Arrivée au sommet, Massif du Mont Blanc |
Un jour, vous vous levez. Comme tous les autres jours, sans soupçonner un seul instant ce qui va se passer. Arrivé au travail, vous savez que la journée sera difficile, comme l’ont été les dernières semaines, voire les derniers mois. Votre corps vous avait déjà donné un signal très fort en mai, fatigué et meurtri par une infection qui vous a laissé sans force pendant des jours et a rendu vos nuits cauchemardesques à cause de la douleur.
Vous franchissez la porte du bureau et vous vous attelez au travail accumulé qui vous attend. La matinée se déroule puis un repas de midi, votre dernier repas dans cette cafétéria mais cela, vous ne le savez pas encore. A 14h00, le téléphone sonne et une voix vous ordonne froidement de vous rendre dans le grand bureau, celui où toutes les décisions sont prises et en cinq minutes, votre destin bascule. On vous somme de quitter sur le champ votre place de travail sans fournir plus d’explications et sans vous donner la possibilité de vous défendre, droit le plus élémentaire pourtant. Sous bonne escorte, vous êtes bousculé dans l’escalier pour atteindre plus vite la porte de sortie. Vous quittez le bâtiment les jambes flageolantes, sans avoir eu le temps de saluer certains de vos collègues. Vous faites encore bonne figure jusqu’au coin de la rue où là, vous vous effondrez.
Les jours qui suivent sont sans saveur. Vous errez sans but, le cœur exsangue et les crises de larmes se succèdent. Vous n’êtes plus vous-même, n’osant plus sortir et les questions se multiplient dans votre tête. Toutes les nuits sont peuplées d’insomnies qui dureront trois mois et demi et seules deux nuits durant cette période vous permettront un repos sans réveil intempestif.
Puis la rage vous envahit. La confiance que vous aviez envers certaines personnes s’effondre et la vérité ignoble se fait peu à peu jour dans votre esprit. Vous avez été victime d’une machination qu’il va falloir contrer. Ainsi au fil des jours, votre détermination à rétablir la vérité se renforce, peu à peu. La résistance s’organise, les plus fidèles compagnons répondent présents alors que d’autres s’éloignent, trop peureux. Heureusement, les proches vous soutiennent. Dans votre esprit, vous savez qu’il faut un changement et cela passera déjà par votre lieu d’habitation.
Partir de ce lieu et retourner aux racines. Revoir enfin de près les montagnes, loin de ce carnage professionnel et mettre de la distance avec ce qui a fait tellement de mal. Epuisé alors par les insomnies et le combat qu’il faut commencer à mener, vous remplissez pourtant des cartons, comme un automate. Le tri se fait dans votre vie et allège quelque peu le lourd quotidien.
Quittant la ville dans laquelle vous aviez tissé de si nombreux souvenirs, vous lancez un dernier regard à votre quartier, les larmes aux yeux car une page se tourne et vous ne savez encore pas de quoi demain sera fait.
Arrivé dans votre nouveau lieu de vie, vous n’avez aucun repère, si ce n’est cette barrière de montagnes que vous contemplez tous les matins et ce cœur aimant qui vous soutient, indéfectiblement. La vie s’organise lentement. Malgré toute la colère tapie au fond de vous, les beautés de la nature vous apaisent quelque peu et les obstacles semblent un peu moins difficiles à franchir. Mais les angoisses sont latentes, vous empêchant parfois de respirer. Certaines journées, pourtant éclairées des beautés automnales, vous laissent pantelant et amer.
Petit à petit, vous décidez de vous écouter, de vous connecter à nouveau à votre corps et à vos émotions, ce que vous aviez oublié de faire durant ces derniers mois de travail acharné et dans cette ambiance si maltraitante. Au fil des jours, les feuilles des arbres jaunissent et tombent à terre et vous-même, vous vous dépouillez un peu de ce qui fait si mal. Puis l’hiver s’installe lentement, déployant son manteau blanc durant presque cinq mois. De petits oiseaux viennent vous rendre visite dans la mangeoire installée sur le balcon et vous les observez, émerveillés de leur fragilité pourtant si forte.
Durant ce long hiver, l’introspection permet d’analyser et de prendre des décisions. La résistance s’organise mais aussi l’attente interminable car la justice n’est pas pressée et surtout la partie adverse joue avec vos nerfs en reportant sans cesse les délais, comme si elle craignait que la vérité n’éclate enfin.
Peu à peu, la neige au-dehors fond et c’est aussi une sorte de dégel pour vous. Vous rencontrez d’autres personnes qui ont vécu elles-aussi l’enfer professionnel et ces échanges vous rendent plus fort et surtout conscient de vos capacités et de vos ressources. Vous relevez la tête et sortez peu à peu de vous-même pour vous reconnecter au monde extérieur. Vos yeux s’émerveillent toujours des beautés de la nature. Ecouter le pépiement d’une mésange, contempler les levers du soleil sur la chaîne de montagnes en face, compter les flocons des giboulées de mars vous émeuvent mais vous sentez que quelque chose de neuf frétille, là, au fond de vous.
Même si l’hiver paraît sans fin à cette altitude, vous entrevoyez un printemps, certes timide, qui éclot dans le regard pétillant de la mésange noire chantonnant devant votre fenêtre. Et en l’espace d’une semaine, tout bascule. On a cru en vous et vous allez pouvoir remettre le pied dans le monde professionnel pour relever de nouveaux défis. Et votre cœur explose de joie et de reconnaissance, de fierté aussi.
Le combat sera encore long pour obtenir réparation et faire toute la lumière sur une affaire qui comporte tant de zones d’ombre. Mais quelqu’un a dit de vous dernièrement que vous étiez courageux. Ce compliment prend aujourd’hui tout son sens. En effet, que de souffrances subies, que de déception face aux mensonges et à la malhonnêté de certains mais aussi quelle détermination pour surmonter la douloureuse épreuve. Dans la mélodie du merle qui surgit dans le jour finissant de ce début avril, vous reconnaissez le chant de l’espoir, envers et contre tout. Et le soleil rougeoyant qui caresse le sommet des montagnes vous murmure que vous êtes aussi fort qu’elles, là, tout au fond de vous.
P.S. Comme vous l'aurez compris, je vais être moins présente sur la blogosphère mais je viendrai vous voir dès que le temps se présentera et que je pourrai m'organiser. Afin de continuer à me suivre et être au courant de mes publications, je vous invite à passer par l'inscription à la newsletter sur la droite de mon blog ("follow by email"). A bientôt!
Dédé © Avril 2018
C'est dans l'air du temps de considérer les travailleurs comme de simples objets que l'on use et qui se jettent après utilisation, et quand le crime est bien organisé la vérité ne sera jamais divulguée, pour la victime l'oubli et le déni reste la meilleure solution pour vivre
RépondreSupprimerAmicalement
Claude
Hello Claude. Je suis d'accord avec le fait que les travailleurs sont de moins en moins bien traités dans notre monde du travail, sous des prétextes divers et variés d'ailleurs: Contraintes économiques, mauvaise gestion de la hiérarchie, mensonges etc. Par contre, je suis moins d'accord avec toi sur le fait qu'il faut oublier et être dans le déni. Pas de déni car il ne permet pas d'avancer les yeux grand ouverts et faire en sorte de ne pas retomber dans des cadres de travail mauvais pour soi. Pas d'oubli non plus car il y a une vérité à établir et une justice à faire régner. Merci de ta visite et bises alpines.
SupprimerQuand je parle de l'oubli et du déni c'est simplement pour ne pas sombrer, la personne qui est jetée comme une malpropre se pose énormément de questions et se laisse vite envahir par le doute, ce doute qui peut conduire au suicide, à vouloir faire plier les manipulateurs ont fini par se détruire soit même et c'est pour ça que je pense qu'il vaut mieux passer à autre chose, pour sa propre sauvegarde. J'ai bien connu tout ce que tu décris et je sais ce qu'il m'en a couté
SupprimerAmicalement
Claude
Merci Claude de cette précision. J'espère que tu t'es remis de tout cela! Bises alpines.
SupprimerCoucou Dédé,
RépondreSupprimerL'injustice, la mauvaise foi, le mensonge... il n'est rien de pire je crois.
Je te souhaite le plus grand courage pour les démarches entreprises et celles qui t'attendent.
Et puis réapprendre a regarder ce qui est beau, doux pour pouvoir tourner une page et en réécrire de nouvelles.
Bises, bonne journée et à bientôt.
Hello Pascale. Oui, je crois que l'injustice et le mensonge sont les pires choses dans l'échelle de mes valeurs. Et quand le mensonge vient de personnes en qui on avait toute confiance, cela fait d'autant plus mal. Mais une chose est sûre, apprendre à voir le plus mauvais côté de notre société permet de grandir, au fond de soi. C'est ce qui m'arrive. Et je transforme le négatif en positif, malgré tout. C'est une belle leçon de vie je crois. Merci de ta visite et de ton commentaire. Bises alpines.
SupprimerBeaucoup de respect face à ta ténacité! Merci pour ce partage et tous mes vœux de réussite pour la suite.
RépondreSupprimerJ'imagine voir ta main apparaître au haut de cette échelle... je me trompe? C'est bien une échelle sur cette photo si pure et si représentative de toute aventure de vie.
Chère Thérèse. Merci de ton commentaire qui me touche. Je crois que l'on peut parler effectivement de "ténacité" et de "courage". Mais que cela a été difficile. Malgré tout, je crois que le plus difficile est derrière moi.
SupprimerEn ce qui concerne l'échelle près de l'Aiguille du Midi, je ne l'ai pas empruntée moi-même. Mais je me trouvais là-haut, quelques jours après le jour que je décris tout au début de mon texte. J'étais assez mal au fond de moi mais voir les montagnes de si près, cela m'avait fait un bien fou. Et j'avais compris que cet amour de la montagne et de la nature, personne ne pouvait me le prendre. Bises alpines et à tout bientôt. Ici ou ailleurs. Prends bien soin de toi.
Coucou Dédé
RépondreSupprimer... Spleen... ?
Bon courage...
Bises, à bientôt très vite...
Coucou Daniel. Euh non, pas de spleen, une nouvelle énergie plutôt. Bises.
SupprimerOuf! Gros bisous...
SupprimerLe fond et la forme sont bien différents ce vendredi. Tout s'enchaine avec des mots parfaitement utiles et huilés, sobrement, sans fioritures et ce récit me laisse un peu hébété. Tu livres et décris là une terrible épreuve professionnelle et personnelle qu'on ne souhaite à personne, une épreuve pas si rare qu'on l'imagine. Pus rare par contre sont le courage, la force et la ténacité dont tu t'es emparée pour faire face, affronter, et "rebondir" comme on dit aujourd'hui.
RépondreSupprimerBises, bonnes chances et à bientôt.
Merci Francis pour ton témoignage qui me touche profondément. Ce texte, je l'ai écrit un peu comme un exutoire. Cela fait des mois que je me dépêtre dans tous ces problèmes et tout d'un coup, les choses avancent, les pions que j'avais avancés sur l'échiquier de la vie avec patience donnent la combinaison gagnante. Alors je voulais faire sortir ce que j'avais encore au fond de moi comme rage et tristesse pour déposer tout cela et avancer avec une nouvelle énergie. Tu as raison, cette "mésaventure professionnelle" n'est pas unique et les personnes que j'ai rencontrées dernièrement avaient elles-aussi des histoires de vie assez difficiles. Le fait d'en parler, d'échanger, m'a rendu plus forte. Merci d'être passé. Et bises alpines.
SupprimerCourageuse ? Bien sûr. Et forte. Et déterminée. Tu as su gravir la montagne, en dépit de toutes les difficultés.
RépondreSupprimerMaintenant, prête pour une nouvelle étape, tu vas pouvoir mettre toute ton expérience (et cette expérience en particulier) au service de ceux que tu vas rencontrer, qui n’auront peut-être pas eu ta force, ou ta détermination.
Quand tu racontes, j’imagine ta joie et ton émotion au moment où on t’a appris que tu étais engagée. Quelle libération tu as dû vivre ! Allez, bon week-end, chère Dédé, je te « Souhaite que le chemin soit long /que nombreux soient les matins d'été, /où (avec quelles délices !) tu pénètreras / dans des ports vus pour la première fois. (Cavafy / Yourcenar)
Coucou ma chère Dad. Qu'elle était haute cette montagne, le Mont-Blanc, à côté, ce n'est rien. ;-) Il a fallu sortir les petits chaussons de grimpe, le baudrier, contrôler toutes les cordes, et les sangles et tout le reste. Et puis commencer à grimper, en s'écorchant les mains et en se cassant les ongles (expériences vécues en vrai) et trouver où mettre les pieds, chercher un appui pour regarder aux alentours, observer la suite, choisir la voie la plus simple, contourner les obstacles, pour finalement arriver au sommet et assister au lever du soleil. Que ce fut difficile. Quand j'ai appris la bonne nouvelle, je suis sortie du bureau un peu comme un automate, j'ai salué la réceptionniste et je me suis retrouvée dans la rue, sans trop comprendre ce qui m'arrivait. Alors je suis allée acheter le journal, pour me calmer. J'avais envie de faire la bise à la personne qui travaillait dans le kiosque. :-))
SupprimerMerci pour les mots de Cavafy. J'espère que ce nouveau voyage me fera entrevoir de beaux paysages. Merci ma chère et bises alpines.
L'éclaircie arrive avec le printemps
RépondreSupprimerdans peu de temps ça va rayonner dans les montagne et dans les coeurs
bises
Coucou mon cher barbu. Une belle éclaircie, entrecoupée de chants joyeux d'oiseaux et de légers nuages moutonnés qui rigolent devant le soleil. J'espère qu'elle va durer dans le temps... ce serait bien quand même car les orages, j'ai donné! Bises alpines.
SupprimerJe sens du courage dans ton texte, fonce !
RépondreSupprimerPlein de courage, mon cher Loulou. Tu as raison. Je fonce et j'évite le mur. :-))
SupprimerJe suis horrifiée par ce qui t'arrive - et arrive à tant de nous. J'ai moi-même été sur le point de me trouver à ta place, j'ai eu la peau d'un des "mauvais" (j'ai agi plus vite) et pour l'autre, c'est la mort qui a eu sa peau à l'usure. Mais quand on lit ces histoires "banales" de complots au travail, on se rend compte que l'homme est loin d'être dépouillé d'une méchanceté profonde. Les tyrans s'exercent à l'école, se perfectionnent au bureau, et continuent leur route. Les courtisans sont presque les plus haïssables car ils n'ont pas l'excuse de cet instinct tyrannique. Ils sont juste des lèche-culs hypocrites...
RépondreSupprimerCourage, beaucoup de courage,et si tu veux me contacter en privé, n'hésite pas (j'imagine que tu as quelque part mon adresse... :) ) Mais surtout ne lâche pas prise : courage. Et dis-toi que tu n'as pas de contrôle sur l'issue de tout ça, et comme on dit "prépare-toi au pire" pour qu'il soit moins pire. Et alors... assieds-toi au bord de l'oued et tu verras passer le cadavre de ton ennemi!
Bises ensoleillées et très affectueuses...
Coucou ma chère. On pense que ce genre d'histoires n'arrivent qu'aux autres et bien paf, dans la figure, sans qu'on puisse se rendre compte de quoi que ce soit. Ce que je décris dans le début du texte est arrivé il y a quelques mois en arrière et j'ai pris le temps d'ingurgiter la chose, de prendre soin de moi et de trouver des solutions. Commencer un nouveau travail, dans les prochains jours, me permettra, je l'espère de reprendre confiance dans le monde du travail, tout en restant sur mes gardes. "Chat échaudé craint l'eau froide", comme on dit.
SupprimerTu as raison quand tu parles des tyrans... ils commencent jeunes et perfectionnent leur stratégie tout au long de leur vie, aussi bien dans leur carrière professionnelle que dans leur vie privée. Je me suis malheureusement retrouvée dans une configuration où je ne pouvais plus rien faire. Avoir des regrets maintenant sur ce que j'aurais dû faire ne sert à rien. J'ai encaissé et tout cela me rend plus forte aujourd'hui mais aussi plus circonspecte. Et pour ce qui est de lâcher prise, et bien, je lâche petit à petit prise sur ma colère et ma rage. Je ne lâche par contre pas prise dans le combat que je mène. Justice devra être faite. Pour arrêter les méthodes de certains personnages tyranniques.
Je l'espère. Profondément. Bises alpines et merci de ton commentaire. Par contre, je n'ai pas ton adresse, mais tu as la mienne. A quelque part sur mon blog sur la droite ("afficher mon profil complet"). Bises alpines.
Bonjour Dédé,
RépondreSupprimerJe suis ravie pour toi que tu sois sortie de cette période difficile. Tu as su aussi trouver dans la nature les parenthèses de calme et de sérénité qu'il te manquait à ces moments là, et c'est très important ça aussi. Bravo pour ton courage et ta persévérence et un grand merci à elle qui a été là quand tu en avais besoin.
Bises et à bientôt.
Coucou Caroline. Je suis sortie mais pas totalement car le combat continue. Mais tu as raison, la nature est si ressourçante et je pense que ce déménagement a été hautement bénéfique, même si l'hiver, dans tous les sens du terme, a été très long. Et la neige n'est pas encore totalement partie. Merci pour ton commentaire qui souligne l'importance de la persévérance. Bises alpines et belle fin de semaine.
SupprimerQuel courage ! L'enfer professionnel je connais. Vous avez fait ce qu'il fallait partir dans vos montagnes vous ressourcer, retrouver ce qui est simple mais aussi important,prendre ou reprendre conscience de la petitesse de l'homme face à Dame nature et de l'absurdité de certains agissements face à la Vie ! Je comprends qu'il vous faut vous battre contre l'injustice et n'oubliez pas la montagne et la nature qui sont là et nous ouvrent leur bras immenses si la force nous manque. Biz Lyne
RépondreSupprimerCoucou Lyne. La nature est apaisante. Elle m'a fait tellement de bien et regarder ces petits oiseaux tout au long de l'hiver m'a permis de comprendre que la fragilité n'est qu'apparente. Et c'est vrai que la Vie est la plus forte, face à des comportements imbéciles. Et je sais que quand le combat sera plus difficile, je pourrai toujours me ressourcer dans la montagne. Merci de ce si joli commentaire et bises alpines.
Supprimertuer autrui, parfois au sens propre, est ignoble, Homo homini lupus est ; c'est pourquoi il est toujours sidérant d'assister à ces grandes manifestations d'amour et de solidarité, pourrait il être "bon", quand même, parfois, au fond ? ou plus probablement mosaïque de bon et de mauvais selon les circonstances ? le monde du travail est d'une grande cruauté, c'est le nouveau théâtre de la lutte pour la vie, avec ses crocs et son sang. Ce qu'il faudrait c'est ne pas s'investir affectivement dans le travail. L'exécuter comme un travail, sans s'identifier à lui, accepter d'être un rouage, le temps qu'on y est. Plus facile à dire qu'à faire, surtout pour les femmes qui sont perfectionnistes.
RépondreSupprimerQuant aux amis... la nature est la ressource ultime, et la tienne est la plus belle qui soit, et il y a les chiens aussi, qui aiment de façon inconditionnelle. Tous mes voeux, chère Dédé !
Coucou Emma. Le monde du travail est effectivement cruel...et tu as raison de dire que c'est le nouveau lieu de luttes dans notre société. Tu as raison de dire aussi qu'il ne faut pas s'investir affectivement dans son travail mais c'est difficile à faire quand c'est un travail que l'on aime. J'aurais au moins appris cette leçon-là pour la suite: ne pas mettre toutes mes billes dans le panier du travail mais les répartir dans d'autres choses.
SupprimerMerci pour ton commentaire touchant. Bises alpines.
Ton billet parlera à beaucoup de personnes, et aussi à moi, tu t'en doutes, toi qui sais à quel point j'ai dû me bagarrer contre une supérieure hiérarchique harcelante et folle...Presque jusqu'au burn-out...
RépondreSupprimerCe qui me met en colère, c'est que ce genre de choses nous est présenté comme une fatalité du monde du travail, un passage obligé. Je sais bien que travail vient de tripalium, mais on est en 2018, et en quoi faudrait-il souffrir pour vivre ?
Je crois qu'au-delà de ton expérience douloureuse, dont tu parles la tête haute avec beaucoup de courage et de dignité, c'est tout un système qu'il faut envoyer valser cul par-dessus tête, avant qu'il ne précipite l'humanité toute entière dans le chaos et la fin...
Ce système, qui fait qu'un 1% des êtres humains détiennent 90% des richesses, et sont les plus gros pollueurs et destructeurs de l'environnement. Le système du Dieu Argent, avec ses grands prêtres les banquiers, et ses victimes expiatoires: le peuple, les petits, les obscurs, les sans grade...
Et contre ce système nous avons un pouvoir individuel très important : celui de se tourner vers des modes de vie plus responsables, plus alternatifs. En refusant de cautionner. C'est ce que j'essaie de faire le plus possible. Même si j'utilise un ordinateur pour le dire, parce que c'est la seule chose de bonne que le progrès a apportée: pouvoir communiquer, et s'informer autrement.
Oui, la nature est notre ressource ultime, il n'y a pas de planète B, et nous devons, pour nos générations futures, enclencher le processus de prise de conscience que nous sommes déjà au bord du gouffre. C'est un devoir de fourmi, de colibri, un devoir absolu de survie, pas après pas.
Merci de m'avoir laissé exprimer ce que j'ai dans le coeur (et encore, je me suis un peu restreinte, il y aurait tant à dire!)
Bisous de coeur, ma frangine
¸¸.•*¨*• ☆✮✯✰
Coucou Célestine.
SupprimerJ'ai pu lire dans tes lignes sur ton blog tes déboires professionnels et ta remise en question. Malheureusement, le monde du travail reste, à l'heure actuelle, un monde de requins où certaines détiennent le pouvoir et le font sentir aux autres. Il existe des patrons bienveillants, soucieux du bien-être de leurs collaborateurs, prenant des décisions justes et éthiques. Heureusement. Mais le monde du travail fait surgir des êtres abjects, assoiffés de pouvoir, ne supportant pas la critique pourtant objective et ils se permettent des choses ignobles, sous couvert de leur position hiérarchique dominante. Cela ne veut pas dire qu'il faut s'en accommoder. Au contraire.
Dans le panel de mes valeurs, j'ai grande soif de justice. Dans tous les domaines. Et c'est pour ce que je me bats à l'heure actuelle, non seulement pour faire valoir mes droits mais aussi pour déconstruire des agissements considérés par beaucoup comme normaux. J'ai remarqué que dans ce combat, les gens qui ont peur s'éloignent de moi. Cela m'a fait mal au début, puis j'en ai pris acte. C'est ainsi.
Quant au mode de vie alternatif, cette expérience douloureuse m'a au moins permis ceci: le recentrement sur soi, reprendre des activités que j'avais laissées de côté et entreprendre de nouvelles choses. Et je me suis épatée de mes ressources. Et je continuerai ce combat, plus forte. Car il y a vraiment des choses à changer dans notre société. Et je suis persuadée que j'ai une carte à jouer, elle concerne certes ma petite vie mais elle peut amener des changements pour d'autres et surtout faire rétablir la justice. J'y crois.
Merci de ton témoignage et de la force avec laquelle tu écris les choses, ce qui fait de toi un être bienveillant, conscient et soucieux du bien-être des autres et de la planète tout entière. Bises alpines et belle fin de semaine frangine.
Merci pour cette belle réponse, Dédé.
Supprimerj'y crois, et je crois que tu sais pourquoi j'y crois avec cette force...C'est sans doute à cause d'un certain petit profil sur une photo en noir et blanc...
¸¸.•*¨*• ☆
Alors on y croit ensemble ma belle. Bisous.
SupprimerBonjour Dédé , magnifique texte et tellement vrai , la société actuelle où tu vas à 100 à l'heure ne permet aucun vrai recul , du résultat , toujours du résultat pour plus de profil ..... l'étre humain n'est devenu qu'un objet au fil du temps .... parfois de la déconnection ferait un bien fou mais hélas on peu pas toujours ..... , merci à toi pour cette superbe photo prise depuis l'Aiguille du midi , je me rappelle c'était mes premières vacances en solo en 2008 du côté d'Evian , ne cherche pas de photos à l'époque c'était mon tout premier appareil , un compact tout pourri mdrrrr , bonne journée à toi , amitié d'Auvergne
RépondreSupprimerCoucou Steph. Mais l'être humain peut changer, à son niveau, certaines choses, et dénoncer cette société mercantile, qui achète, utilise et jette. Je crois que toute personne a le pouvoir, si elle s'en donne quelque peu les moyens (pas forcément matériels) de trouver des ressources ailleurs, de profiter (dans le bon sens du terme) de la nature et de construire un monde un peu différent.
SupprimerMerci pour ton compliment concernant la photo, elle me paraissait bien illustrer les aléas de ma vie, la lutte pour surmonter les obstacles et l'arrivée au sommet. Bises alpines et belle fin de semaine.
Que de souvenirs tu fais remonter dans ma mémoire... Trois années de combat obstiné face à un mur, de résistance aux défaitistes, ceux qui te conseillent de baisser les bras, et la tête, de subir en silence, de tourner la page sur l'injustice, l'humiliation, qui te disent que le pot de terre n'a aucune chance contre le pot de fer... Serrer les poings, ne rien lâcher, garder la tête et le cœur hauts, et malgré les jours où on a presque envie de se brancher directement sur la prise de courant pour recharger ses accus, se convaincre que personne ne peut jamais humilier, attraper ou briser quelqu'un qui sait rêver, qui ose rêver. Et agir. Parce qu'un jour, en dépit de toute sa suffisance, son arrogance, son sentiment d'impunité, le mur tombe. Et l'horizon s'éclaire.
RépondreSupprimerOui, tu es courageuse, sublime et courageuse, et les lâches n'ont qu'à bien se tenir.
Bises qui t'accompagnent ♥
Coucou. Merci pour ton témoignage. J'ai souri quand tu dis que tu avais envie de recharger la batterie directement sur la prise de courant. Attention quand même. :-) Mais ce que tu dis sur le fait que personne ne peut nous humilier, c'est tellement vrai. Cela me rappelle les années d'emprisonnement de Mandela qui disait que même au plus profond de sa prison, il se sentait libre. J'espère bien que l'horizon s'éclaire. Il commence déjà à le faire. Et que justice soit faite... et que ceux qui se croient au-dessus des lois soient remis à l'ordre. Merci ma belle pour tes mots et tes encouragements. Et oui, les lâches peuvent aller se cacher! On les aura!!!
SupprimerL'étape nouvelle qui s'ouvre est ta vraie victoire…
RépondreSupprimerMerci Alain, c'est tellement vrai et cette étape s'annonce sous les meilleurs auspices. J'y crois! Merci de la visite.
SupprimerLa montagne est là, belle qui appelle et redonne le courage d'avancer même si les pas sont durs...
RépondreSupprimerCoucou Marie. Les montagnes sont ma force, la nature, les oiseaux, les fleurs, les toutes petites choses de la vie, et la famille, les amis proches. Merci. Les pas sont moins difficiles ainsi.
SupprimerOh Dédé, c'est fou tout ça, que d'épreuves, sache que je suis avec toi de tout coeur, surtout n'oublie pas que lorsque qu'une porte se ferme une autre s'ouvre! Bon courage à travers tout cela, je te serre tout fort dans mes bras, de gros bisous! Tendrement, Maria-Lina
RépondreSupprimerCoucou ma belle. Tu sais, (je sais que tu sais), les épreuves nous rendent plus fort et finalement, ce n'était "qu'un" travail. Et tu as cette belle expression, "une porte se ferme, une autre s'ouvre". C'est tellement vrai. Il faut juste que la distance entre les deux portes ne soit pas trop longue. Merci pour ton commentaire affectueux et je t'embrasse aussi. Passe une belle fin de semaine dans ton beau pays.
Supprimerplus haut , plus fort! même dans les métiers d'art, il y a des problèmes d'existence, des jalousies, des critiques faciles, si tu n'est pas dans l'air du temps...tu es vite exclu... je te souhaite du courage dans la continuation de ta lutte pour et une justice valable...avec mon wifi de 3ème catégorie ..au sud fait frisquet et je t'embrasse...
RépondreSupprimerCoucou Elfi. Oh oui, même dans les métiers d'art. J'entendais une professeur de violoncelle qui arrivait à la retraite et qui se plaignait de voir ce qu'était devenu le conservatoire: course à la performance, professeurs qui se tirent dans les pattes pour avoir les meilleurs élèves, direction peu à l'écoute des besoins des professeurs et élèves, etc. Le monde du travail est tellement difficile. Heureusement, il n'y a pas que cela. Il y a nos blogs, (qui nous apportent tellement), nos amis, la famille, et tout le reste. Et notre humour aussi. Quant à la connexion wifi, je t'imagine en train de pédaler. :-)) Bises alpines.
SupprimerCoucou chère Dédé, je suis très heureuse pour toi, tu vois certainement l'avenir d'une autre façon après tout ce que tu as subi. L'injustice fait beaucoup de mal mais tu as eu la force de ne pas lâcher prise. Tu es forte et courageuse. Je suis très touchée par ton texte. Il est temps que tu respires. Accroche toi aux belles choses que la nature nous offre... et oui, je sais que tu le fais et tes petits oiseaux sont là pour te chanter de belles mélodies. Ta photo est de toute beauté et nous montre que dans la vie on peut aller plus haut.
RépondreSupprimerIl y a quelques années, j'étais dans le même cas que toi mais différemment. J'ai été victime de mobbing sans m'en rendre compte tout de suite (c'est un comble), c'était insidieux. Ensuite, chômage, malade et comme toi, je n'osais plus sortir. Donc, je comprends très bien ce que tu as vécu.
Je suis de tout coeur avec toi pour une belle et riche vie professionnelle et familiale.
Gros bisous ♥
Coucou chère dame du bout du lac. ;-)
SupprimerOui, je vois l'avenir autrement, un peu plus sereine qu'il y a quelques mois en arrière et je regarde le chemin parcouru avec une petite fierté. Fière d'en être arrivée là et d'avoir tenu bon. La nature y est pour quelque chose, elle que j'ai observé pendant ces longs mois. Et maintenant avec le printemps qui pointe le bout de son nez, tout cela prend une dimension de renouveau, dans tous les sens du terme. L'histoire que tu racontes confirme que le monde du travail est un monde de luttes, de pouvoir. Il y a ceux qui ont le pouvoir et ceux qui subissent. Mais j'ose espérer qu'il y a encore des domaines et de lieux de travail où les choses sont différentes. Je verrai bien. Merci pour ton témoignage et ta confiance. Bises alpines et belle fin de semaine. Et merci pour tes voeux.
Tout le monde n'a pas cette capacité à affronter avec courage une situation aussi violente. Mais vous savez donner du sens à ce que vous vivez. A très vite.
RépondreSupprimerBonjour. Je crois que mes parents m'ont inculqué la ténacité et le courage, en toutes circonstances. Merci de la visite et gentil commentaire. A bientôt et bises alpines.
SupprimerJe n'ai quasiment jamais connu ce monde du travail salarié où on a un chef au-dessus de soi, où il faut rendre des comptes, où on devient citron pressé, acculé aux directives d'une entreprise qui en veut toujours plus, où on est jugé par sa rentabilité etc... etc...
RépondreSupprimerMais je connais un peu par mon pari qui fut obligé de s'arrêter plus tôt et de perdre des mois de retraite car il risquait d'y laisser la peau.
Je te souhaite bon courage pour repartir dans le bon sens et je trouve que tu as raison de te défendre si l'injustice est flagrante. On connaît tous l'histoire du pot de fer contre le pot de terre !!!
Coucou Martine. Devoir s'arrêter avant de risquer sa peau, c'est quand même fort et cela démontre bien la cruauté de certains milieux professionnels. J'espère que maintenant tout se passe bien pour son mari et qu'il profite à fond des plaisirs quotidiens.
SupprimerRassure-toi, je repars dans le bon sens et je suis bien décidée à ne plus me laisser marcher sur les pieds. Et on verra ce qui se passera. Bises alpines et merci de ta visite.
Bonsoir Dédé, magnifique photo... ah ce Majestueux Mont Blanc, je l'ai fait et il m'a bien souvent donné du courage pour l'après
RépondreSupprimerJ'ai connu une situation identique, et depuis 5 ans j'attends que la justice se prononce...
Je n'ai jamais décrire mes émotions comme toi, et mon corps l'a payé.
Ce monde du travail est cruel, je n'ai jamais compris la méchanceté de certains ou certaines, et je ne la comprends toujours pas.
Pour moi, la nature ne ment pas. bon courage dans ce nouveau travail, toutes les sociétés ne se ressemblent pas. bisous milles soleils. namasté
Bonjour "anonyme". C'est un peu dommage de ne pas signer le commentaire non? ;-)
SupprimerAttendre 5 ans pour que justice se fasse, c'est quand même long. J'espère que les choses vont aller du bon côté et que cela permettra de réparer. Sincèrement.
Et oui, la nature ne ment pas, elle donne sans compter et se ressourcer devant un beau paysage, (le Mont-Blanc) est toujours bon à prendre. Belle fin de semaine.
Glaçant, ce climat sournois de harcèlement au travail.
RépondreSupprimerIl faut être fort comme un roc pour l’affronter.
Coucou Miss. Oui, "glaçant" est un terme qui convient très bien. Et beaucoup de gens sont givrés...
SupprimerJe crois que je suis assez forte mais j'ai dû m'endurcir... ce qui n'a pas été simple. Merci de ta visite et bises alpines.
Merci de ton passage à propos de Danirl Saint (réponse sur mon blog)
SupprimerBravo,et courage encore, tu y es presque !
RépondreSupprimer* * *
Relevant la tête
l’œil vissé sur le Mont Blanc
cap fermement tenu vers la réparation
...
lumière
ce fut comme le printemps
et bientôt l'air d'été.
Coucou Mister K. Le printemps et ensuite l'été. La valse des saisons mais aussi l'avancement pour obtenir réparation. Que justice soit faite. Merci de la visite et de tes mots.
Supprimerque te dire si ce n est que je suis de tout cœur avec toi... j espère que tu nous reviendras bien vite cela signifiera que tout va mieux...bon courage mon amie à tout bientôt j espère
RépondreSupprimerCoucou Chris. Merci de tes mots et du soutien. Je reviendrai, ne t'en fais pas et cela va déjà mieux puisque je commence un nouveau travail. J'espère que les choses se passeront bien. Bises alpines et à bientôt.
SupprimerCoucou ma Dédé !
RépondreSupprimerJe suis sûre ce cela t'a fait du bien au coeur et à l'âme que d'écrire ce texte.
Je te souhaite le meilleur maintenant.
Et encore du courage pour la suite et la fin de tes tourments.
Gros bisous et à bientôt !
Hello Claude. Tu as raison, c'était un peu un acte symbolique pour extérioriser les choses que je gardais beaucoup à l'intérieur. C'est vrai que je me suis sentie bien mieux après l'avoir écrit. Plus sereine et plus calme. On verra ce que l'avenir me réserve mais je me concentre maintenant sur lundi. Merci de ta visite et bises alpines mon amie.
SupprimerJe ne connaissais pas votre histoire mais vous manifestez du courage et de la résilience et j'espère que le chant du merle annoncera pour vous la fin des tourments et la victoire sur la malveillance
RépondreSupprimerCoucou le cascadeur. On se dit "tu"? C'est plus facile. :-)
SupprimerMon histoire n'est pas unique, il a tellement de gens qui souffrent dans le monde du travail et qui n'arrivent pas à trouver une porte de sortie honorable. Il faut se battre et s'en donner les moyens. J'ai sans doute de la chance d'être bien entourée. C'est précieux. Bises alpines.
P.S. Le merle babille, c'est de bonne augure.
Bonjour Dédé,
RépondreSupprimerC'est affreux ce qui t'es arrivé!
Tu es courageuse de relever ce défi.
Je croise les doigts pour toi et de fais un gros bisou encourageant (j'espère).
Mo
Coucou Mo. Courageuse, c'est le terme mais pas téméraire. Je calcule les risques et j'avance à petits pas. Merci de croiser les doigts mais pas trop quand même car tu ne vas pas pouvoir faire tous les travaux dans le jardin! ;-) Bises alpines.
SupprimerLorsque je te lis, lorsque je lis d'autres témoignages, lorsque j'écoute des personnes que je connais (certaines ont frôlé le burn-out à cause d'un problème similaire au tien), je mesure la chance que j'ai eue de travailler chez moi, et de n'avoir (presque) pas de comptes à rendre. Je ne sais pas comment j'aurais réagi à ta place, je crois que je me serais effondrée. J'admire ton courage et ta ténacité, Dédé. Tu as eu raison de ces vilaines personnes. J'en suis heureuse pour toi. Et je souhaite que tout se passe bien dans ton nouveau travail (que fais-tu ?).
RépondreSupprimerJe te souhaite un bon week-end, et je t'embrasse.
Coucou Françoise. Tu as eu de la chance oui. Je me suis effondrée à un moment mais j'ai heureusement trouvé de la force et de l'énergie au fond de moi pour me battre, pour faire rétablir la justice. J'espère juste ne pas m'épuiser dans cette bataille juridique. L'avenir s'annonce en tous les cas plus radieux mais il va falloir crocher. Quant à mon nouveau job, j'en parlerai plus tard. Bises alpines.
Supprimertout se mérite et particulièrement cette ascension pour découvrir ce monde merveilleux ...comme dans la vie d'ailleurs.
RépondreSupprimerRegarder le monde d'en haut et apprécier les beautés de la montagne. Surmonter les obstacles.
SupprimerUn vaste programme.
La vie, c'est comme un livre avec plein de chapitres et de pages. Pour connaître la suite de l'histoire, faut tourner la page.
RépondreSupprimerTourne-la vite, ne regarde pas trop en arrière; suis sûre que cela vaut le coup.
Te souhaite force et courage pour la suite de l'aventure.
Amicalement
Coucou Anne. Je ne regarde en arrière que pour me rappeler ce qui n'est pas allé et cela pour préparer ma défense. C'est nécessaire. Mais je tourne gentiment la page. Merci pour ton commentaire et bises alpines.
SupprimerLa vie est faite de difficiles épreuves qui nous forgent quelque part et dont on peut tirer plein de leçons. Après de telles violences vient le réconfort. Je te souhaite des jours remplis de lumière !!
RépondreSupprimerMerci Daniel pour ce commentaire. Le réconfort arrive gentiment, je lui laisse un peu de place. Bises alpines presque printanières.
SupprimerBonjour
RépondreSupprimerC'est une épreuve douloureuse que celle-ci! Surtout quand cela arrive injustement...
Dans notre réfectoire, ils nous on posté un lettre disant qu'à cause de la loi Macron, les employés seront moins soutenus et qu'il faut se battre contre cela. En gros, c'est l'employeur qui a toujours raison même si ce n'est pas le cas...
Je te souhaite beaucoup de courage et t'envoies toutes mes ondes positives!
Bisous
Coucou la Louve. Le monde du travail est devenu un monde de luttes, de pouvoir mais également un endroit où il faut constamment faire valoir ses droits et conserver ses acquis sociaux. Je te souhaite aussi beaucoup de courage. Bises alpines.
Supprimer"La justice devient de plus en plus réservée aux nantis. Les autres n'ont même plus les moyens d'ouvrir une procédure pour se défendre vu les coûts engendrés. Et c'est le même problème avec les personnes morales: les plus grosses boites peuvent sans difficultés et avec des ressources colossales faire durer et compliquer les procédures pour que les autres renoncent..." J'ai lu ca quelque part et c'est ce qui m'est arrivé...Résultat: j'ai peut être gagné à quelque part, mais j'ai pas mal perdu en temps, amis, sérénité et beaucoup d'argent, et arrive un moment ou on a qu'une envie, que cela s'arrête pour sauver son âme, et sauter sur le GR34 ou il est plus facile de lutter contre les humeurs de l'océan que contre la froideur des humains. D'ailleurs, faut que j'y retourne, j'ai pas fini de m'aérer l'esprit !! Et pour moi ce sera les cris de goélands. A bientot Dédé et bonne route !
RépondreSupprimerCoucou Claude. A quelque part, tu as raison. La justice est réservée aux nantis, malheureusement. Mais il y a les syndicats qui peuvent bien aider. Mais je comprends ce que tu dis. Je me rends compte que garder la colère au fond de moi ne sert à rien. Il vaut mieux que j'utilise cette énergie à autre chose. Mais les premiers temps, la colère était sourde, là tout au fond. Il a fallu vivre avec et l'apprivoiser. Maintenant ce n'est plus de la colère mais l'énergie pour que mes droits soient reconnus. Il y a quand même des patrons qui se permettent n'importe quoi...
SupprimerAlors si tu sautes sur le GR34, tu salueras Jonathan le Goéland de ma part. Profite bien et merci de ton commentaire. Bises alpines du dimanche soir.
En somme c'est une bonne nouvelle pour toi. Il y a pas mal de temps que je pense à t'écrire, mais chez moi les peines succèdent aux soucis et depuis le début de l'année je n'ai guère eu de tranquillité d'esprit. Néanmoins c'est promis, je vais t'envoyer un mot d'ici quelques jours.
RépondreSupprimerBonne chance et bonne route sur le nouveau chemin qui s'ouvre devant toi, bises et à bientôt
Coucou ma chère Tilia. Oui, c'est une bonne nouvelle. Sincèrement, j'espère que tes peines ne sont pas trop lourdes. Prends bien soin de toi et ne te stresse pas pour le mail. Merci de ton gentil commentaire et bises alpines.
SupprimerBonjour Dédé,
RépondreSupprimerJe savais tes problèmes et cette sale histoire. Je suis très contente pour toi de ce renouveau. Tu vas partir dans une nouvelle aventure. Certes, la peine, la souffrance ne peuvent s'effacer. On dit bien que tout ce qui ne fait pas mourir nous rend plus fort !!!! Oui, tu es courageuse et je te souhaite de tout mon coeur le Bonheur que tu mérites.
Un gros gros bisou
Coucou Elisa. Les épreuves forgent le caractère et rendent effectivement plus fort, à condition que l'on garde la tête haute, que l'on sache s'écouter et qu'on fasse les choses petit à petit. Merci de ton commentaire et de ton soutien et gros bisous aussi à toi et à toute la famille! ;-)
Supprimer"Histoire" dans ton titre n'a pas le même sens suivi d'un nom ou suivi d'un verbe... J'aime beaucoup le coté dynamique et volontaire que cela suggère. Certaines choses sont difficiles à subir, parfois même si ce sont des choses à priori agréables comme un changement pour un mieux en perspective. Mais on subit puis on maîtrise.
RépondreSupprimer"... en l’espace d’une semaine, tout bascule. On a cru en vous et vous allez pouvoir remettre le pied dans le monde professionnel pour relever de nouveaux défis." Ces quelques lignes marquent la césure vers un nouveau destin, un nouvel envol...
Félicitations à toi pour ta gestion des événements et courage pour finir ce qui est commencé. Tous mes voeux de réussitte et de bonheur !
Gros poutous de printemps (les oiseaux sont dérangés par ma présence dans le jardin, ils ne viennent plus quand j'y suis mais cela ne les empêche pas de chanter)
Coucou ma belle. J'ai joué avec le terme "HISTOIRE". Je trouvais que c'était approprié. Continuer à vivre malgré les coups durs, croire en sa valeur et avancer. Voilà ce que j'ai fait ces derniers mois. Difficilement certains jours mais toujours avec l'espoir que les choses évoluent dans le bon sens. Je suis arrivée à une nouvelle étape. J'espère que tout ira bien. Merci de la visite et salutations aux petits oiseaux guillerets. Bises de plaine.
SupprimerDe tout coeur avec toi, dans l'épreuve comme dans la renaissance. Je crois au printemps. Au tien, au mien, à celui de ceux qu'on aime... A bientôt, Dédé.
RépondreSupprimerJe crois en ton printemps aussi. Il sera beau et rempli de chants d'oiseaux et de délicates fragrances. Bises alpines et merci de la visite.
SupprimerBonjour, ça m'est arrivé, je maudis encore aujourd'hui ce mécréant qui m'a fait ça ;) je te souhaite une bonne journée, bisous et à bientôt
RépondreSupprimerCoucou Francine. "mécréant", c'est le bon mot! Bises alpines.
SupprimerJ'espère de tout coeur que tu obtiendras réparation, car c'est ça dont il s'agit, se réparer...
RépondreSupprimerEt je crois que le printemps qui arrive est plein de petites réparations du coeur, aussi.
Et en attendant il fait du bien aux yeux...
Pensées douces.
Coucou. Les petites réparations du coeur sont les plus importantes dans un premier temps. Pour le reste j'attends que les choses avancent mais en Suisse on est lent! Bises alpines et merci de la visite.
Supprimerbonjour belle montagnarde, j espère que le printemps est monté jusque chez toi... bonne journée
RépondreSupprimerIl est arrivé effectivement. Et de manière un peu abrupte. La semaine passée, le temps était presque hivernale encore et tout d'un coup, les températures ont pris l'ascenseur. La neige fond allègrement. Bises alpines.
SupprimerBonjour
RépondreSupprimerJ'espère que tu profites d beau temps pour te balader!
Bisous
Coucou. Pas trop le temps de me balader. Malheureusement. Bises alpines.
SupprimerTa photo est splendide et ton histoire incroyablement douloureuse, heureusement que la roue tourne et j'en suis heureuse pour toi :)
RépondreSupprimerBonne chance Dédé et @bientôt !
Coucou. Oui. La roue tourne et en plus dans le bon sens. C'est bien. Merci de la visite et bises alpines.
SupprimerSemaine après semaine, je devinais à travers tes mots les manifestations tout aussi vives que pudiques d'une profonde blessure. Je sentais celles aussi d'un combat sourd contre des forces qui te dépassaient. Aujourd'hui, avec ce billet, tout s'éclaire. Et que tu puisses en parler en clair est une première victoire. D'abord parce que tu as dépassé le cap de la honte, lequel je peux le supposer facilement ne manque pas de nous gagner quand on est "débarqué" de son boulot. Ensuite, parce que ici les blessures se partagent sans cérémonie, les nombreux et chaleureux commentaires en témoignent.
RépondreSupprimerL'embarquement pour de nouvelles aventures est imminent. Les batailles rendent plus fort et nous transforment, mais ne change surtout rien à ce que tu es pour une poignée de malfaisants (connards serait plus justement le mot que j'ai en bouche) pour désigner ces gens qui ont tenté gratuitement de te détruire. Dans tous les cas, tu en sors grandie, forte d'un nouvel enseignement, celui de ne plus jamais négliger le pépiement des mésanges ! Amitiés et bises ... universelles !
Coucou et merci pour ce message très touchant qui m'a tiré les larmes. Oui, je ressors grandie mais aussi avec la crainte de tomber à nouveau sur de telles crapules. Je ne l'espère pas. En tous les cas, je suis fermement décidée à me battre pour que justice soit faite et que ces gens paient pour ce qu'ils m'ont fait. Et pour ce qui est des mésanges, ma petite copine qui est venue me rendre visite tout l'hiver est encore là dans la mangeoire. Elle me fait sourire et respirer ce bon air de printemps qui est là. Bises alpines et merci!
SupprimerBonjour Dédé,
RépondreSupprimerCette page de vie que vous décrivez là est marquante, pour vous, pour vos lecteurs, et pour votre entourage, assurément. Ce que l'on peut apprécier, de prime abord, c'est la clarté du récit de vos infortunes, sous une lumière froide et dépassionnée. Ensuite, bien sûr, c'est cet entourage qui est là, et qui vous procure des joies, qui vous apporte une relative sérénité, et qui vous permet de mettre à distance cet ignoble geste. Je souhaite que ce nouveau début soit la promesse de bien des satisfactions.
Au revoir Dédé, et prenez bien soin de vous :-)
Bonjour Monsieur aux grandes oreilles. Je me demandais bien où vous étiez passé! Mais vous êtes là avec ce message rassurant et serein. Ce début est plein de promesses, de découvertes, de joie mais de stress aussi. Mais c'est ainsi quand on commence quelque chose de nouveau. En tous les cas, un chapitre se clôt et une nouvelle page s'écrit. En route pour de nouvelles aventures. Bises alpines et salutations à vos grandes oreilles.
SupprimerHej! La première semaine se termine! Super! Te voilà le pied à l'étrier! Profite bien de ce week-end qui arrive et que tu as pleinement mérité!
RépondreSupprimerCoucou ma chère. Je suis un peu sur les rotules mais ça va. Bises alpines.
Supprimerbonsoir Dédé , ton cliché est magnifique ! la neige j'ai été la voir ... et là je rève encore ! merci pour ton texte - récit passionnant
RépondreSupprimergros bisous belle fin de semaine a+ on rentre ce weekend ... merci pour tes coms amicalement
Passionnant? Je ne sais pas si c'est le bon terme. Mais récit véridique c'est sûr. Bises
SupprimerEn allant à la montagne
RépondreSupprimeren t'ouvrant à sa lumière et à sa force
te voila prête à remonter le courant avec courage
a reprendre à bras le corps cette nouvelle vie qui s'offre à toi
en combattant pour un monde plus juste et plus serein.
Mes pensées amicales t'accompagnent
Coucou le poète. Combattre pour un monde plus juste. Oui. Mais savoir aussi se préserver. C'est essentiel. Bises alpines.
SupprimerJe pense que c'est une histoire vécue, c'est épouvantable d'être banni de la sorte, sans ménagement, cruellement, comme si tu étais une chose sans importance, c'est criminel...
RépondreSupprimerLa nature est une force, elle nous insuffle jour après jour le courage dont nous avons besoin et nous aide à oublier les laideurs
j'ai vu des pastels magnifiques hier, de nos Pyrénées qui inspirent comme ta montagne aussi tant d'artistes de notre région, je vais chercher pour toi un belle reproduction de cette pastelliste, ta photo est extraordinaire est extraordinaire Dédé
Je t'embrasse
C'est une histoire vécue. Sans fioritures. Mais incroyabbleme vraie et je ne la souhaite à personne. Car elle laisse des cicatrices. Merci de ton gentil commentaire Marine et bises alpines.
SupprimerIncroyablement. Faute de frappe!
SupprimerBonjour Dédé, chacun de nous peut vivre ce genre de situation (ou alors certains le vivent), je ne sais pas si la Nature peut aider à se transformer et surtout au delà de soi même...Pour ma part la réflexion est de mise, car comme on le sait tous les profits et les intérêts priment, du moins c'est ma vision. La Nature donne sans rien attendre, et l'Humain fait partie d'Elle. Prends soin de toi et à très bientôt !
RépondreSupprimerCoucou Jean-Pierre. Les êtres humains n'ont parfois rien d'humain...c'eet ma conclusion. Merci de la visite et de tes encouragements. Bises alpines.
SupprimerIl est arrivé exactement la même chose à mon gendre. Sa patronne trouvait qu'il lui revenait trop cher et voulait embaucher un jeune débutant pour le payer moins, elle a donc inventé une "faute grave" pour le licencier un beau matin alors qu'il arrivait sans se douter de rien au boulot, s'étant levé comme d'habitude à 6h. Mais il s'est chèrement défendu et a obtenu de l'aide, notamment de la secrétaire de la boîte pour contre-attaquer sa patronne et la faire plier, de manière à obtenir de partir avec d'importantes indemnités et ainsi pouvoir se refaire une place. Hélas, licencié à la Toussaint il ne l'a pas encore trouvée cette nouvelle place.
RépondreSupprimerBonjour Martine et bienvenue ici. Il faut du temps pour se reconstruire et même si on touche des indemnités pour fort moral, on reste marqué d'une telle expérience. J'espère qu'il retrouvera du job! Et confiance en lui. Bises alpines et merci de la visite.
SupprimerUne épopée comme on ne voudrait pas en connaître. Mais "la montagne est belle" et tout peut se reconstruire...
RépondreSupprimerÉpopée tragique. Digne des grands auteurs grecs...suite au prochain épisode. La reconstruction (déjà entamée) et la réparation. Merci de la visite dominicale.
SupprimerBonjour Dédé
RépondreSupprimerJ'ai connu un tel choc, il y a longtemps, très longtemps... Un épisode douloureux où tous les coups de la partie adverse sont permis y compris la pression sur les collaborateurs pour qu'ils n'hésitent pas à faire de faux témoignages qui pèsent lourds au tribunal des Prudhommes. Et puis, c'est trop souvent l'occasion de vérifier le théorème de Murphy dans sa partie négative où toutes les tuiles vous tombent sur la tête. Heureusement dans l'épreuve, il y a la famille, les amis et ... la montagne. Ils et Elle m'ont aidé à survivre à la série noire (qui a duré quand même deux années), elle t'aide (tu l'as écrit dans un commentaire). Et puis le temps passe, la chance revient, Murphy vous sourit et vous offre son positif où tout s'enchaîne et se passe mieux qu'on pourrait l'imaginer, la vie repart sous un ciel clément. C'est enroute pour toi !
Bises savoyardes
Coucou mon cher Savoyard. On met du temps à se remettre de telles épreuves et je me demande si on s'en remet complètement. Heureusement que les proches sont là ainsi que la nature, pour faire passer la pilule et penser à autre chose, même si parfois c'est vraiment difficile à vivre. Je comprends bien quand tu dis que tous les coups bas sont permis. C'est aussi le cas dans mon affaire. C'est hallucinant de voir l'outrecuidance de ces gens. J'espère sincèrement que la justice va les stopper. Merci de ton témoignage et commentaire encourageant et prenons soin de nous! Bises alpines.
Supprimerpetit coucou à la montagnarde... bonne fin de soirée
RépondreSupprimerCoucou ma chère. Bises alpines et belle semaine!
SupprimerÊtre-là simplement et écouter le cœur qui souffre en espérant qu'il puisse remonter à la source, sur les sommets qui sont les siens et qui transcendent.
RépondreSupprimerÊtre-là simplement et bien amicalement.
C'est déjà tellement d'être là. Merci! Bises alpines et belle semaine.
Supprimerplein de pensées positives pour toi.
RépondreSupprimerje t'embrasse
Merci Eki! A toi aussi, une très belle semaine! Bises alpines.
SupprimerLire, écouter ta souffrance dans les épreuves professionnelles chère Dédé si courageuse, la comprendre, se souvenir de toutes ces griffures qui marquent, qui blessent tant profondément, mais qui finissent par s'oublier, avec le temps.... pour toi également le bout du tunnel s'avance hardiment .... bravo ... tu es grande et forte et tu as redressé la barre... ! l'avenir est pour toi plein de sOleils et de lumières, n'en doute jamais.
RépondreSupprimerBisou amical ma belle d'Âme !
Coucou ma chère poétesse provençale. Le bout du tunnel me semble tout proche même si les épreuves ne sont pas terminées et que le traitement du dossier traîne en longueur. Néanmoins, je rencontre ces jours-ci des gens sympas qui me redonnent foi quelque peu en notre humanité. Merci pour ton message ensoleillé et bises alpines.
SupprimerJe suis fascinée par ton image, par ces sommets enveloppés de neige et de nuages. Et ce bout d'échelle comme un clin d'oeil malicieux que nous pouvons interpréter à notre guise. Bravo pour cela et bravo d'avoir retrouvé ta joie de vivre ♥♥♥
RépondreSupprimerTu as eu le "courage des oiseaux en hiver" et tu as retrouvé ton printemps. C'est l'essentiel !!!
Coucou Fifi, reine des photos. Oui, parfois j'étais une toute petite mésange transie par le froid mais j'ai toujours trouvé un endroit chaud et accueillant pour me refaire. Le printemps est flamboyant ici et c'est beau. Je respire à plein poumons. Je t'embrasse et à bientôt. Merci!
SupprimerPartir,partir... On ne part jamais sans oublier les lieux que l'on a aimés, où l'on a vécu.
RépondreSupprimerLe déchirement reste même si la vie continue. Car elle continue, elle ne se refait jamais.
Dans ma courte vie, j'ai été déraciné 5 fois. J'ai toujours repris là où la terre voulait bien de moi.
Le renouveau est moins facile en prenant de l'age, mais il nous enrichit toujours.
De tout cœur avec toi.
Coucou. Je suis partie pour le meilleur finalement. Donc je ne regrette rien et même si les souvenir du passé m'émeuvent souvent, je me sens mieux maintenant. Bises alpines.
SupprimerUn coucou en passant chère Dédé
RépondreSupprimerJ'espère que tu vas bien ; je t'envoie mes amicales pensées ; gros bisous
Coucou Chris. Je vais bien, je cours juste comme une hélice, ce qui fait que je brasse pas mal d'air. :-)) Bises alpines.
Supprimerbonjour Dédé , je regarde toutes tes photos de tes articles et c'est un pur régal, car moi la neige j'aime ++++++++ ! merci pour tes visites et coms et ... gros bisous belle semaine a +
RépondreSupprimerCoucou l'enthousiaste. J'aime bien la neige aussi mais quand elle tombe au mois de mai un peu moins. Brrrrrr. :-) Bises alpines et belle semaine.
Supprimerhi hi moi j'aime la neige en photos tout le temps hi hi gros bisous a + merci !!!
Supprimerbonsoir Dédé , oui moi je me régale à revoir toutes tes photos de tes articles ... qui sont magnifiques !!!! merci gros bisous belle fin de semaine a + +
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