vendredi 24 mars 2023

A Jock, Janet et Compagnie

 

           Jock, posant fièrement devant l'objectif

 

Ce texte est une dédicace à Pascale, (cliquez sur le lien qui vous mènera chez elle), photographe animalière de talent, amoureuse de tous les animaux.

"06h30. Le ciel est encore bien sombre mais mille bruits résonnent déjà dans l'air moite après un orage nocturne. Les oiseaux s'en donnent à coeur joie pour saluer le lever du jour et dans cette chaleur africaine, la forêt nous chuchote déjà des histoires extraordinaires qu'on voudrait toutes consigner dans un carnet doré pour ne jamais les oublier. A l'écoute de cette symphonie matinale, nous sommes pourtant impatients de vivre une dernière aventure. 

Aujourd'hui, nous allons rencontrer des éléphants. De vrais éléphants, (même si un éléphant ça trompe, comme tout le monde le sait) avec une peau rugueuse, d'énormes pieds, de grandes oreilles et une trompe très malléable, à faire pâlir certains contorsionnistes. La réserve dans laquelle nous sommes attendus participe en effet à la réhabilitation de ces animaux dans leur environnement naturel. Une équipe incroyable de professionnels accueille ainsi des éléphants blessés, malades, orphelins et après des soins et beaucoup d'amour, ceux-ci retrouvent une vie digne en retournant batifoler dans la savane.

Après quelques kilomètres parcourus à bord d'un véhicule tout terrain, Richard, le soigneur principal, nous explique quelques règles de sécurité qu'il faudra à tout prix respecter. Car là, nous nous déplacerons à pieds et un pas de travers pourrait provoquer l'ire des pachydermes. D'ailleurs, un des membres de l'équipe porte un fusil, afin d'assurer notre sécurité au cas où un de ces mastodontes deviendrait agressif et nous chargerait ou si un lion affamé passait par là et avait l'envie soudaine de goûter de la succulente viande suisse.

Suite à cette partie fort instructive si nous souhaitons conserver nos membres intacts, nous nous dirigeons ensuite en file indienne dans les hautes herbes, silencieusement, adaptant nos pas au premier de la lignée. Après seulement quelques minutes de marche, nous nous retrouvons déjà tout proches d'un petit groupe d'individus. Ils sont cinq, en train de prendre tranquillement leur petit-déjeuner. Avec application, ils arrachent des herbes, voire mêmes des branches entières d'arbustes à l'aide de leur trompe agile, qu'ils fourrent ensuite dans leur gueule sans autre cérémonie, les mastiquant avec délectation. Moi à qui ma Maman a toujours appris qu'il fallait utiliser mes couverts pendant les repas, je suis amusée de cette manière de faire peu conforme aux règles de la bienséance. Occupés ainsi à tondre à leur manière la pelouse, ils semblent à peine étonnés de nous voir là et poursuivent leur repas comme si de rien n'était. Richard nous laisse dans un premier temps les observer et nous acclimater à cette proximité extraordinaire et nous explique ensuite l'histoire de chacun d'entre eux, en présentant leurs spécificités physiques. Pendant ce temps, la magie de la rencontre opère peu à peu. Les éléphants s'approchent de nous, guidés par les soigneurs et ils nous est permis alors de les caresser. D'abord timides, nous osons à peine effleurer leur peau incroyablement calleuse mais les gardiens nous encouragent à persister. Et d'ailleurs, c'est comme si les éléphants appréciaient ces câlineries pourtant bien maladroites. Puis, les animaux, chatouillés par ces picotements sur leur peau, cherchent le contact visuel pour finir par nous observer intensément, avec un grand calme, incroyable de la part de ces géants. Et dans ce face à face paisible, à peine troublé par notre respiration saccadée et nos battements de cœur désordonnés, une connexion étonnante s'établit entre l'homme et l'animal. J'oublie tout en caressant les immenses oreilles de Jock, (il doit avoir de grands talents d'écoute) le plus grand et le plus âgé d'entre eux et je me sens infiniment reconnaissante mais aussi minuscule face à cet animal presque innocent qui m'inspecte avec intelligence et je le crois avec une quasi-tendresse.

Pendant un temps que j'aurais souhaité durer éternellement, nous entrons dans une relation presque mystique que je n'aurais jamais imaginée possible avec un tel animal. Leurs pieds sont pourtant tellement gros qu'ils nous écraseraient sans peine alors que leur démarche est chaloupée et silencieuse lorsqu'ils se déplacent dans la brousse. Leur corps massifs pourraient charger avec férocité le petit groupe d'hommes qui les entoure à cet instant présent si ces derniers s'avisaient de faire des gestes brusques. Leurs défenses nous transperceraient telles de pauvres brochettes humaines si l'envie nous prenait de leur tirer la trompe d'un coup sec. Et ne nous avisons surtout pas de leur secouer l'oreille pour leur rappeler quelques règles basiques d'hygiène, face à un énorme étron tombé juste au milieu de notre groupe, au risque d'être soulevés dans les airs par une trompe furieuse et jetés tel un vulgaire fétu de paille contre le tronc d'un eucalyptus. Mais rien de tout cela ne se passe et Dédé ne se transformera pas en bouillie (en tous les cas pas aujourd'hui). Au contraire, une grande quiétude règne, juste traversée par les bruits de la savane environnante et il suffit de contourner prudemment l'énorme déjection pour ne pas s'en mettre jusque-là (darla dirladada). Puis, après les flatteries que les géants semblent vraiment apprécier, les soigneurs les regroupent en arc de cercle devant nous. Nous comprenons alors qu'il est temps d'offrir à ces colosses quelques douceurs gustatives qu'ils attendent d'ailleurs avec impatience. Il veulent bien se laisser cajoler mais nous nous devons également de leur démontrer toutes nos compétences de serveurs dans ce restaurant gastronomique avec vue sur les eucalyptus. Je me vois donc chargée d'un gros panier, rempli à ras bord de granulés compacts et après avoir observé avec attention la manière de faire d'un des soigneurs, je me risque à déposer craintivement un tas de friandises juste sur la trompe que Janet me présente tranquillement, par une torsion fort gracieuse. Le cadeau ainsi offert, elle me remercie avec un grand sourire d'éléphante avant de remplir avec son appendice nasale, toujours avec élégance, sa gueule avide. L'éléphant d'à côté, quant à lui, opte pour une méthode plus rapide (c'est un mec!) mais néanmoins efficace pour se délecter et je comprends qu'il faut lui jeter les bonbons directement dans son gosier béat.

Ce repas se déroule bien trop vite et après encore une petite promenade avec les éléphants (il y en a un juste derrière moi qui pourrait me caresser la nuque avec sa trompe, encore un fantasme me direz-vous), il est malheureusement temps de quitter nos nouveaux très grands amis. Je suis surprise d'éprouver à la fois une immense joie pour cet instant si précieux et suspendu dans le temps mais aussi une grande tristesse. Car dans certains endroits de l'Afrique et de l'Asie, alors qu'ici on soigne, on cajole et on sauve ces animaux en expliquant les enjeux de ce travail primordial pour la sauvegarde de l'espèce à tous les visiteurs du centre, certains d'entre eux sont massacrés sans impunité, notamment pour leurs défenses en ivoire valant une fortune. D'ailleurs la population des éléphants est en danger, comme tant d'autres espèces de par le monde, et cela en grande partie par la faute de l'homme cupide et imbécile.

Lorsque nous repartons à bord de notre véhicule, une grande mélancolie m'envahit le coeur. Notre voyage est terminé et il est l'heure de reprendre notre vie habituelle dans nos Alpes que les éléphants d'Hannibal ont d'ailleurs traversées il y a bien longtemps. Et alors que je me perds déjà dans mes souvenirs, une girafe surgit entre les arbres, comme pour nous dire un dernier adieu. Il est temps en effet de saluer une dernière fois cette Afrique multiple et contrastée et de souhaiter qu'elle trouve, ici comme là-bas, la paix et la prospérité pour tous ses habitants, dans le respect de cette nature si belle et de ces animaux si merveilleux. 

Mais avant de refermer ce chapitre enchanteur, je suis infiniment redevable de cette leçon apprise durant ce périple: admirer un animal, c'est quelque chose de magique, comme une porte qui s'ouvre sur l'immensité. Et même si nous n'avons pas su parler avec fluidité le langage éléphant, lion, hippopotame, girafe ou impala, dans ces rencontres multiples entre eux et nous s'est instauré un dialogue grandiose, dans lequel toutes les saveurs du monde et de la nature se sont engouffrées."

 

« Voyager vous laisse d’abord sans voix, avant de vous transformer en conteur. » – Ibn Battuta

 

P.S.: C'est avec émotion et reconnaissance que je termine ces récits de notre périple africain. Émotion, car j'ai vécu des moments extraordinaires que j'ai eus plaisir à partager avec vous alors que j'ai songé bien des fois à fermer ce blog, par manque de temps à cause de mon travail mais aussi par manque d'énergie. Reconnaissance également car je mesure la chance que j'aie de pouvoir faire encore ce genre de voyage et d'avoir rencontré des gens se battant avec enthousiasme pour faire connaître les merveilles de leur pays. Certes, prendre l'avion aujourd'hui n'est pas toujours très bien perçu par certains mais nous avons choisi une agence travaillant avec des intervenants locaux, dans le respect des lieux et de leurs us et coutumes. Voyager pour s'emplir le cœur de nouvelles expériences et de nouvelles rencontres, pour faire vivre une population en consommant local, pour participer au financement de telles initiatives afin de sauver des animaux et les protéger est important. 

Voyager avec intelligence et humilité, cela doit être encore possible.

Sophie la girafe

Dédé © Mars 2023

112 commentaires:

  1. Belle peinture, narration paisible mais émouvante, couleurs vivantes et tendres, images à couper le souffle... Merci pour ce tableau, et que d'autres rencontres inédites nourrissent encore votre inspiration et votre plume. Bonne fin de semaine, dame Dédé

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    1. Bonjour monsieur aux grandes oreilles. Je ne sais pas si je vais encore rencontrer beaucoup d'éléphants. Enfin, peut-être que si, les fameux éléphants dans les magasins de porcelaine. :-) Bises alpines et merci de la visite très matinale.

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  2. Un beau moment fort bien conté. Je comprends cette émotion... Merci!

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  3. Bonjour Dédé, je lis à la suite tes deux billets, merci pour tant d'émotions, des récits si vivants et colorés, tu es si attentive à tout ce qui t'entoure que j'ai été vraiment prise, me suis comme trouvée avec toi.
    Merci, bonne journée.

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    1. Coucou. Bon, je suis attentive à tout ce qu'il y a autour de moi, c'est vrai. Je vois les petites fleurs et tout et tout. Mais un éléphant, voire 5 éléphants, tout le monde les voit. :-)) Bises alpines.

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  4. Ben dis-donc, fermer ton blog!!! Ah mais non, moi j'aime bien tes histoires. Et puis il faut cesser de culpabiliser. Prendre un avion pour un grand voyage n'a rien à voir avec les jets privés des gens pleins de sous et sans scrupules qui inondent le ciel sans cesse. Eux se foutent bien de l'avenir. Alors j'espère pouvoir te lire encore et encore...

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    1. Coucou Martine. Bon, alors je continue encore un peu. ;-) Quant à l'avion, je trouve qu'on a un peu trop tendance à faire culpabiliser les gens qui voyagent. Il y a un juste milieu à avoir, surtout que d'aller dans des pays participe au développement dudit pays. C'est ce qu'on appelle le développement économique, qui amène un développement social, etc. Mais nous nous devons de rester attentifs à comment nous voyageons, cela est bien clair. Bises alpines et merci pour tes encouragements.

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  5. Coucou Dédé,
    Tout d'abord un très grand merci pour cette dédicace qui me va vraiment droit au coeur.
    Je vais me permettre si tu le veux bien de mettre le lien de ton article sur mon billet de lundi prochain.
    Concernant votre périple, j'imagine que les fusils sont chargés de capsules anesthésiantes pour le cas ou un animal souhaiterait soit se faire une partie de rugby, soit se faire un petit steak tartare (et non pas des balles tueuses) ?
    Je me suis régalée une fois de plus à te lire (et franchement, ce serait pour moi vraiment dommage que tu arrêtes ton espace de partages).
    En fait, ce n'est pas compliqué, à chaque fois tu me transportes dans ton image et là encore tu m'as transportée avec toi auprès des Éléphants. J'ai vu avec toi leur regard, avec toi j'ai caressé leur peau, avec toi je leur ai donné ces granulés de gourmandises... et avec toi j'ai croisé le regard de cette magnifique Girafe.
    Ce dont tu parles dans le dernier paragraphe avant ton PS, c'est ce que je ressens avec tous les animaux que je prends le temps d'observer, du plus petit au plus grand, d'ici ou d'ailleurs.
    J'ai eu la chance de beaucoup voyager au travers le monde depuis ma plus petite enfance avec des parents globe trotteurs, puis j'ai continué une fois mariée. Ce sont nos animaux qui ont mis un frein à nos périples (il faut avoir une totale confiance pour les confier à quelqu'un d'autre et il fût un temps entre chevaux, âne, furets, rats, chiens et chats, c'était une véritable ménagerie). Aujourd'hui je ne crois pas que je reprendrais l'avion (certes il ne faut jamais dire jamais mais en plus mon mari n'aime pas cela du tout car il souffre terriblement des oreilles pendant les vols et se paie des doubles otites à chaque fois ce qui est moyennement plaisant). En tout état de cause pas tant que Gampo sera avec nous si toutefois... Mais oui, je pense que voyager avec intelligence et humilité doit être encore possible, enfin j'ose encore l'espérer en tous cas.
    Je t'embrasse et te remercie encore pour ce très joli moment passé ici.
    Bonne journée.



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    1. Coucou Pascale. Je suis contente de t'avoir fait plaisir. J'ai toujours énormément de plaisir à venir rendre visite à tous tes amis les animaux et j'apprécie également tous les détails que tu nous donnes sur chacun d'entre eux. Concernant les balles, oui, j'aurais peut-être dû le préciser, ce sont des balles qui anesthésient et heureusement. Mais bon, je dois dire que je n'étais quand même pas très à l'aise car il y avait également des grands fauves qui se baladaient ici et là. Et notamment les guépards qui sont dans les arbres, sont particulièrement dangereux pour l'homme car ils surgissent du haut et se jettent sur l'intrus très rapidement. Pour ce qui concerne l'avion, je pense, comme je le disais plus haut à Martine, qu'il y a un juste milieu dans la manière de voyager. Je fustige notamment le tourisme de masse qui pollue énormément. Mais oui, j'y crois, on peut encore voyager intelligemment. Bises alpines et merci pour ta visite et ton long commentaire.

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  6. Comme ils sont beaux ces animaux sauvages, et intelligents. Quelle chance d'avoir pu approcher ces éléphants extraordinaires, qui ont tant à nous apporter, merci Dédé d'avoir partagé cette superbe expérience avec nous. Nous les aimons ces êtres, ils sont le sel de la terre !

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    1. Coucou. Tu as raison Marine, les éléphants sont parmi les animaux les plus intelligents et c'est peut-être fou à le dire, mais j'ai ressenti vraiment quelque chose quand on se regardait. Mais tous les animaux méritent notre respect et notre amour, même le petit poisson rouge réputé pour ne pas être pas très intelligent. ;-) Bises alpines.

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    2. Je suis tellement d'accord avec toi Dédé, et mes expériences avec les chevaux ont été exceptionnelles, le feeling qui passe sans que les mots ne soient nécessaires...

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  7. Je refais un essai pour voir si ça passe Dédé

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  8. Coucou Dédé
    Quel beau voyage tu as fait là...
    Les photos sont merveilleuses!
    Bises A +

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    1. Merci Daniel. Bon, j'avoue, j'ai eu de la peine à faire entrer l'éléphant et la girafe dans mon petit objectif. :-)) Bises alpines.

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  9. Bonjour chère Dédé,
    il a l'air pris de près ton éléphant... Ou alors c'est au téléobjectif?
    Bises.
    Bon après-midi,
    Mo

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    1. Coucou. Non, pas de téléobjectif sur cette photo d'éléphant ni pour la girafe. J'avais un objectif standard 24-105 mm, donc j'étais à environ 4 mètres de l'animal. Et quand je l'ai caressé, j'étais encore plus proche car je n'ai pas encore de bras bionique rétractable. :-)) Bises alpines.

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  10. Mille mercis, Dédé, pour ce récit très émouvant, voire amusant (l'énorme étron m'a bien fait rire :-))
    Si les éléphants pouvaient nous communiquer leur sagesse ancestrale, ils nous inciteraient sans doute à voyager sur leur dos plutôt que de risquer notre vie en prenant l'avion. Bien sûr que ce serait plus long, mais en contrepartie ce serait moins cher et plus intéressant !
    Alors courage, surtout ne ferme pas ta permanence ! moi aussi il m'arrive de manquer d'énergie, mais finalement mon grenier demeure ouvert.
    Bises des Yvelines (épargnées dans mon coin par la folie parisienne, mais jusqu'à quand ?)

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    1. Coucou. Je vois que la région parisienne est sans-dessus, sans-dessous. C'est un peu triste de voir la France s'enfoncer dans la crise politique et sociale. J'espère que cela va rapidement se calmer. Quant aux voyages à dos d'éléphants, pourquoi pas mais il faudra quand même les faire monter sur des bateaux si on veut changer de continent. ;-) Bises alpines.

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  11. Coucou ma chère Dédé, woahh! Quel billet passionnant dans lequel tu expliques tout ton ressenti en étant près des éléphants, les caresser, les regarder et leur donner à manger. Je t'imaginais là, devant eux, c'est magique. Et la girafe, super jolie. Je comprends tes palpitations de bonheur, tu l'as vécu et c'est magnifique. Merci pour ton partage plein d'émotion. Ton blog mérite de continuer et de nous faire rêver, les photos sont superbes.
    Gros bisous et agréable week-end ♥

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    1. Coucou. Merci pour tes mots ma chère Denise. Alors je vais essayer de retrouver un peu d'énergie pour maintenir ouvert cet espace mais j'avoue que j'en suis singulièrement dépourvue à la sortie de cet hiver et le temps qui joue au yo-yo n'aide pas vraiment. Quant aux animaux, j'aime les regarder et ce voyage m'a vraiment rendue très heureuse d'être ainsi au contact de la nature. Devant ma fenêtre aujourd'hui, alors qu'il neige, il y a plusieurs mésanges, des accenteurs alpins et deux écureuils qui veulent les graines pour les oiseaux. C'est presque comme un safari. :-) Bises alpines.

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  12. oh oui c'est magique et merci de me le faire vivre, je ne crois pas que j'aurai jamais l'occasion de voir dans leur habitat naturel mes animaux préférés, merci, merci!

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    1. Mais quels sont tes animaux préférés? Si tu aimes les accenteurs alpins, j'en ai 4 qui se battent actuellement devant ma fenêtre. ;-)

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  13. Quelle aventure extraordinaire et je comprends combien tu as pu être touchée par ces mastodontes, j'en ai eu des frissons tout en te lisant, et comme je t'ai enviée (sourire). Ton voyage se termine, mais tu garderas à jamais tous ces bons souvenirs, ces belles rencontres et lorsque tu auras un coup de blues, tu n'auras qu'à penser à tout ce que tu viens de vivre, et le sourire reviendra (sourire).
    Merci pour ce magnifique billet, Dédé. Bises de chez moi.

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    1. Hello Françoise. Tu as raison, les souvenirs vont rester vivaces, grâce d'ailleurs à toutes ces photos. Mais il va falloir quand même que je les trie, il y en a trop! Bises alpines.

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  14. cela a du être fabuleux... tu en parles si bien on s y croirait presque... gros bisous

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    1. Regarde bien, peut-être que derrière toi, il y a un éléphant! :-) Bises alpines.

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  15. bonsoir Dédé , ah oui un beau récit de votre aventure et c'est un bel hommage aux éléphants , et de pouvoir les caresser ce fut un moment magique ++++ ! pour vous tous , et à manger et ++ un récit émouvant en partage ça donne envie d'y aller un jour mais bon ! un grand merci gros bisous belle fin de semaine a + Voyager avec intelligence et humilité, cela doit être encore possible. je l'espère aussi ++++ !!!!!

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    1. Coucou Bébert. J'ai essayé de leur expliquer qu'il fallait prendre soin de leur peau et ne pas la laisser se rider autant. Et ils m'ont raconté que si la peau est ainsi, c'est pour garder de l'humidité entre les plis. Ce qui rafraîchit lors des grandes chaleurs. Incroyable n'est-ce pas? Bises alpines.

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  16. Un moment émotionnel très fort dont toute souviendras toute ta vie. Ton récit est très émouvant. Quand je pense qu'on massacre cet animal magifique !!

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    1. Coucou Daniel. Oui, c'est révoltant de savoir qu'il y a encore des éléphants massacrés ici et là. L'homme est vraiment... un imbécile...parfois (souvent?).

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  17. Bonsoir chère Dédé, en voilà une grande aventure avec cette connexion directe avec la Nature, la rencontre avec les éléphants sera je pense pour toi un souvenir très puissant, je suis très heureux que tu es pu vivre un tel moment, j'étais avec toi pendant que je lisais et j’avoue que c'était très fort en ayant jamais vécu une telle rencontre. C'est un régal de te lire, je vis chaque moment et c'est très beau.
    L'image de l'éléphant est très touchante, son regard est tellement doux, comme une invitation de sa part à une rencontre, c'est très beau.
    La photo de la girafe avec ces grands arbres et cette superbe lumière sont une réussite, cette belle Dame semble surgir comme si on voulait qu'on ne l'oublie pas...
    Alors bien sur je ne souhaite pas que tu fermes ton blog dans futur proche ou lointain Dédé mais d'un autre côté je te comprends aussi, en attendant bravo et surtout merci pour ces moments passés avec toi aujourd'hui.
    Je te souhaite un bon weekend et à une prochaine.

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    1. Coucou mon cher JP. Comme tu as raison d'écrire que Jock avait un doux regard. C'est vraiment ce que j'ai ressenti en le côtoyant, en le caressant et en le photographiant. J'en avais presque les larmes aux yeux. Photographier le lion, c'était déjà un grand moment mais là, avec ces interactions avec les éléphants, c'était juste fabuleux et très touchant. Merci de ton commentaire et promis, je vais aller à la chasse d'énergie pour poursuivre ce blog, envers et contre tout. Bises alpines.

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  18. J'adore tes talents de conteuse, ce soir je m'endormir avec des images de ton voyage en Afrique....
    Merci Dédé, Bises !!!

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    1. Coucou mon cher gitan. Fais gaffe, regarde bien au saut du lit que tu n'aies pas un étron sur le tapis. :-) Bises alpines.

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  19. Coucou ma Dédé !
    Encore un magnifique récit et deux belles photos. Celle de la girafe est magnifique.
    Tu as vécu une belle et riche aventure.
    Faut pas avoir de scrupules pour avoir pris l'avion, nous, nous n'avons pas hésité à aller en Martinique en Novembre dernier.
    Moi aussi, depuis un certain temps, je pense à arrêter mon blog : plus tellement d'idées de publications.
    Continue à nous enchanter avec tes beaux textes et tes belles images.
    Bonne journée et bises de ma campagne ventrée depuis hier.

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    1. Coucou. La girafe est apparue presque d'un coup. J'avais déjà rangé l'appareil dans la sacoche, j'ai dû le ressortir en vitesse, sans vraiment faire de réglages. Quant aux voyages en avion, comme je l'ai dit plus haut, je crois qu'il y a un juste milieu à avoir dans notre manière de voyager. A chacun ensuite de trouver ce juste milieu. Les blogs? énergivores mais ils apportent quand même beaucoup. Bises alpines et continuons. Enfin, essayons! :-)

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  20. Merci Dédé pour ce partage, les photos et le texte nous transportent !
    Il est vrai qu'il faudra réduire drastiquement les voyages aériens, mais comme tu le soulignes, il y a voyage et voyage.
    Et retranscrire ici le respect, le soin aux animaux, l'admiration de votre groupe est très positif pour la planète.

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    1. Coucou. Je pense que les compagnies aériennes pourraient déjà réduire drastiquement leurs offres pour des voyages comme Genève-Zurich qui peuvent très bien se faire en train. Merci de la visite.

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  21. Réponses
    1. Pour Jock et Sophie? Ils posent bien c'est vrai. ;-)

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  22. Un reportage extraordinaire ... tes mots sont "respect"... et on ne revient jamais tout à fait pareil d'un tel voyage... et il faut arrêter de culpabiliser quand on prend l'avion une fois par an pour la rencontre, le partage et la connaissance d'autres pays...

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    1. Voilà, c'est tout à fait cela. Le respect pour le pays visité, pour ses populations locales, pour leurs us et coutumes et pour la nature qui les entoure. Merci de ton avis.

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  23. Aimer le monde animal , le contempler, le partager avec autant de talent n'est pas donné à tout le monde
    J'ai apprécié
    Merci

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    1. Merci Rose. Et je crois bienvenue ici! Oui, j'aime les animaux. Beaucoup, beaucoup. ;-)

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  24. Elle est très curieuse cette magnifique girafe et je revois avec plaisir cet incroyable mastodonte, que la vie leeur soit douce Dédé

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    1. Jock était vraiment magnifique en effet même si ces défenses étaient un peu cassées. Bises alpines.

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  25. Coucou chère Dédé, je viens de lire le commentaire chez Pascale concernant ton blog, c'est vraiment mérité. Heureuse pour toi.
    Gros bisous et bon dimanche avec tes petits ailés et tes deux écureuils qui viennent te tenir compagnie ♥

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    1. Merci Denise. Cela me touche profondément. Bises alpines et belle semaine.

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  26. J'ai l'impression de dire toujours la même chose, mais comme tu racontes bien...
    Mes respects à Monsieur l'élephant, et coucou de Sophie à Sophie à Madame la girafe. De très beaux portraits que tu as fait là.
    Je ferai à lire à mon mari, car le plus beau souvenir de sa vie, c'est lorsqu'à l'âge de 5 ans on l'a déposé sur un éléphant. Il était fou de ces animaux, il en voulait un dans la cabane du jardin. Il faudrait peut être que je lui offre ce voyage... :)

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    1. Coucou. Alors si c'est un éléphant africain, il te faut une très grande cabane dans le jardin. Une plus petite pour un éléphant d'Asie. :-) En tous les cas, aller dans cette réserver au Zimbabwe, c'est vraiment quelque chose qui restera gravé dans ma mémoire. Bises alpines et merci de ta visite.

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  27. Merci Dédé pour le récit de cette merveilleuse rencontre Les éléphants sont des êtres intelligents et sensibles qui veillent leurs morts . Mais je me pose une question sur la photo de l'éléphant aux défenses tronquées Est ce volontaire pour le protéger des braconniers ? Bises occitanes

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    1. Coucou. Non, il a les défenses cassées et ce n'est pas une décision des soigneurs de la réserve. Et oui, les éléphants sont très sensibles et franchement, j'ai ressenti tout cela dans cette visite inoubliable. Peut-être parce que je suis aussi sensible? :-) Bises alpines et bonne semaine.

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    2. Merci Dédé pour cette précision Peut être s'est-il lui même cassé les défenses pour ne pas être tué ! Bises occitanes

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  28. Bonjour Dédé. Je viens de chez Pascale. Un beau récit de cette rencontre avec éléphants et girafes. J'en ai vu de près en Afrique du Sud, au parc Kruger, mais pas assez près pour les caresser. Et pourtant il y avait des bébés attendrissants. Bon dimanche

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    1. Coucou. Et bienvenue ici! Oui, j'en ai aussi vu dans le parc Kruger mais sans pouvoir les caresser. Là, c'est vraiment une réserve qui leur ai dédiée. Belle semaine et merci de venir jusqu'ici.

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  29. Merveilleux texte en hommage à Pascale et photos...
    Je viens de chez Pascale qui publie de splendides articles...
    Bon dimanche après-midi Dédé
    Béa Kimcat
    http;..kimcat1b58.eklablog.com/

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    1. Bonjour et bienvenue ici. Oui, Pascale a l'oeil pour photographier les animaux et nous les faire aimer. Je voulais lui faire cette petite dédicace pour nous faire ainsi rêver. Belle semaine et merci de la visite.

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  30. bonjour,
    je decouvre avec plaisir ton blog par le biais de Pascale et je suis sous le charme de ton écriture et de tes récits, ..
    je me suis inscrit à ta newsletter et je reviendrais donc avec plaisir sur ton espace..
    j'ai adoré cet article sur les éléphants et j'ai cru un moment que je me trouvais parmi eux par ton recit..
    bon dimanche
    à bientot

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    1. Bonjour et bienvenue ici. Alors c'est avec plaisir que je vous accueille ici. J'espère que la newsletter fonctionnera bien car parfois, elle a des ratées. Mais en général, je publie un vendredi sur deux, à part quand je suis en pause. Belle journée et merci!

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  31. Quelle chance de pouvoir côtoyer ces animaux en vrai. les défense de cet éléphant ont elles été coupée sciemment, ou est ce un accident de
    la vie. trés beau reportage
    bon dimanche

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    1. Bonjour et bienvenue ici. Les défenses ont été cassées naturellement. Un accident de la vie donc. Cela donne un petit style particulier à Jock mais il reste toujours très beau! Belle semaine et merci de la visite.

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  32. Je comprends et partage tout ton ressenti lors de ce voyage même si, comme je te l'avais expliqué précédemment, je ne suis pas attirée par l'Afrique. J'ai partagé la journée d'un cornac en asie du sud et en ai gardé des souvenirs dont l'intensité est parfois difficile à expliquer. Quant à ton argumentation sur le déplacement en avion.......commençons par mesurer, tempérer nos actes/actions au jour le jour avant de jeter la pierre . Je te souhaite une belle soirée avec tes souvenirs.

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    1. Les éléphants sont vraiment des animaux extraordinaires, sensibles et intelligents. Ils méritent tout notre respect. Belle semaine.

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  33. Bonjour
    Encore un article merveilleux , intense, qui exprime avec une sensibilité non dénuée d'humour , et un talent fou dans l'expression ce que , je crois , je ressentirais dans la même situation et que je découvre au fil de tes mots .
    Merci pour cette parenthèse exaltante .

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    1. Coucou. Si une fois tu as l'occasion de rencontrer un éléphant, (pas seulement dans un magasin de porcelaine), c'est vraiment quelque chose d'extraordinaire. Je suis contente alors si j'ai pu faire passer tout mon ressenti dans ce texte. Bises alpines.

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  34. Bonjour Dédé, je viens de chez Pascale à laquelle tu rends un très bel hommage qu'elle mérite bien tant elle nous régale avec ses photos. Je découvre ton blog, ta passion et ce merveilleux voyage aujourd'hui avec grand plaisir. Que d'émotion d'avoir pu ainsi approcher de cet éléphant et avoir partagé un moment de sa vie...je te comprends. J'ai toujours pensé que les animaux sentaient qu'on les aime et qu'on ne leur fera aucun mal. Merci pour ce reportage. Très belle semaine

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    1. Bonjour Manou et bienvenue ici. Je suis en effet aussi persuadée des connexions qu'on peut avoir avec les animaux, pas seulement avec les chats ou les chiens. Par exemple, ce matin je discute avec une merlette qui se protège de la neige sur mon balcon. Elle m'écoute quand je lui parle. Belle semaine et à bientôt ici ou là.

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  35. Superbes, la première comme la deuxième photo et malicieuses ! Le pachyderme s'est fait beau, il s'est poudré le corps pour votre venue quant à la dame au long cou elle aurait eu du mal à cacher sa curiosité même si elle s'intègre bien dans son bosquet d'arbre

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    1. Coucou ma belle. Oh que oui, Jock s'était fait tout beau pour notre venue. Quel admirable animal, j'en suis encore tout émue. Et puis la girafe, malicieuse et si élégante. Un très beau moment également.

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  36. Tu exprimes si bien toute l'émotion que tu as ressenti durant ton séjour ; ces rencontres, aussi avec les accompagnateurs qui ont veillé sur votre sécurité et guidé vos rencontres. Grattouiller une peau calleuse, cela fait du bien comme d'enlacer le tronc d'un arbre. On se sent tout petit et grand à la fois. Merci de tes récits qui te rappelleront de si beaux moments et qui nous les font vivre avec toi
    Bises de ma jungle après la pluie, pas très moite cependant

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    1. Ah oui, j'aime bien enlacer aussi les troncs d'arbre mais je regarde toujours qu'il n'y a personne autour pour ne pas passer pour une folledingue. :-) ici, ce n'est pas la jungle, c'est la montagne avec de la neige qui tombe en abondance depuis samedi... Tout ce qui n'est pas tombé durant l'hiver arrive maintenant... Mais moi, je n'ai plus tellement envie de la voir maintenant! Bises alpines.

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  37. Rencontrer les cousins de Baloo est toujours un grand moment . Ce fut le cas lors de ma rencontre avec les éléphants du désert dans la Huab Valley il y a quelques jours. Ces éléphants sont plus petits et plus agiles que celui de ta rencontre et dont tu as saisi le portrait à notre intention.

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    1. Et ce qui est super avec un éléphant, c'est qu'on peut leur serrer la trompe au lieu de la main. :-) Je me réjouis de voir tes photos! Bises alpines.

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  38. Bonjour Dédé,
    J'arrive grâce à une amie commune que je remercie pour son lien sur son blog car je découvre un autre paradis ici !
    Je retrouve dans ce texte tout ce que j'ai pu éprouver pendant de longues journées à arpenter la savane. Je n'ai pas eu la chance de poser mes mains sur ce merveilleux animal mais l'émotion fut tout aussi immense lorsqu'une famille m'est passée à 1 mètre à peine du véhicule.
    La joie et la tristesse sont identiques aux tiennes pour les mêmes raisons.
    Grand bravo pour les photos.
    Je reviendrais certainement trainer par ici et je suis certaine de m'y plaire.
    À bientôt
    Nath

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    1. Coucou Nath et bienvenue dans cet espace. Une famille c'est encore mieux que de voir des individus isolés, je regrette de ne pas avoir vu de petits éléphanteaux mais peut-être que ce sera pour une prochaine fois. Soutenir de telles initiatives est primordial pour la sauvegarde des espèces, on espère pourtant qu'un jour, l'homme sera moins stupide... mais j'en doute! Belle journée et à bientôt ici ou ailleurs.

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  39. Coucou Dédé,
    Pascale te rend hommage pour ton travail et ta façon d'être et elle a bien raison. Je viens sur ton blog depuis des années et c'est toujours avec un grand plaisir que je découvre photos et écrits.Tu exprimes avec sensibilité tes émotions, tu décris les paysages et souvent tu as ce petit humour qui nous fait sourire. Je sais que tenir un blog demande du travail et de la constance. Merci pour ces bons moments que tu sais nous offrir. Bien amicalement je t'embrasse

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    1. Coucou. Merci pour tes mots ma belle. Tu sais effectivement que tenir un blog demande du temps et de l'énergie. J'avoue que je suis très souvent tentée de fermer le mien et de faire autre chose mais en même temps, écrire, mettre les photos, même si cela prend du temps, cela me fait aussi plaisir. Je vais tenter de retrouver cette énergie qui me fait vraiment défaut depuis plusieurs mois. Bises alpines et belle suite de semaine.

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  40. Un immense merci à toi pour le partage... Voyager est effectivement une chance, une ouverture sur les autres, sur la nature, sur la vie sur terre, il me semble que si tous avaient cette possibilité, notre monde serait beaucoup plus harmonieux et paisible... Les animaux entre autre ont tant de choses à nous apprendre...
    En lisant tes articles je me sens toute petite et infiniment reconnaissante, vraiment MERCI !

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    1. Coucou. Voilà un avis qui me plaît! C'est vrai que si tout le monde pouvait voyager et s'intéresser aux autres et à leurs manières de vivre, on serait peut-être plus ouverts à la différence, ce qui semble faire un peu défaut dans notre monde d'aujourd'hui. Merci pour ta visite et pour tes mots! Bises alpines.

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  41. Magnifique échange entre deux talentueuses photographes !
    Tendresse pour l'éléphant coquet qui pose, c'est ainsi que le spectateur le voit. Et pour la malicieuse et curieuse girafe ♥♥♥
    Bravo !!

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    1. Coucou Fifi. Ah oui, tu as vu ça. Il est très coquet Jock avec sa patte nonchalemment posée sur le tronc! Et j'adore aussi la girafe surgie de nulle part. Bises alpines.

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  42. Bonsoir, je suis une amie de Pascale. J'ai tenté à plusieurs reprises de laisser un message en vain... Magnifiques les photos et le prose, j'y étais. Merci pour ce très beau moment. Bonne soirée

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    1. Bonjour Gisou et bienvenue ici! Oui, ce n'est malheureusement pas toujours simple de laisser des commentaires sur les plateformes blogger et c'est un peu désespérant. Mais j'espère que vous reviendrez pour d'autres articles et photos! Belle suite de semaine.

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  43. Bonjour, ça doit être impressionnant de côtoyer de si près un tel animal, magnifiques photos, je te souhaite une bonne journée, bisous

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    1. Coucou. Je pense quand même que c'est moi qui ai été le plus impressionnée entre les deux. :-) Bises alpines.

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  44. Bonjour!
    Vous savez transmettre l'illusion d'être entouré d'une si belle nature.
    Comme si j'y étais, devant l'éléphant.
    D'autre part, est-ce que vous me donneriez la permission d'utiliser le texte dans mes cours?
    Salu2.

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    1. Bonjour. Ce n'est pas une illusion finalement. C'est la réalité. Pour l'utilisation de mes textes, merci de m'envoyer un mail et de m'expliquer dans quel cadre cela pourrait être fait. Bonne journée.

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    2. Bien évidemment "illusion" pour moi de me laisser transporter dans ce beau paysage. Réalité pour vous.
      Merci.

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  45. Bonjour Dédé,
    Arrivée de chez Pascale, je découvre votre blog et pour commencer, cette page magnifique.
    Ma journée est faite, grâce à vous !
    Merci pour tant d'humanité envers ces éléphants. Oui, je crois qu'il est tout à fait possible de voyager dans le respect de la vie.
    Bien à vous,
    eMmA

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    1. Bonjour et bienvenue ici! Je ne sais pas qui a fait le plus preuve d'humanité dans cette histoire, eux ou moi? :-) Merci de la visite et belle journée!

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  46. Bonjour Dédé,
    Connaissant Pascale depuis quelques années maintenant, je sais qu'elle a apprécié cette dédicace, c'est une amoureuse des animaux, de tous les animaux.
    Elle sait les mettre en valeur sur son magnifique blog !
    J'imagine combien ça doit être magique de croiser ces animaux dans leur milieu naturel.
    Ce gros plan de l'éléphant est magnifique et quoi de plus beau que cette girafe qui vient se faire tirer le portrait pour un adieu émouvant, Sophie est très belle ;-)
    Vos photos et les textes qui les accompagnent nous font voyager, avec les détails du récit, c'est un peu comme si on y était!
    Ce n'est pas tous les jours qu'on peut partager de tels moments avec ces animaux, merci pour ça.
    Belle journée à vous.

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    1. Bonjour et bienvenue dans cet espace. Je ne fais que rarement des photos d'animaux mais là, tout s'y prêtait. ;-) C'était effectivement fantastique d'approcher de si près ces animaux immenses. On se sent vraiment tout petits face à eux mais en même temps, il me semble qu'n pouvait dialoguer sans problème. Merci de la visite et à bientôt ici et là! Belle semaine.

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  47. Réponses
    1. Je suppose que le précédent commentaire était de vous. Merci. :-)

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  48. Bonjour Dédé, c'est par le blog de Pascale que j'ai pu découvrir ton blog. Je frissonnais en lisant ton récit très bien écrit et donnant vraiment la sensation de se trouver avec toi dans cet endroit magique. De la part de Beewell.

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    1. Coucou Beewel. Merci pour la petite visite et bienvenue dans cet espace. Contente que mon récit rende les gens heureux. A bientôt ici et là sur la blogosphère. :-)

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  49. Quel beau voyage, tu as du vivre des moments d'une haute intensité, et puis quel contraste avec les Alpes. J'ai lu il y a quelques temps un fort joli roman que tu connais peut-être "La tristesse des éléphants" de Jodi Picoult, ces animaux sont vraiment émouvants, tu ne pourras toi non plus jamais les oublier. Douce après midi Dédé, à bientôt. brigitte

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    1. Coucou Brigitte. Je n'ai pas lu ce livre mais je note précieusement son titre. J'ai vu dernièrement une vidéo d'une maman éléphant qui portait la dépouille de son éléphanteau. Tant qu'elle ne fera pas son deuil, elle ne pourra pas le lâcher. Ce sont quand même des animaux incroyables. Merci de ta visite et bises alpines.

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  50. Bonjour Dédé, une relation presque mystique avec un éléphant et voir de près Sophie la girafe en plein cœur de la divine terre d'Afrique , cela donne de ta part un texte que je trouve riche , foisonnant et un peu érotique par endroits (fantasme sur la trompe de l'éléphant ?) .La savane et le monde animal lié à la faune et la flore donne un mélange qui laisse l'humain sans voix et admiratif et çà , c'est ce qui ressort de ton joli texte qui fait du bien , je l'ai lu deux fois.

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    1. Coucou Jerry. :-)). Toi seul a noté le fantasme de la trompe. C'était pour rire et pour mettre un peu d'humour dans ce texte. La savane est un endroit merveilleux et dès que je l'ai quittée, j'ai eu envie d'y revenir. Mais ce ne sera sans doute pas pour tout de suite. Merci de ta lecture et relecture! Bises alpines.

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    2. j'avais bien compris que cette allusion à la trompe d'éléphant était là pour rire . Bonne fin de semaine , Dédé !

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  51. Merci de ta visite. Tu as pu constater que je n'avais pratiquement pas bougé et venir sur tes pages est une autre façon de voyager. Bonne journée.

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    1. Coucou. Et dire que c'est bien Pâques, il va falloir qu'on se bouge quand même un peu! :-)

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  52. Je me suis laissé entraîné par le tourbillonnement de tes mots, de tes idées, de votre vécu en mode direct avec la nature ici, presque sauvage.
    Il faut que ces gros zanimaux restent sur leur réserve, et pour cela, point de gestes brutaux.
    Et le guide vous a-t-il parlé du nombre de muscles dans une trompe? Dis un nombre pour voir :-)
    Et une si grande souplesse, précision dans le geste.
    Tu cites les zabitants croisés, et pour l'hippo, j'ai entendu dire que c'est peut être le plus dangereux.
    On a du vous apprendre une stratégie d'approche.
    Et Sophie la girafe, combien de vertèbres cervicales. Et bien 7, comme nous :-)
    Merci de m'avoir fait voyager, et même par la pensée, je m'y emploie dès que je peux.
    Et pour le blog, fais à ton rythme, tes amies amis toujours viendront, tu sublimes tant ce que tu touches.
    À plus. Amic@lement. Yann

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    1. Coucou Yann. Non, je ne sais pas combien il y a de muscles dans la trompe d'un éléphant mais je sais qu'un éléphant, ça trompe énormément. ;-) C'est vrai que les hippopotames peuvent être très dangereux s'ils leur viennent l'idée de charger. Mais ceux que j'ai vu étaient bien tranquilles dans la rivière. Merci pour tes mots et ta visite. Bises alpines

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  53. Dédé, de belles rencontres et surtout de belles photos, pour aujourd'hui les miennes sont plus modestes : deux mouflons et quelques lézards. Belle et bonne soirée.

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    1. Coucou. Il n'y a pas de sujets modestes et donc de photos modestes. J'adorerais rencontrer une fois un mouflon! Bises alpines.

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