vivre ce que tu as vu et ressenti lors de ce séjour. Je suis très admiratif en te remerciant pour ce partage ô combien précieux en aimant la citation de Bouvier Nicolas.
RépondreSupprimerBelle semaine et encore merci.
Coucou JP. Visiter un pays avec une histoire aussi tourmenté marque. La pauvreté qui y règne encore dans certains endroits m'a également remuée. C'est cela un voyage, s'ouvrir à tout. Le tourisme peut être intelligent. J'ose encore y croire. Bises alpines.
SupprimerMerci pour ce partage époustouflant. La citation de Nicolas Bouvier est particulièrement juste, je trouve.
RépondreSupprimerBonne journée.
Bonjour. En la relisant, j'ai eu envie de me replonger dans le livre entier. Belle suite de semaine.
SupprimerTon voyage, raconté ainsi à travers des détails marquants est beau et émouvant, merci Dédé!
RépondreSupprimerUn beso mediterraneo (où il neige!!)
Hello Colo. Oui, c'était émouvant et j'en ai encore des frissons. Et toi, tu dois frissonner de froid. J'ai vu quelques images des Baléares sous la neige! Impressionnant! Bises alpines.
SupprimerPourquoi partirai-je? Tu racontes si bien tes voyages que j'ai l'impression d'avoir dormi dans ta valise.
RépondreSupprimerDepuis la COVID, je ne pars plus. Je reste à quai, en France, pour y découvrir tous nos trésors.
Les grandes destinations me font peur, mais ce n'est pas grave car tu parles de ses destinations lointaines tellement bien.
Bravo et merci. Bises ligériennes.
Coucou Etienne, poète de la Loire. J'ai la chance de faire des voyages, je sais que cela n'est pas donné à tout le monde. Le monde après Covid n'est pas simple, le passage des frontières, déjà fastidieux dans certains pays, l'est encore plus lorsqu'on parle de certificat COVID ou alors de test PCR à faire dans les 48heures. Bises alpines.
SupprimerCoucou ma Dédé !
RépondreSupprimerHé bé quel beau récit de ton voyage ! C'est vraiment un plaisir de te lire. Un récit complété par deux photos sublimes.
L'Afrique du Sud, c'est un peu le bout du monde.
Comme tu parles bien de cette horreur qu'a été l’Apartheid. Ce fut une très bonne chose que Mandela soit devenu le Président de ce pays.
Je me souviens d'une série télé "Pour tout l'or du Transvaal" qui se passait pendant la seconde guerres des Boers .
""En 1900, en Afrique du Sud au Transvaal, un jeune médecin, Jacques Cervin, prend possession d'une mine d'or et se retrouve mêlé à la seconde Guerre des Boers, un sanglant conflit opposant les Britanniques aux Afrikaners, des fermiers d'origine hollandaise. ""
Je vois que tu as fait de belles rencontres, à tout point de vue.
Merci de ce magnifique compte rendu et bises gelées ce matin
Claude
Coucou Claude. L'histoire de l'Afrique du Sud a été bien mouvementée et tragique à certaines périodes. J'ai visité d'ailleurs un musée qui racontait l'arrivée de Huguenots français, chassés de France suite la révocation de l'Edit de Nantes. Ces Français ont d'ailleurs fait beaucoup pour développer la viticulture. Quant à l'Apartheid, ce qui m'a vraiment frappée, c'est que cela ne fait pas si longtemps que cette politique de ségrégation a été abolie. Mandela a fait beaucoup pour son pays. Tout cela m'a donné envie de revoir le film "Invictus". Je ne connais par contre pas la série dont tu me parles. Peut-être qu'en cherchant un peu sur le net, je pourrai trouver des épisodes. Bises alpines à peine froides. Cet hiver est bien étrange mais en tous les cas beaucoup beaucoup trop sec!
SupprimerDédé, je viens de visionner vite fait le premier épisode, on voit plus de blancs que de Noirs.
SupprimerPour tout l'or du Transvaal
Temps hivernal ce matin. Bises gelée !
J'ai mis la musique, j'ai lu... et j'ai vu, ressenti à travers tes mots, toutes les émotions que tu as eues en toi lors de ce voyage, merveilleux voyage que tu nous fais le plaisir de partager, moments uniques j'imagine, dans un pays inconnu (de moi, en tous cas). Et très belles photos.
RépondreSupprimerMerci pour ce beau cadeau, chère Dédé. Bises bassoises.
Coucou Françoise. J'avais beaucoup d'a priori avant de partir là-bas et finalement, je suis revenue enchantée et peut-être un peu transformée par toutes ces belles rencontres. Bises alpines.
SupprimerChacun de nos pas
RépondreSupprimerici ou ailleurs
construisent nos vies
plus que des souvenirs
des empreintes à cœur
chaque parcelle du monde
comporte un trésor
Tu en as touché un
de tout ton être !
Et je suis immensément riche! ;-) Merci de tes mots!
SupprimerCoucou ma Dédé !
RépondreSupprimerJ'espère que mon com d'hier est passé. D'ailleurs j'ai eu un doute.
Il est bien là, juste au-dessus. ;-)
SupprimerBonjour Dédé, c'est beau lorsque tu dis que c'est l'Afrique qui t'a traversée .Je te comprends car lorsque je suis parti au Cameroun en 1999 , j'ai ressenti le même effet, cette terre rouge, ces gens si accueillants, pauvres mais généreux dans l'âme, une dame se réjouissait d'avoir des chaises repeintes alors que n'importe quel petit Européen n'en aurait vraiment rien à faire , là bas, tout est différent et plus authentique . Les taxis brousse bondés, les autocars pleins à craquer mais si festif .Voyager, tout comme toi, ce n'est pas partir avec le club Med' dans un village à boire des sodas au bord d'une piscine sans sortir dans le village pour voir la population et la comprendre , c'est échanger, rire, manger, partager , vivre ! Oui, tu as une fort belle définition du voyage : "partir de soi même pour aller à la rencontre de l'autre" . Merci à toi !
RépondreSupprimerCoucou. Merci de partager ton expérience ici. L'Afrique est un jeune continent qui a encore tant de choses à nous donner. Et tu as raison, la pauvreté de certaines populations ne les empêche en rien d'être accueillantes. Quand on revient chez nous, on devrait se souvenir de ces moments de partage et arrêter de nous plaindre de tout et tout le temps. Merci de ta visite et bises alpines.
SupprimerDe rien l'anonyme. :-)
RépondreSupprimerQuel beau voyage, loin de la Suisse. Partir pour découvrir l'inconnu, une autre civilisation, perdre ses repères habituels. C'est s'ouvrir à un autre monde, comprendre et écouter pour s'enrichir. On en revient sans doute changer un peu !
RépondreSupprimerHello Daniel. C'était parfait pour perdre les repères habituels et même si on ne s'est pas reposé du tout, c'était un dépaysement total et un changement qui nous a été très bénéfique. Au retour, je vois la vie un peu différemment. Et je suis un peu beaucoup transformée. Bises alpines et merci de ta visite.
SupprimerOui, sans doute cette musique va très bien aux images.
RépondreSupprimerSalu2.
Bonjour Dyhego et bienvenue ici. Oui, la musique est appropriée. ;-)
SupprimerIci c'est bientôt le Sahara, on n'a plus d'eau.
RépondreSupprimerAchète-toi un chameau!
SupprimerCe titre de " voyage " me fait penser au " voyageur immobile " que je suis ....
RépondreSupprimerÀ scruter et admirer ce que les autres font à travers leur blog.
"Giono" nous rend meilleur" (Paul Morand)
Amic@lement. Yann
Pour voyager, pas toujours besoin de partir au loin. Même en étant sur son fauteuil avec un bon livre, on peut voyager tout autour de la terre. Je ne fais pas toujours de grands voyages mais je lis souvent. ;-) Bises alpines.
SupprimerMerci pour cette promenade africaine, et pour l'arrivée de la belle saison dans notre blog encore enveloppé d'hiver. Belle journée à vous.
RépondreSupprimerIl paraît que l'hiver n'a pas dit son dernier mot! :-) Mais j'ai ramené quelques rayons de soleil africains pour réchauffer l'atmosphère. Bises alpines.
SupprimerJe ressens, dans ton texte, toute la beauté et la magie de l’Afrique. Superbe texte, probablement en dessous de ce que tu as vu et ressenti.
RépondreSupprimerCoucou. Ah non, c'est "presque" ce que j'ai vu et ressenti. :-)
SupprimerQuel beau voyage, je comprends qu'il laisse en toi de trâces indélébiles, c'est comme dans un rêve d'aventure, on a peine à y croire...
RépondreSupprimerAsibonanga, je l'ai tant écouté Dédé.
Les photos sont superbes.
Je crois qu'il y a plusieurs façons de voyager. Et même si on voyage tout près de chez nous, on peut s'ouvrir et ne pas "juste" consommer sans réfléchir. Je déteste cordialement voir certains touristes arriver en Suisse et se contenter de faire des selfies dans des endroits à la mode à cause d'influenceurs sur Instagram. Bises alpines.
SupprimerBonjour Damalpine
RépondreSupprimerMerci pour Bouvier, toujours si juste.
Et puis je vois que tu reviens balèze du Zambèze !
Bises atlantiques
Coucou Mister K. J'ai pris du muscle effectivement, en portant mon sac photo. ;-) Bises alpines.
SupprimerCes grands voyages me posent toujours question.
RépondreSupprimerTu as dû plomber ton bilan carbone... ;-)
Mais du moment que tu as pris du plaisir
peu importe l'état de la terre que nous laisserons à nos enfants.
Mais cela ne retire rien à la beauté de tes photos et de ton texte.
Bonjour. C'est ton avis et il t'appartient. Seulement, je n'ai pas demandé de jugement de valeur sur ce texte même si j'attendais que quelqu'un fasse ce genre de remarques. Comme tu ne connais rien à ma vie et que tu juges d'un ton péremptoire, je ne vais pas entrer dans un débat qui n'a pas lieu d'être sur ce blog. Bonne journée
SupprimerSomptueux.
RépondreSupprimerEn fait, il n'y a pas de mot assez fort pour décrire ce spectacle. ;-)
SupprimerBonjour, une chose est sûre, je serais devenue subitement végétarienne !! très belles chutes; je te souhaite un bon week end, bisous
RépondreSupprimerEn tous les cas, je peux te dire que j'ai bien de la peine à manger de la viande depuis mon retour, surtout la viande grillée. ;-) Bises alpines.
SupprimerN'empêche que tu racontes très bien et avec talent. Et il est vrai que le chant qui accompagne est aidant. Les quelques personnes européennes que je connais qui sont allés séjourner en Afrique ou simplement y voyager, en reviennent toujours avec des souvenirs très marquants.
RépondreSupprimerJe pense à ce que tu dis au début. C'est en partie peu ou mal partageable avec des mots. Et les films et photographies ne suffisent pas. C'est un peu la même chose pour ce qui est de l'intériorité et du « voyage intérieur ». Comment trouver les mots pour faire partager ce que d'autres n'ont pas expérimenté ? Je ferai peut-être un billet à ce sujet… on verra…
Hello Alain. Je pense que le continent africain est encore jeune et en pleine expansion. Et que les Africains ont bien des choses à nous faire découvrir ou redécouvrir. Notamment la solidarité, le soin apporté aux personnes âgées. Mais ce sont aussi des pays ravagés par des guerres et des tensions sans fin. En tous les cas, tout comme toi, les personnes que j'ai rencontrées et qui sont allées en Afrique en reviennent enchantées. Mais pour cela, il faut mettre bien des préjugés de côté. Quant à la question de partager de tels sentiments, tu as raison, nos mots sont souvent bien en-deça pour tout exprimer et le message nous paraît bien pauvre par rapport à la richesse de ce qu'on a ressentie. Mais si, par mon texte, j'ai réveillé quelques émotions ou contentement chez mes lecteurs, j'en suis déjà bien contente. Merci de ta visite et à bientôt.
Supprimerpetit coucou pour te faire un gros bisou et te remercier d être passée me voir
RépondreSupprimerLes voyages sont rencontres et ils nous construisent on revient différent de telles escapades qu'elles soient loin ou près de chez nous!... merci pour ce très beau texte...
RépondreSupprimerCoucou Marie. Tout voyage est enrichissant, même tout près de chez nous mais à la seule condition de savoir s'ouvrir à ce qu'on découvre. Merci de ta visite et bises alpines.
SupprimerEh beh ces images sont dépaysantes ! Là ces chutes rendent modestes celles du Rhin et encore plus les Cascades du Mont Gelatao près de Rome. Quant à la chute vers l'océan il y a du lac Léman puissance 100 !
RépondreSupprimerCeci dit un africain du sud célèbre a préféré s'installer en Suisse (Mike Horn). Je ne me souviens plus trop pour quel motif ; j'ai lu son auto biographie il y a longtemps où il racontait son enfance libre et c'était passionnant. Toi aussi tu as été inspirée comme l'ont été Henning Mankell, Doris Lessing. J'ai ta façon de raconter la faune, je ne suis pas sûre que j'aurais aim manger du zèbre même si je comprends qu'on le fasse en ces endroits. Les guyanais mangent de tout, ceux qui sont dans la brousse surtout. La consommation de ceux des villes est plus réglementée
Coucou. Les chutes du Rhin restent très belles. Et il ne faut pas comparer ce qui n'est pas comparable. En tous les cas, le débit d'eau était impressionnant sur les Victoria Falls. En Suisse, je doute que les chutes du Rhin soient impressionnantes ce prochain printemps car nous avons eu un hiver très très sec, malheureusement.
SupprimerQuant à Mike Horn, il est venu vivre en Suisse parce que même si les chutes du Rhin sont modestes, c'est le plus beau pays du monde. :-)
Et puis le zèbre, j'en ai mangé un tout petit bout et je peux te dire que je n'en mangerai plus jamais. Ainsi que le phacochère...
(Je ne voyage pas si loin mais je ne suis pas sûre de publier prochainement. Bises du bassin parisien)
RépondreSupprimerPas besoin de voyager si loin pour publier... :-)Bises alpines.
SupprimerDédé, attention ! un éléphant ça trompe (sourire)
RépondreSupprimerC'est bien vrai! Mais je ne sais malheureusement pas qui est l'anonyme...
SupprimerHeureux qui, comme Dédé, a fait un beau voyage
RépondreSupprimerOu comme celui là qui conquit la toison,
Et puis est retourné, plein d’usage et raison,
Vivre entre ses montagnes le reste de son âge !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Heureux_qui_comme_Ulysse
Mille mercis, Dédé, pour ce merveilleux récit, je sens que je vais sûrement en rêver cette nuit :-)
Bises, venteuses d'un presque printemps humide
Coucou. Il est fort possible que je passe le reste de mon existence dans les montagnes mais sait-on jamais? J'espère que tu as rêvé de beaux paysages et d'animaux gentils. ;-) Bises alpines.
SupprimerTellement contente pour toi que tu ai pu rencontrer les fiers successeurs de Nelson Mandela, figure proue que je retiens de l'Afrique du Sud et de son poème "Invictus". De bien belles photos qui nous rappellent jour après jour qu'il nous faut penser cette Eau si nécessaire à l'homme.
RépondreSupprimerCoucou. Oui, Mandela était un grand homme, un grand chef d'état et un homme de coeur. Quant à l'eau, elle est précieuse. Mais injustement distribuée de par le monde.
SupprimerBien sûr.
RépondreSupprimerBonjour, je n'ai jamais mis les pieds en Afrique et ça ne me tente pas trop, à part faire un safari photo pour voir des animaux sauvages dans leur milieu naturel, je te souhaite un bon week end, bisous
RépondreSupprimerEt pourtant l'Afrique est multiple et il y a beaucoup de choses à découvrir. Bises alpines.
SupprimerEt me voilà transportée dans un bout du monde dont j’ignore tout ce que je n’ai pas lu dans les livres, et pourtant, j’en ai ici les parfums, les sons, les larmes et les joies.
RépondreSupprimerMerci
Anne
C'était un très beau voyage et un très beau pays. Merci pour la visite.
SupprimerBonjour Dédé. Superbe article qui a fait remonter en moi les souvenirs de mon voyage en 2013. J'ai effectué un parcours similaire, mais n'ai pas vu les chutes Victoria. Bonne journée
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