Côte Amalfitaine, Italie
Se relier à la terre. Se fondre dans la nature. Renouer avec le grand
tout. Retrouver son souffle, le calme et la sérénité. Ralentir le rythme.
Pénétrer dans les forêts, parcourir les sentiers, gravir les montagnes
pour avoir le plaisir de redescendre. Réenchanter son existence, s’immerger
dans les sons et dans les nappes d’odeurs. Sentir le pouls de la terre quand le
chemin se confronte soudainement à une rivière bondissante et tremper ses mains
dans l’eau. Toucher l’épaisseur magique des bois en caressant l’écorce rugueuse
des arbres. Admirer les ombres du soir descendre sur les montagnes et éprouver
la texture grandiose du crépuscule coloriant de feu les sommets altiers. Ecouter
les sonnailles du troupeau qui rentre tranquillement à l’étable encadré par
le grand chien blanc. Saisir les gouttes de pluie crépitant furieusement
pendant les orages. Glisser sur les arcs-en-ciel, sourire aux stridulations des
criquets et ramasser des pommes de pin.
Chanter avec les oiseaux et siffler comme les marmottes joueuses. Gambader
comme le bouquetin et voleter entre les fleurs multicolores comme le gai
papillon. Plonger dans les flots bleus tels le dauphin et accompagner les
bateaux en veillant sur eux.
Marcher m’enracine au sol, chaque pas m’inscrit dans l’espace. Et le
murmure du vent dans les feuilles efface ce qui pèse sur mon coeur.
En ces temps mouvementés, je souhaite ardemment retourner là-haut et me
rapprocher des cieux afin d’échapper aux turpitudes terrestres et cela même si
mon corps est fatigué.
Prends-moi la main et ramène-moi dans ce monde de beautés simples. Et
marchons ensemble vers nous-mêmes.
Alpes valaisannes, Suisse
Dédé © Mai 2017
Coucou Dédé. Ce que tu sais si bien dire et écrire, c'est la vie, la vie belle telle qu'elle est quand on sait la regarder, la savourer, l'aimer. Nous pouvons tous entraîner quelqu'un à nous suivre sur ce chemin magnifique que la nature nous offre chaque jour où que nous soyons. Bien sûr nous sommes privilégiées de vivre à la montagne, berceau de toutes les beautés mais la beauté est partout, elle est aussi en chacun de nous. J'aime tes mots. Bises bretonnes
RépondreSupprimerCoucou Marie. Tu as raison, la beauté est en chacun de nous. Même si nous ne sommes pas à la mer ou à la montagne. Mais j'ai bien conscience d'être privilégiée de pouvoir toucher du doigt les beautés naturelles de notre planète car ce n'est pas donné à tout le monde. Merci de ta visite et à bientôt. Bises!
Supprimeroh oui se promener nonchalamment dans ces beaux espaces... le pied quoi... bonne journée
RépondreSupprimerps je n ai toujours pas trouvé ta news t en as pas ?
Coucou. Je n'ai pas de news. Tu peux t'abonner sur le gadget qui se trouve tout à droite de ma page mais cela ne fonctionne pas très bien. Ou alors essayer avec blogtrott. Désolée de ne pas pouvoir t'aider plus. A bientôt.
SupprimerCoucou Dédé
RépondreSupprimerTes photos sont magnifiques, accompagnées comme d'hab' d'un beau texte.
Je ne vis pas parmi toutes ces beautés montagnardes, mais je suis bien là où je suis, dans un endroit
relativement tranquille et loin des mochetés de la vie.
Bises sarthoises.
Coucou ma Claude. C'est bien de vivre à l'abri des "mochetés" du monde. Mais moi j'ai besoin de montagnes. Ce sont mes racines et j'y suis attachée. Je ne pourrai pas vivre dans le plat pays. Bises!
SupprimerRéenchanter son existence... tout un programme, Dédé, un sacré ouvrage à remettre chaque matin sur le métier. C'est très beau, ce que tu parviens à écrire, malgré / avec ton corps fatigué. Pour ma part, j'ai beaucoup de peine à écrire de belles choses quand le corps souffre. T'envoie de douces pensées et pense fort à toi! D.
RépondreSupprimerCoucou Dad. Même si le corps est fatigué, j'avais besoin d'écrire. Comme un exutoire. Pour m'échapper. Merci de ta visite et bises alpines.
SupprimerQue du bonheur! Se ressourcer fait un tel bien en pleine nature! Je ne pourrais m'en passer! Bise, que ta journée te soit belle et douce!
RépondreSupprimerJe ne pourrai pas non plus me passer de nature et de calme. Je n'arriverai pas à vivre tout le temps dans une ville trépidante. Besoin de silence pour me ressourcer. A bientôt et belle semaine qui arrive déjà.
SupprimerRien de tel pour se ressourcer que cet environnement accompagné de tels mots. Bien que je n'ai pas à me plaindre entre mer et montagnes.
RépondreSupprimerMerci et bonne journée
Tu es entre mer et montagnes, tu côtoies les grenouilles, les bouquetins et les canards. Tu sais admirer la nature. Et c'est précieux. Merci Pascale.
SupprimerCoucou Dédé, tes deux photos sont très belles avec tes mots que je savoure. Se trouver en plein air, à la mer ou à la montagne est un grand privilège. Tous ces sommets enneigés sont merveilleux et ils nous portent même si la fatigue se fait sentir.
RépondreSupprimerJ'aime marcher aussi près de névés. En altitude, l'air y est si pur, il nous redonne des forces. Tous ces moments ne sont que du bonheur.
Que ton billet est beau.
Belle journée et mes bisous et surtout une bonne continuation :-)
Coucou Denise. Il faut faire attention aux névés. Ils peuvent être traîtres. Surtout quand ils fondent, ce qui a dû se passer ce WE avec les températures qu'il fait. Bisous et belle fin de dimanche.
SupprimerDis moi Dédé, quelle différence fais tu entre "emmène-moi" et "ramène-moi" ? Dans la deuxième supplique transparaît une envie de retour vers un monde connu qui s'est peut-être éloigné, dans la première un désir de nouveauté. En tous cas le besoin de se faire accompagner dans la démarche vers un futur souhaité et pourtant un peu angoissant...
RépondreSupprimerJ'adore les deux images, l'une et l'autre incitant un vertige peut-être trompeur (la falaise est-elle si abrupte à cet endroit, et au delà de la plaque de neige il y a sans doute un doux versant), une ivresse du danger qui fait tourner la tête. N'hésite pas surtout ! Qui ne risque rien n'obtient rien !
Salut ma Cergie. Finalement je ne fais pas une grande différence. Mais je ressens le besoin de repartir à l'assaut des sommets, de voir la vie d'en-haut et de m'élever. J'espère que je pourrai le faire cet été. Mais tu as raison, j'ai besoin d'être accompagnée dans cette quête, au propre comme au figuré. Le changement fait parfois peur, vaincre les obstacles n'est pas simple.
SupprimerSur la première image, oui, la falaise était abrupte de l'autre côté de la barrière. Le chien devait en être conscient. Sur la 2ème, le relief est plus doux. Derrière la plaque de neige, on redescend dans la vallée, puis coule le Rhône et on remonte de l'autre côté où règnent les 4000 mètres.
Bisous ma belle et à bientôt.
Retrouver ce lien
RépondreSupprimeravec la Terre
avec cet Univers
qui nous à donné naissance
C'est le seul moyen
de retrouver la joie d’Être
Malgré tout ce que veut nous faire croire
notre société de consommation qui nous entraine
vers plus d'inégalité, d'injustice et de violence...
Amitié Dédé
Fuir le consumérisme qui nous éloigne des vraies valeurs. Tu as raison, le lien avec la Terre est primordial pour s'enraciner dans la vraie vie. Bises Pascal.
SupprimerQue de poésie dans tes mots, Dédé ! Tu soulignes la magnificence dans la simplicité de la vie de la campagne, la sensation de l'appartenance et de symbiose avec la nature dans cette douce atmosphère, remplie de chants d'oiseaux, des froufrous des feuilles quand elles chutent sur le sol et de tous les sons mélodieux de la montagne.
RépondreSupprimerBises ravies
Ecouter la nature, la respecter, l'admirer. Et respecter ceux qui nous entourent. Au lieu de cela, combien de fois sommes-nous happés par cette société de consommation qui ne fait qu'exacerber les inégalités. Merci mon ami poète de tes mots. Et à bientôt! Bises alpines.
SupprimerBonjour Dédé, je me retrouve complètement avec ce beau texte, c'est apaisant et appelle à la réflexion. Et les 2 photos complètent très bien le tout. Bon weekend!
RépondreSupprimerMince, ton commentaire avait passé dans les spams. Désolée, je ne le vois que maintenant! Bises alpines.
Supprimertrès beau paysage de montagne et en principe non pollué.
RépondreSupprimerCoucou Gérard. Oui, j'espère que ces paysages sont encore exempts de pollution... mais j'en doute parfois.
SupprimerMoi qui aime beaucoup les photos, j'ai ici énormément aimé tes mots, belle ode au bonheur de se retrouver avec soi dans l'écrin de notre terre mère.
RépondreSupprimerBonne soirée Dédé.
Je sais que tu mets l'accent sur les photos alors quand tu parles des mots, cela me fait plaisir. Merci Caroline!
SupprimerQue de textures: dans les mots, dans les paysages. On s'envole.
RépondreSupprimerEt là je reprends les mots de Henry Thoreau dans Walden "... Nous avons besoin de voir nos propres limites dépassées, et des animaux paître librement là où nous ne nous aventurerons jamais..."
Coucou Thérèse. Attention de ne pas voler trop près des rayons du soleil! Et j'aime les mots que tu cites. Bises alpines.
Supprimer"emmène-moi"... prends-moi par la main dis-tu, et retrouvons toutes ces beautés simples, que tu ne peux abandonner,alors, "ramène-moi"... vers ces instants pleins, qui te permettent de mieux vivre les tracas du monde...merci pour tes mots, Dédé, qui sont des images, des petits bijoux rutilants... de la poésie à l'état pur, comme l'air de chez toi, que l'on ressent à travers tes pages...tes mots merveilleusement tricotés, mais je choisirais ces deux qui me parlent encor' plus que tous les autres pourtant si bien cueillis : "renouer avec le grand tout"... "et marchons ensemble vers nous-mêmes". Tes deux photos sont également superbes, comme toujours !
RépondreSupprimerMerci belle d'Âme au grand coeur des Alpes.
Bonne soirée.
Den
Marcher vers soi-même, se retrouver, se relier au grand tout, respirer au même rythme que la terre. Nous faisons partie d'un tout et c'est une sensation incroyable quand je la ressens lors de grandes randonnées. Merci Den de tes mots et de tes visites toujours fidèles. Bises alpines à la Provence de ton coeur.
SupprimerBonjour Dédé
RépondreSupprimerIl suffit de peu pour faire le vide, pour chasser toutes les pollutions qui entravent notre bien-être... prendre de la hauteur, marcher, admirer et respirer profondément et redescendre avec le sentiment d'être plus léger(e).
C'est à cela que ton billet nous convie.
Je te souhaite un bon week-end
Je t'embrasse ❤🌸❤
Il suffit de peu oui... mais ce n'est pas simple quand on est happé par les contraintes de la vie quotidienne. Elle nous entraîne parfois là où on ne voudrait pas. Merci Michèle de ta visite et bises alpines.
SupprimerEncore, encore !
RépondreSupprimerOui, oui! :-))
SupprimerCher Dédé,
RépondreSupprimerje comprends très bien et je te souhaite de tout mon coeur de retrouver "tes" montagnes et la sérénité.
Lorsque l'on est coupé durant un bon moment de cet idéal .... lorsque nous le retrouvons c'est enchantement.
Tes photos sont très belles, un coup de coeur pour la première.
Une douce journée Dédé. Je t'embrasse
Merci Elisa pour tes mots si précieux. Tu comprends tout, toi qui vis en harmonie avec la nature et les animaux. Bises alpines et pensées affectueuses.
SupprimerP.S. Un clin d'oeil pour toi avec le chien sur la première photo. Je ne le connaissais pas mais il était très beau dans ce décor.
Je viens pour trouver, retrouver l'espace. C'est immense ici, tout beau, tout frais,...quel bonheur, merci Dédé!
RépondreSupprimerMerci l'ami artiste. Bonne visite du grand espace. Ne te perds pas cependant. ;-)
SupprimerUne douce brise souffle sur les Impermanences ... deux paysages tout aussi paisibles mais bien différents, deux superbes photographies et peut-être aussi deux états d'esprit qui se complètent pour faire un tout ...
RépondreSupprimerCoucou. Sur la première photo, j'étais attirée par la mer si bleue et cette montagne qui se jetait dans les flots. Sur la 2ème c'est un environnement beaucoup plus connu et familier. J'aime beaucoup ces 4000mètres. Ils sont majestueux et veillent sur toute la vallée du Rhône. Bises!
Supprimerune belle prière une ode à la nature et à la montagne que je partage
RépondreSupprimerJe pense bien que tu la partages, toi qui vois des lamentins en observant les pierres dans la forêt. ;-) Bises alpines et belle semaine.
Supprimer"Emmène-moi au bout de la terre", chantait Charles Aznavour.
RépondreSupprimerTon ode vaut bien sa chanson.
La première photo m'attire irrésistiblement.
Coucou. Attention à ne pas franchir la barrière sur la première photo, il y a la falaise derrière. Belle semaine.
SupprimerMots et photos sont en parfaite harmonie....
RépondreSupprimerMerci Alezandro. J'essaie toujours de mettre des photos en lien avec mes textes. C'est un tout, un grand tout. ;-)
SupprimerSi seulement la vie - et nos cerveaux - pouvaient être aussi simples, aussi beaux...
RépondreSupprimerMais c'est un bien joli programme que tu nous proposes là.
Il s'agit de faire en sorte de sortir de toutes nos contradictions et de simplifier. Vaste programme n'est-ce pas? A bientôt.
Supprimeremmène moi...encore !!!!
RépondreSupprimerD'accord! ;-)
SupprimerCoucou Dédé.
RépondreSupprimerCarpe diem!
"Emmenez-moi au bout de la terre
Emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil "
Bises, Bonne semaine, A + 🎼
Tu chantes bien Daniel. ;-) Merci pour le petit air qui trotte dans la tête. Belle semaine à toi et bises.
SupprimerTon programme est si tentant, si bien présenté, j'ai bien envie de te suivre ainsi que ce compagnon à quatre patte attentif et affectueux, toujours à l'écoute et prêt pour l'aventure !
RépondreSupprimerBonne journée Dédé, merci
Comme l'oiseau..
RépondreSupprimerL'oiseau poursuit sa route
Chasse avec le vent
Il plane
Garde le cap
Montre la voie
Il est ce que nous rêvons d'être....
L'oiseau sait le prix des saisons
Il est comme un guide
Une envie
Il connait toutes les îles
Chaque abri de rocher
Les hauts sommets de la montagne
Nous le regardons filer
Revenir
Tourbillonner
Il est libre
Et nous accrochés à la falaise
Notre désir est grand
De toucher l'horizon
© marine D
Merci Marine pour ta poésie. Ah, si nous étions des oiseaux, ce serait tellement simple d'aller où on veut, de déployer ses ailes et de partir à l'aventure. Merci pour tes mots et ta visite si appréciée. Belle semaine et bises.
SupprimerOn a envie d'y aller!
RépondreSupprimerAller simple ou aller retour? ;-)
SupprimerVivre en harmonie avec Dame nature,tout simplement,s'en imprégner,s'émerveiller et la respecter...laisser de côté notre monde dit "civilisé"...(pas facile n'est ce pas?)....tant de haine et de souffrance dans ce monde,il est bon de se réfugier dans les bras de Dame nature.
RépondreSupprimerMerci pur ce bel instant de pureté...j'aime tes mots et les photos sont une invitation au voyage !;)
Bises de la côte bleue
Le monde est "civilisé" quand il le veut bien. Mais il y a tellement de choses négatives qui se passent ces temps-ci. Heureusement mère Nature est là pour nous tendre les bras. Merci Lise et bises alpines.
Supprimerun petit coucou par ici... on ne se lasse pas de ce paysage... bisous
RépondreSupprimerMerci! ;-) Bises
Supprimerleçon ? qué leçon ??? re bizzz
RépondreSupprimerJe ne savais pas que les fleurs d'acacias étaient roses.
SupprimerOui, il y a des lieux qui nous mesurent, nous pèsent et nous remettent à taille et poids mental idéal... alors on crée le désir d'y retourner....
RépondreSupprimerBonjour Edmée. Tous ces lieux nous habitent et créent des souvenirs.
SupprimerTout est dit en peu de mots, et la formidable énergie de la nature, et le bonheur de la contemplation, et toutes ces petites grandes choses qui nous relient.
RépondreSupprimerUn bel hymne à la joie, Dédé.
Contente de rentrer j'en ai autant dans ma besace. Des trésors que j'aurai plaisir à t'offrir en échange de toute ta beauté.
Bisous célestes
¸¸.•*¨*• ☆
Coucou belle dame. Et maintenant j'ai les notes de l'hymne à la joie dans la tête. ;-) Je me réjouis de te lire ma chère. Nous partageons tant de choses. Merci de ta visite et mille bises. (compte-les bien) :-))
SupprimerBonjour Dédé !
RépondreSupprimerJe ne sais comment t'es arrivée sur mon blog (merci pour le commentaire que tu as eu la gentillesse d'y déposer) mais cela m'a permis de découvrir le tien. J'en suis ravie. Ton blog est superbe, tes photos sentent bon la Suisse, cette Suisse que j'aime tant devenue malheureusement inaccessible à mon porte-monnaie, et tes textes sont un régal. BRAVO et surtout MERCI pour le partage. Je reviendrai, promis !
Bienvenue ici. J'essaie de montrer les beautés du monde qui nous entoure, et pas seulement en Suisse. Malheureusement, la Suisse est effectivement bien chère. Et pourtant, elle recèle tellement de choses à découvrir. J'ai la chance d'y habiter et de ne pas être très loin de la France et de l'Italie. C'est une grande chance, j'en suis consciente.
SupprimerAlors à bientôt pour de nouvelles aventures. ;-)
quelle vue !
RépondreSupprimerje peux venir aussi ?
Mais oui, tu peux. Il y a assez de place. Par contre, faudra être gentil avec le chien. ;-)
Supprimerah parce que le chien vient aussi ?
Supprimerje lui donnerai des fraises
Ben entre poilus, vous allez bien vous entendre. :-)
SupprimerComme je te comprends ! j'ai eu si souvent cette envie de tout plaquer pour aller vivre une vie simple au plus près de dame Nature. Mais bien sûr, malgré mon souhait le plus vif, en dehors de quelques périodes de vacances cela n'a jamais été possible. Profession du mari (principal soutien financier de notre petite famille) et scolarité des enfants étant des obstacles incontournables.
RépondreSupprimerEt, malheureusement, une fois libérés de ces contraintes, ce sont les impératifs de santé qui nous ont retenus et nous retiennent toujours en ville. À moins d'un miracle (une bonne fortune au loto !) citadine je suis née, citadine je mourrai :-(
Tes deux photos sont très belles, mais c'est la seconde que je préfère.
Le paysage moins familier pour moi et le vide derrière la balustrade de la première m'angoissent un peu.
Par contre la neige et les sommets immaculés me parlent !
Je te souhaite, chère Dédé, de pouvoir un jour vivre en moyenne montagne plutôt qu'en ville et je t'embrasse.
Coucou Tilia. Il y a ville et ville. Les villes à taille humaine qui font des efforts pour avoir des espaces verts et des quartiers sympas peuvent être agréables. Mais il est vrai que j'ai besoin, à un moment, de m'échapper du béton et d'aller voir ailleurs. Car je suis née à la montagne et je ne peux pas aller contre ces racines. M'enfermer dans une ville et je deviens comme Heidi lorsqu'elle rendait visite à Clara: je déprime. Aujourd'hui, je suis prise dans une sorte de spirale infernale. Aller à la montagne n'est pas simple, il faut trouver un travail pas loin et revoir certaines priorités. Mais j'ai bon espoir qu'un jour... En attendant, chaque fois que je peux m'échapper, je le fais. Et habiter en Suisse aide beaucoup, car tout se trouve dans un mouchoir de poche.
SupprimerLa famille unie et les contraintes que tu décris font cependant que tu as construit quelque chose de solide et de bien aussi. Et la vie urbaine doit t'apporter aussi beaucoup de choses agréables, j'en suis sûre.
Je comprends que tu préfères la 2ème photo. C'est aussi celle que je préfère car les montagnes sont bien plus hautes et plus blanches. ;-) Bises alpines et merci pour ton commentaire.
Ton post fait sur moi l'effet d'un bonbon Ricola: raffiné, naturel, frais, revigorant. La nature a mis à portée de tes yeux de superbes panoramas et t'a inspiré un texte touchant et authentique.
RépondreSupprimerAlors profite bien de ce petit Ricola que je t'offre avec plaisir. Il est authentique! Bises alpines et belle fin de semaine.
SupprimerLe plaisir des choses très simples et si bénéfiques. Tu as oublié, je crois, ressentir la brise légère sur son visage :)
RépondreSupprimerJ'adore et la vue, et ton propos. Merci, vraiment.
Coucou l'homme au grand coeur. Ah oui, c'est vrai. La brise légère fait s'envoler les soucis. Merci de me le rappeler. Bises alpines
SupprimerQue dire de plus ! Que tes images sont magnifiques ♥♥♥ Souffle coupé en arrivant, comme souvent ici, par l'image qui accueille.
RépondreSupprimerTu sais dire et regarder !!!
Merci Fifi, le compliment concernant les photos de ta part qui en fais de si belles me fait très plaisir. Merci! Bises alpines.
SupprimerC'est ce que je vis présentement avec mon fleuve et ses couchers de soleil, ce rapprochement avec la beauté et la simplicité. Tu écris admirablement bien,félicitations
RépondreSupprimerOui Robert, le contact avec la nature fait tant de bien. En tous les cas, les photos de ton fleuve sont magnifiques, je ne peux que conseiller à ceux qui viennent ici d'aller te rendre visite aussi! Cela en vaut la peine. Merci et bises alpines.
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerJe n'ose te dire combien de fois je suis venue re-admirer ce billet ... Tes Alpes et tes mots sont magnifiques !
RépondreSupprimerMERCI !
Mais viens autant de fois que tu le veux. 😊 merci pour tes compliments. Bises alpines
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