Rêver d’un autre ailleurs quand la fatigue quotidienne
s’accumule. Et décider, sur un coup de tête, de boucler rapidement sa valise
afin de franchir la barrière des Alpes.
Au sommet du col alpin, la neige règne encore en maîtresse,
même si le vent chaud du Sud, soufflant en rafales depuis quelques jours, a
provoqué une fonte accélérée du manteau neigeux. En continuant la route pour
descendre plus bas dans la vallée, un autre monde s’offre à moi, baigné par une
douceur toute italienne. Et soudain, après un dernier virage dans ce voyage
inattendu, une nappe d’eau grandiose surgit dans un décor magique : le lac
Majeur s’étale sous mes yeux émerveillés.
Lestées de leurs neiges éternelles, les Alpes valaisannes
dessinent un liseré blanc à l'horizon. Les 4000 mètres ne sont pas très
éloignés mais, au bord de l’eau, règne une douce atmosphère qui contraste
singulièrement avec les paysages alpins. Les colosses couverts de glace se
taisent, conscients qu’ici, ils ne sont plus maîtres du spectacle mais simples
figurants.
A la naissance du monde, un peintre romantique a créé un tableau
sublime en posant sur la toile du lac les trois îles Borromées. Entre la rigueur
des sommets suisses et la douceur d'Italie, Isola Madre, Isola Bella et Isola
Superiore s’offrent ainsi avec faste aux yeux ravis des voyageurs.
Le palais de Isola Bella surgit fièrement au-dessus des
flots, gardien de pierre orgueilleux. Au printemps et en été, ses jardins
luxuriants et colorés embaument l’air avec leurs allées plantées de bambous et
de bananiers, eux-mêmes cernés par des camélias, des azalées et des
rhododendrons. Les citronniers côtoient les buissons de roses et les lauriers
en fleur éclairent les buis taillés à la française dans un jardin baroque
unique. Au soleil couchant, l’opéra des audacieuses sculptures étagées sur les terrasses
de verdure s’embrase de mille feux.
Pourtant, à cette saison qui
n’est plus celle de l’hiver glacé mais pas encore celle du gai printemps, les
îles s’éveillent à peine dans les rayons timides du soleil. Les arbres ne sont
pas encore en fleurs et les oiseaux lissent leurs plumes, attendant un signe
clair du ciel pour entamer la symphonie du renouveau. Pourtant flotte dans
l’air un effluve hésitant qui virevolte entre les nuages. Indécis, il regarde
la terre et le lac, ne sachant encore si le moment est venu d’accrocher aux
arbres nus des bouquets de fleurs délicates.
Sur la berge somnolent quelques
barques. Elles regardent langoureusement le lac, rêvant de balades lointaines
sur une multitude des vagues argentées.
Je suis montée à bord d’une frêle
embarcation de bois et, larguant avec bonheur les amarres, je me suis éloignée lentement,
voguant vers le milieu du lac.
Les odeurs imaginaires des
citronniers et des camélias ont bercé mon voyage sur les flots scintillants au
soleil couchant. J’ai navigué longtemps, glissant vers ton paradis secret, au
creux de l’alcôve mystérieuse de tes bras, brasier incandescent dans la pâleur
orangée du crépuscule. Puis, me laissant couler dans le gris bleuté de tes yeux
j’ai plongé avec ivresse au fond des abysses amoureux.
Et dans la nuit silencieuse, sous le regard attendri de la lune et des étoiles, je suis devenue une princesse dans les dédales de ton palais rempli de folies baroques.
Et dans la nuit silencieuse, sous le regard attendri de la lune et des étoiles, je suis devenue une princesse dans les dédales de ton palais rempli de folies baroques.
Dédé © Mars 2017
quelle douceur... tu me donnes aussi envie de passer le col... bon séjour! bises
RépondreSupprimerCoucou Elfi. Le séjour est terminé, restent les souvenirs de la douceur et de la beauté. C'est un très bel endroit, pas si éloigné que cela finalement. Bises alpines madame l'artiste.
SupprimerCoucou bonjour Dédé
RépondreSupprimerTu as une aisance à décrire ce qui t'entoure qui me fascine. J'ai envie de mobter dans cette barque pour faire, comme Ulysse, un grand voyage.. si si même dans cette oetite barque de rien du tout.
Je sens la lassitude et l'impatience de pouvoir t'échapper de ce quotidien qui plombe les jours et les saisons... un entre-deux en somme comme cetre période qui sait nous faire saliver et la précédente encore un peu présente mais qui nous échappe déjà.
Heureusement que tu rêves bien et que tu aimes nous emmèner avec toi. Rassure-toi, dans ce palais où se trône ce magnifique buste, je saurai me faire discrète. hé hé ☺
Je te souhaite une belle journée et enjoy le week-end est là... dans quelques heures.
Mes bisous ��❤��
Bonjour la reine de l'informatique et de la poésie! Les petites barques sont les plus romantiques je trouve. Où est le romantisme sur les gros bateaux de la flotte Costa?!
SupprimerTu as bien décrypté, les semaines sont difficiles, le travail est fatiguant et les bouffées d'oxygènes des fins de semaine n'en sont que plus nécessaires et attendues avec impatience.
Il y a plein de salles dans le beau palais. Je sais que tu trouveras ton bonheur, dans une aile du grand bâtiment. :-)) Bisous alpins dame Michèle et merci de ta visite.
P.S. Tu n'as pas la médaille d'or non plus aujourd'hui. Il y a du relâchement. :-)
Je vois ça mais j'étais en train de te répondre chez moi ☺
Supprimerpfff... va falloir que je révise mes priorités ☺😊
Bisous
:-)C'est compliqué les blogs.
SupprimerMagnifique!! Quand j'en ai assez du blanc de l'hiver la-haut dans ma montagne, je fais aussi une petite virée vite fait dans le sud, mais moi, c'est juste après Domodossola, la descente du val Cannobio qui m'amène le dimanche matin au marché du même nom pour un dépaysement bienvenu.
RépondreSupprimerCoucou Claude! Je vois bien le parcours que tu empruntes. Et le dépaysement est bienvenu. Cette douceur toute italienne, ces marchés vivant et colorés, les maisons au bord de l'eau et ce Lac Majeur si paisible au pied des montagnes. Bises alpines et belle fin de semaine.
SupprimerBonjour Dédé,
RépondreSupprimerVotre écriture est pleine de couleurs, de parfums, d'ambiances détendues et agréables... Votre texte irradie un bonheur rare, que l'on vous souhaite de retrouver encore et encore... Usez sans réserve de votre talent poétique, jamais vous n'en abuserez...
Bon week-end, Dédé
Bonjour Monsieur aux grandes oreilles! Est-il si rare ce bonheur? Je ne l'espère pas. Talent poétique? Merci monsieur pour ce compliment. Et quant à vous, dressez vos grandes oreilles pour entendre la musique de l'eau, des montagnes et du soleil. A bientôt.
SupprimerC'est très paisible!
RépondreSupprimerMerci! Oui, chut. On ne va pas faire de vagues sur le lac. ;-)
SupprimerUne belle escapade all'italiana, sur ce lac que je connais bien moi aussi, Lagh Maggior, Verbano... et on imagine les vagues qui lèchent et clapotent doucement sur la coque des barques et les galets... Quelle jolie pause en fin d'hiver tu as faite!
RépondreSupprimerBonjour Edmée. C'est une très belle région. Je ne me lasse pas d'y aller. Il y a une douceur de vivre que l'on ne trouve pas chez nous. Et j'adore la cuisine italienne. Merci de ton passage.
SupprimerJ'adore l'Italie le pays de mes ancêtres qui ont immigré...
RépondreSupprimerJ'ai aussi eu des ancêtres là-bas. Sur une île. ;-)
SupprimerIl me semblait bien que tu avais le sang chaud quand tu t'énerves sur ton blog! :-)
Superbe, que c'est beau!!! Bise, bon vendredi dans la joie!
RépondreSupprimerMerci. Bises jusque de l'autre côté de l'Atlantique. ;-)
SupprimerMoi aussi j'ai par ma mère des cellules stromboliennes sans le sang et l'Italie me parle toujours.
RépondreSupprimerUne escapade que j'ai toujours en tête.
Baci
C'est donc de cela que te vient ce tempérament de feu. :-)
SupprimerJ'ai aimé voir le Stromboli, il y de cela quelques années. Baci Bella!
Et du côté de mon père un lointain ancêtre irlandais... je cumule !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Effectivement. Tu cumules les qualités. 😁
SupprimerOh oui! J'aime cette douceur italienne avec ce merveilleux lac, les beaux villages. J'ai aussi le souvenir d'une course d'école aux îles Borromées avec les visites des jardins aux douces senteurs.
RépondreSupprimerMerci chère Dédé pour tes mots qui donnent envie de faire une petite escapade :-) Des mots remplis de poésie.
Je te souhaite un tout bon week-end et mes bisous ♥
Les jardins sont absolument magnifiques. Le seul défaut d'Isola Bella, c'est que c'est une île... et quand il y a beaucoup de touristes, on se sent vite étouffé.
SupprimerLes petites escapades sont nécessaires pour avoir un équilibre, en tous les cas pour moi. Merci Denise de ton passage et à bientôt. Bises à la dame du bout du lac.
Bonjour Dédé,
RépondreSupprimerCette Italie du Nord est vraiment très belle et le lac majeur une merveille.
Je connais juste le lac du Bourget et d'Annecy dans les Savoies .... j'imagine une petite ressemblance ?
Merci pour ces belles photos accompagnées d'un écrit qui nous fait voyager. Belle fin de journée
Le lac d'Annecy est très beau aussi mais nettement moins grand. Je trouve que l'environnement dans lequel baigne le Lac Majeur est plus diversifié. Cette région des lacs italiens est pour moi une petit microcosme au Sud des Alpes, avec un climat plus doux que le lac d'Annecy. Quant au lac du Bourget, je connais moins.
SupprimerMerci et à bientôt. Bises et bonjours aux princesses blanches.
Quel joli voyage ! Pour terminer princesse des abysses amoureux, c'est tentant, lac Majeur ou pas...
RépondreSupprimerEt maintenant j'ai la chanson dans la tête ! :)
Coucou Pastelle! Je te conseille quand même le Lac Majeur! Une petite perle.
SupprimerBises!
Quelle belle façon de nous entraîner dans ces dédales de beauté cernés par les montagnes fières bordées de neige. Le lac Majeur dont Mortimer shuman lui avait dédié une chanson, comme ces quelques vers:
RépondreSupprimer"Il neige sur le lac Majeur
Les oiseaux-lyre sont en pleurs
J'entends comme un moteur
C'est le bateau de cinq heures
J'ai tout oublié du bonheur
Il neige sur le lac Majeur"
Quel bonheur de larguer les amarres et d'aller rejoindre aux fins fonds de tes rêves, celui qui t’étreint de ses bras réchauffants et apaisants.
Magnifique texte dont tu as toujours le secret d'embaumer nos cœurs.
Merci Dédé. Bisous
Coucou mon cher poète. Une douce chanson que celle-ci. Je n'ai jamais vu la neige sur le Lac Majeur mais j'ai pu admirer,(à l'abri!) un superbe orage de printemps avec de magnifiques éclairs sur le lac. Un grand spectacle. Et le lendemain il a plu des trombes d'eau toute la journée. 😊 Merci pour tes mots ici. Chacune de tes visites est un plaisir. Je me réjouis de relire tes mots bientôt? Bises!
SupprimerJe suis sur une mer plate ces jours-ci, je ne me sens pas remué, je me laisse aller au gré des vagues. Bises oisives
Supprimer...des vaguelettes plus précisément.
SupprimerLa tempête des mots viendra. Mais en l'attendant repose-toi. 😊
SupprimerQuel envoutement ! Je me suis laissé emporté sans méfiance...
RépondreSupprimerBravo à ses sens qui sont tiens, nôtres, miens. Que sais-je ?
L'Italie n'est pas loin de moi, pourtant je ne m'y risque pas...
Curieux...
Bonne nuit.
Tu devrais aller faire un petit tour. Il y a de belles choses à voir. J'aime cette douceur de vivre. Si tu veux je te suggère des endroits via mail 😊 bises!
SupprimerDédé,
SupprimerQuand j'ai effacé mon précédent blog, l'adresse mail a suivie dans le drain de mon esprit...
Pour l'Italie, je n'irai pas. Je n'ai ni le temps, ni l'envie, ni l'argent...
Et puis seul, c'est d'un ennui !
Bref, merci de ton offre si généreuse.
Belle journée...
On peut avoir un tempérament de feu, et une âme poétique, n'est-ce pas Dédé.... tes mots sublimes m'envoûtent et réchauffent mon coeur esseulé... là où tu nous entraînes dans cette belle douceur italienne..
RépondreSupprimerMerci pour ce texte une fois encore merveilleux.
Bonne soirée, presque une bonne nuit;
bisou.
Den
Coucou dame enchanteresse des mots. Ton coeur n'est pas esseulé. Je t'envoie mes pensées. Et nous voguons ainsi vers la douceur des bords du lac. Bisous !
Supprimerun bel endroit pour un voyage en amoureux
RépondreSupprimerje t'envie
Il y a encore de la place dans le palais. L'aile sud est libre. Je demande à l'intendance de préparer les appartements. Bises
SupprimerL'Italie, ça me rend un peu folle...
RépondreSupprimerBon week end.
Un peu? Beaucoup? Passionnément?et pourquoi? Belle fin de semaine.
SupprimerGlisser sur l'eau
RépondreSupprimergrimper sur les montagnes
rejoindre le ciel
Destin de princesse
à la peau pâle
sous la lumière sélène
Bonjour monsieur le poète. Que ces mots sont beaux,délicatement posés comme les rayons du soleil sur le lac. Merci Pascal et bises alpines.
SupprimerCoucou ma Dédé !
RépondreSupprimerUne prose bien poétique qui me laisse encore toute chose.
Tu es la reine de la plus belle plume.
Sympa l'endroit et ta dernière photo me laisse rêveuse.
Bises et bon wouik, ma Dédé !
Merci ma chère Claude! L'endroit est beau et j'espère que les rayons du soleil italien t'ont réchauffée. Bisous alpins!
SupprimerCoucou Dédé.
RépondreSupprimerPresque une chanson!!!
Très bon weekend, A + 🏟
Je te laisse m'accompagner à la guitare? Bises!
SupprimerHELLOOOOOOO
RépondreSupprimerSaluuuuuuuuuuuut. 😊
SupprimerEn regardant ce lac, on se sent tout de suite réchauffé. Aujourd'hui j'étais au bord du lac Léman, autre ambiance!
RépondreSupprimerAh oui. Le Lac Léman devait être agité mais c'est comme cela que je le préfère. 😊 A bientôt!
SupprimerQuel joli conte ! le genre de rêve merveilleux dont on souhaite ne jamais se réveiller.
RépondreSupprimerTout le contraire de la chanson triste qu'Étienne Roda-Gil a écrite pour Mortimer Shuman, dont les paroles (assez obscures) font peut-être référence à l'automne 1943.
Ta photo me donne envie d'aller visiter cette partie de l'Italie.
Coucou. Merci pour ce lien intéressant qui donne une dimension historique à ce texte. Un très triste épisode dans cette si belle région. N'hésite pas à aller la visiter. C'est un enchantement. Bisous. 😊
SupprimerBelle photo !
RépondreSupprimerMerci Ulysse. 😊
SupprimerCOUCOU ET BISOUS
RépondreSupprimerBonne nuit. 😊
SupprimerJ'aime beaucoup cette photo du lac
RépondreSupprimerUn peu de douceur dans ce monde de brutes.
SupprimerLe lac Majeur, les îles Boromées, je ne pense pas les avoir visités en vrai mais j'ai vu un beau reportage à la télévision qui m'avait enchantée >
RépondreSupprimerhttp://www.france3.fr/emissions/des-racines-et-des-ailes/diffusions/21-09-2016_504147
D'autant il me semble qu'il avait aussi été question du lac Léman et d'Evian
Quel contraste en effet lorsque l'on passe la crête et que l'on descend sur la vallée au sud ! C'est la même chose dans les Pyrénées. J'aime beaucoup tes deux photos, la première qui est ample et a du relief grâce aux différents "sujets" dont certains dans l'ombre. La seconde intime avec la toute jeune fille en biscuit aux feuilles d'acanthe qui tourne pudiquement la tête et dont la nuque se reflète dans le miroir. Sa joue parait lisse comme d'avoir été beaucoup caressée et pas seulement par un trait de lumière
Coucou Cergie. L'émission dont tu parles est une émission de qualité. J'ai découvert des endroits extraordinaires en la regardant.
SupprimerJe ne connais pas vraiment les Pyrénées mais comme tu le dis, ce doit être assez semblable comme contraste.
Les Alpes font une véritable barrière entre le Sud et le Nord et le temps peut singulièrement changer selon que l'on passe d'un côté à l'autre.
Merci pour les compliments concernant les deux photos. Il est vrai que sur la première, j'ai tenté d'avoir plusieurs plans pour donner ce relief, presque à genoux dans les pierres de la plage. ;-)
Tu as l'oeil aussi pour la 2ème. J'ai voulu effectivement choisir une photo plus intime, en rapport avec la fin du texte.
Tu es une remarquable analyste de billet de blog. Je te donne la palme d'or sur ce post-ci.
Bisous!
DOLCE VITA
RépondreSupprimerExactement!
SupprimerJe comprends tellement ce besoin de larguer les amarres et de partir vers le Sud! débrancher, ne fut-ce que pour un week-end, laisser derrière soi la grisaille, les soucis, les embrouillaminis de toutes sortes... Et puis, ces îles Borromées ont de si beaux noms : Bella, Maggiore, Madre. Rien qu'à les prononcer, on s'évade! Autre avantage : leur proximité de la Suisse, elles offrent un Sud tout proche. Suis contente pour toi!D.
RépondreSupprimerTu as raison: fuir un peu le quotidien parfois difficile mais savoir aussi y revenir plus fort des découvertes engrangées lors des voyages et des escapades.
SupprimerLa Suisse a l'avantage certain d'être un peu au centre de cette Europe de l'ouest, du coup, on n'est pas très loin de l'Espagne, tout près de la France et de l'Italie, ce qui nous donne plein de possibilités de se faire plaisir. Et puis ne nous mentons pas, chez nous aussi, il y a plein de beautés à contempler.
Merci de ton passage et une belle semaine pour toi, si possible lumineuse dans les coeurs, plus qu'à l'extérieur! Bises!
je me laisse bercer par ce beau bleu tendre!
RépondreSupprimerbonne soirée
Merci Eki pour ton passage et j'espère que tu as passé un bon moment au bord de ce lac. A bientôt et belle journée.
SupprimerJ'ai toujours eu comme projet d'aller en vacances au bord des lacs italiens, mais je ne l'ai pas encore fait! Ton billet me donne encore plus envie !
RépondreSupprimerN'hésite plus! ;-) Le lac de Garde est superbe aussi, paraît-il.
SupprimerSuperbement cadrée ta première photo et la deuxième laisse deviner toute la douceur de la rencontre amoureuse.
RépondreSupprimerBravo Dédé pour tes talents d'écriture et de photographe ♥
Bonjour Fifi. C'est toujours un plaisir de t'avoir comme lectrice et comme critique de photo. Toi qui manies si bien ton APN, je suis flattée de tes compliments. Merci de ton passage et à bientôt pour de nouvelles aventures. Bises!
SupprimerEn totale symbiose avec ce billet, qui mec rappelle de merveilleux souvenirs de vacances, sur tous les lacs italiens.
RépondreSupprimerLa statue est sublime .
Merci pour elle. 😊
SupprimerJolie ambiance.
RépondreSupprimerMerci Dominique. A bientôt.
SupprimerCoucou ma Dédé !
RépondreSupprimerPour répondre à ta question, les petits oiseaux disparaissent tout comme les abeilles à cause des pesticides et autres cochonneries que les paysans foutent dans leurs champs, dans leurs vignes et dans leur vergers. Par contre ce matin j'ai entendu le faisan, Jacquot. Cela fait deux ans que je ne vois plus d'écureuils non plus et jusqu'à ce jour point de pic-verts non plus.
Bises
L'être humain ne se rend pas compte toujours de son impact sur la nature. Espérons qu'ils le fassent avant qu'ils ne soient trop tard. Bises
SupprimerUn très beau billet qui me parle, j'étais là, à cet endroit, il y a deux ans, et j'avais pu admirer ce si beau paysage. Merci Dédé de me remémorer un joli voyage, grâce à tes mots, à ta photo (celle du haut).
RépondreSupprimerBelle soirée à toi. Gros bisous.
Contente de te rappeler ces bons souvenirs. Les jolis souvenirs restent toujours gravés dans un petit coin de notre coeur et nous pouvons les ressortir de temps en temps pour sourire à la vie.
SupprimerA bientôt et bisous!
Très belles photos ! C'est très agréable de te lire! Quel talent tu as !
RépondreSupprimerQuelle chance de pouvoir, comme ça, d'un coup de tête, boucler sa valise et franchir la barrière des Alpes ! Ca fait rêver !
Si le paysage est beau, je suis souvent inspirée. :-) Oui, je pense que j'ai de la chance d'habiter si près de cette Italie que j'aime tant. Merci de ton passage l'ami aux mains de velours dans des gants de cuisine. (les autres ne vont pas forcément comprendre mais nous on se comprend). :-))
SupprimerLa mer est étale: place à l'harmonie.
RépondreSupprimerLe lac en l'occurence, pardon.
RépondreSupprimerOui, c'est un lac, assez grand d'ailleurs.
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