Bluette pousse la chansonnette
« Il est un chant en l’honneur des vaches, un chant que tout Suisse qui l’entend, ne peut s’empêcher de ressentir des frissons d’émotion. C’est « Le Ranz des vaches », chanté habituellement en patois fribourgeois pendant la montée des troupeaux à l’alpage, au début de l’été.
Il fait partie du patrimoine musical traditionnel suisse et encore aujourd’hui, dans de nombreuses fêtes, vous pourrez entendre une personne l’entonner et le reste de l’assemblée reprendre avec ferveur le fameux « Lioba ». (Vous pouvez aussi le reprendre chez vous à la maison, avec vos voisins, sur vos balcons).
Aujourd’hui, avec Dédé, on vous propose une des plus belles versions de ce chant interprété magistralement par Bernard Romanens, lors de la Fête des vignerons de 1977 à Vevey. Même si la prise de son peut laisser à désirer, elle retranscrit l’émotion de tout un peuple pour ses traditions paysannes. Et la voix de Bernard Romanens s’engouffre dans toute l’arène, pour s’élever plus haut que les montagnes et atteindre les voûtes célestes pour y rester à jamais.
Quand elle l’écoute, Dédé est très souvent émue aux larmes. Et aujourd’hui, il en est de même pour moi. En effet, quand est-ce que je retournerai à l’alpage, sentir la caresse du vent sur mes flancs soyeux et brouter les délicates prairies gorgées de soleil alpin ? Bientôt, je l’espère ardemment. Et je vous conterai alors la magnificence des boutons d'or, comme des petits boules de soleil tombées dans les prés et la grandeur des sommets que je ne me lasserai jamais d'admirer.
Dédé © Mars 2020
Quand des fribourgeois devenu patron de bistrot aux Paquis, dans les années 80 chantait tard le soir et avec nostalgie le Lioba, je me faisais toujours un plaisir de les accompagner en faisant tourner une thune dans un saladier, reproduisant le son des sonnailles des cloches des vaches. Ils en étaient tellement content que j'avais a boire pour le reste de la soirée...Bises d'en face...tiens, justement à Sorebois,juste un peu plus bas !
RépondreSupprimerCoucou Claude. Et bien vu la purée de pois qui traîne par ici, je ne te vois pas vraiment en face ce matin. J'espère que le temps va se lever car c'est un peu déprimant d'avoir ce blanc opaque devant la fenêtre. Quant au fameux Lioba, Dédé m'a raconté qu'elle l'avait chanté à tue-tête sur la place du marché à Vevey en 1999, le lendemain de la fête des Vignerons. Il y avait le chanteur officiel et aussi Massimo Lorenzi qui sortait du même caveau que moi. C'était un grand moment d'émotion. En 2019, Dédé l'a fredonné dans les arènes pendant le spectacle. J
SupprimerJe vois que tu es un artiste, reproduire ainsi les sonnailles des vaches, c'est du grand art! :-)) Bises d'en face, si, si, tu ne peux pas la voir mais Dédé te fait signe de la main et moi des cornes. ;-)
Coucou Dédé.
RépondreSupprimerIl a du coffre le chanteur!
Les vaches n'ont dit il chante vachement bien !
Respire à plein poumons l'air pur et frai de tes montagnes.
Bises, A +
Coucou Daniel. Tu l'as dit, oui, il a du coffre. Et les vaches ne t'ont pas menti, il avait une voix extraordinaire. Bises!
SupprimerMerci Gine pour cet émouvant échantillon des traditions de votre belle Suisse.
RépondreSupprimerCoucou Dom. Tu t'es trompé mais ce n'est pas grave. Ici, c'est chez Dédé. :-) Bises!
SupprimerOups, n'importe quoi! Le confinement ?
SupprimerL'émotion peut-être ou alors... le gin? :-)
SupprimerCoucou Bluette
RépondreSupprimerBelle voix en effet à écouter en regardant le Weisshorn (à gauche) et le Zinalrothorn (à droite) deux superbes sommets de plus de 4.000 mètres. Une autre version de Lioba : https://www.youtube.com/watch?v=IN9fNo5M7qM (moins bonne à mon avis que celle proposée par Dédé).
Bises
Coucou Christian. Bravo pour avoir reconnu les fameuses montagnes. Quelle vue pour ces vaches depuis Sorebois. :-) Ta version est belle aussi, mais si la prise de son laisse à désirer. Mais que j'aime ces voix d'armaillis! Et Dédé a les larmes aux yeux aussi. Merci et bises!
SupprimerLe "Ranz des vaches" je connaissais, j'ai habité longtemps en Haute Savoie, là dans l'arène, repris en coeur par le public, il prend une autre dimension.
RépondreSupprimerMerci Bluette pour ta poésie avec les boutons d'or.
Bonne journée à vous deux !!!
Coucou le Gitan. C'est un chant tellement célèbre. Dédé l'avait joué au carillon il y a quelques années pour un Fribourgeois. Il était tellement ému qu'il n'arrivait plus à parler quand elle a eu fini. ;-) Bises à toi et bonne journée, la meilleure possible.
SupprimerUn magnifique chant qui rend honneur à la mère nature, ces sommets qui dominent les vallées ou paissent paisiblement les troupeaux que seuls les sons des clarines viennent perturber
RépondreSupprimerAmicalement
Claude
Merci Claude. Je suis contente que tu aies apprécié. Et quand on écoute cela, on a l'impression d'être transporté là-haut. Merci, merci. Bises!
SupprimerMerci pour ce chant qui nous a fait prendre un bon bain de foule bucolique.
RépondreSupprimerCoucou Martine. J'ai entendu que tu as fait une petite fausse note quand tu as repris le lioba. :-)
SupprimerÉtonnant comme les vaches semblent écouter religieusement ce chant qui leur est dédié !
RépondreSupprimerMerci Dédé pour cette évasion musicale culturelle et bucolique de grand secours par les temps qui courent.
Bises d'outre Jura, fraiches et ensoleillées
Coucou Francis. OUI! Les vaches écoutent, pour la plupart d'entre elles religieuses, pendant qu'un des armaillis fume sa pipe. Et puis, à la minute 3h39, tu peux voir aussi un monsieur dans l'arène très très ému. Merci de ta visite et bises!
SupprimerBonjour la Bluette,
RépondreSupprimerOn peut dire que tu as du goût, c'est là une très belle version d'un très beau chant. Une mélodie qui parle à l'âme, qui vous traverse de part en part, jusqu'au tréfonds de soi...
Et bien bonne journée, avec un peu de soleil si possible, et peut-être déjà quelques herbettes sur l'alpage...
Bonjour Monsieur aux grandes oreilles. Ah que oui mon bon monsieur, j'ai du goût. Quand je vois sur la vidéo mes congénères dans un silence quasi religieux, j'ai envie de sortir et d'aller brouter, même si dehors la neige recouvre encore l'herbe. Quant au soleil, il a disparu depuis trois jours mais je ne désespère pas de le retrouver et d'en donner quelques rayons du bout de mes cornes à Dédé. Merci de votre visite et gentil commentaire.
Supprimerah ben oui quand on voit ta photo on comprend ma pauvre Bluette que tu voudrais être avec tes copines... hi hi... par contre tu n aurais pas découvert la musique... il y a du bon aussi à être avec Dédé... bisous
RépondreSupprimerCoucou. C'est vrai cela, finalement, cela a du bon de rester semi-confinée avec Dédé. Mais vivement l'été là-haut! ;-) On espère! Bises
SupprimerChère Bluette,
RépondreSupprimerBien sûr que tu vas retourner à l'alpage, bien sûr le jour où tu y remonteras sera un grand jour pour tous, autant pour le troupeau que ceux qui seront réunis pour perpétuer cet évènement. Les anciennes comme les dernières générations seront là et même si beaucoup le tairont, le souvenir des anciennes montées flotteront dans tous les esprits, quant à ceux qui monteront pour la première fois, ils découvriront ce qu'est "la montée". Ce n'est pas simplement monter le troupeau à l'estive, c'est continuer à faire vivre bien des âmes qui dorment sur le chemin, c'est perpétuer la tradition, la vie, la réalité, alors Bluette, ne t'en fais pas, tu retrouveras tes alpages, mais en attendant prépare toi à aller gouter aux champs de peu de temps ;)
Bises glacées sous la mer de nuages
Coucou Val. Merci ma chère pour ce message plein d'espoir qui me remonte le moral ce matin. Sais-tu que dehors, il fait le même temps que chez toi? Brouillard et froid, cela ne va pas faire fondre la neige et hier il en tombait encore. Mais tu as raison, vivement la montée à l'alpage dans le chant des paysans, la ferveur des spectateurs, les traditions, le petit vin blanc à l'apéro, les vaches toutes propres, voire mêmes fleuries pour certaines d'entre elles. J'ai les sabots qui frétillent dans les starting-block. Bises et prends soin de toi et salutations également de Dédé.
SupprimerQuelle voix….Comme un hymne national. C'est bien émouvant !!
RépondreSupprimerTu as raison Daniel. Bon nombre de Suisses savent mieux reprendre en choeur le refrain du ranz des vaches que celui de l'hymne national. C'est tout dire! Merci de ta visite.
SupprimerQuand j'étais petite, je faisais partie d'un choeur d'enfants dirigé par un frère. Il était suisse et on partait en tournée en Suisse l'été : on chantait ce Ranz des vaches, j'adorais le "lioba"...
RépondreSupprimerCoucou Anne. Contente de t'avoir remis cette belle mélodie dans tes souvenirs. ;-) Prends soin de toi.
Supprimerc'est vrai qu'il donne des frissons, ce chant, et, bon sang, que la montagne est belle !
RépondreSupprimerOui Emma. Des frissons tout partout, jusqu'au bout de mes sabots. ;-)
SupprimerAh chère Bluette, j'ai rattrapé les épisodes que j'avais ratés... Ne t'en fais pas, crois en l'impermanence des choses, nous traversons une grosse tourmente mais le beau temps, un temps nouveau, viendra, il nous faut le souhaiter ardemment... Bises du sud. brigitte qui adore la Suisse.
RépondreSupprimerHello Brigitte. Oui, cette période n'est simple pour personne mais j'ai la chance d'avoir un toit sur la tête et de pouvoir vivre presque normalement. Alors oui, vivement que tout cela soit derrière nous. Bon courage à toi.
SupprimerCoucou Dédé,
RépondreSupprimerUn plaisir ce billet, tant pour le chant offert très émouvant, que pour ces magnifiques vaches qui ont la chance d'avoir cette vie dans la nature que la plaisir de te lire.
Tu viens de m'offrir un beau moment d'évasion au grand air et je t'en remercie.
Bisous à toi et câlin à Bluette. Prenez soin de vous.
Coucou Pascale. Oui, les vaches ont de la chance de brouter devant un tel paysage, des montagnes majestueuses et de l'herbe odorante. Tant mieux si tu as pris un bol d'air frais! Il en fait durant cette période de confinement. Bises!
SupprimerMerci, toi aussi.
RépondreSupprimerJ'avais entendu parler-si j'ose dire-de ce ranz des vaches par la littérature, Rousseau et Oberman, c'est merveilleux de l'entendre aujourd'hui!
Coucou Miss. Et tu peux le réécouter encore aujourd'hui. :-) C'est-y pas merveilleux? Bises
SupprimerVevey, souvenirs de jeunesse, émotion !!!
RépondreSupprimerBluette tu retournera au près
je l'espère quand viendra l'été
maintenant unissons nos voix pour chanter
Coucou. Je vois que tu connais Vevey! Dédé est allé à la fête des vignerons édition 2019. C'était magique mais le fameux chant était mieux chanté par Romanens en 1977. :-) J'espère que l'été viendra vite et que nous pourrons sortir de cette crise sans trop de dégâts... Alors pour conjurer le mauvais sort, chantons! Bises!
SupprimerBonjour Dédé, ta photo me plait et puisque ce chant te plait alors tout va bien :)
RépondreSupprimerDonc tout va très bien, Madame la marquise. :-)
Supprimerbonjour Dédé , merci Bluette de raconter cette histoire si belle et émouvante ! la chanson est magnifique et si bien interprétée j'aime +++ !
RépondreSupprimeret vive les vrais valeurs de chaque région et de la tienne !!! merci pour ton récit bisous belle semaine A +
Coucou Bébert l'enthousiaste. Oui, je suis d'accord, il faut préserver nos traditions tout en restant ouverts d'esprit à d'autres choses, ne pas se confiner dans la passé. Le patrimoine doit évoluer aussi. Bises mon cher, prends soin de toi et de Danièle.
Supprimerje suis revenu écouter cette chanson en plein écran ! waouh que de monde dans l’arène ! c'est prenant ! une chanson que j'aime beaucoup
RépondreSupprimermerci encore pour ton récit et coucou à Bluette gros bisous a+ belle semaine
Oui, les arènes étaient pleines. La Fête des vignerons a lieu tous les 25 ans à Vevey. Elle célèbre le vin mais aussi les autres traditions en lien avec le vin, notamment les vaches. C'est pour cela qu'il y a les armaillis et le ranz des vaches. Les paysans du canton de Fribourg descendaient au marché à Vevey avec leurs vaches dans l'ancien temps, il y avait du commerce entre les paysans et les vignerons. Voilà pour l'explication. Bises mon cher!
SupprimerVous savez,Dédé et Bluette , vous m'avez émue avec ce Ranz des Vaches .Même s'il est chanté en patois fribourgeois ,il m'a rappelé la force de ce que j'avais éprouvé en découvrant le Valais l'été de mes vingt ans .C'est très loin tout cela mais l'empreinte est restée très vive et ne demande qu'à surgir dans ma mémoire à la faveur d'une musique ou d'un tête à tête avec un paysage de montagne .Avec beaucoup de nostalgie maintenant...
RépondreSupprimerEt puis , je ne dis pas cela pour te flatter , Bluette , mais j'aime les vaches et la vie rustique .Souvenir de petite enfance et de promenades entre mes parents , au coucher du soleil. Une colline au loin et sur cette colline toute douce , une ferme dont les vitres se coloraient d'or .On entendait les vaches meugler...
Bonsoir à toutes les deux , prenez bien soin de vous .
Coucou. Ah le Valais. Et bien justement, la photo avec les vaches qui se trouve en fin de mon message a été prise en Valais, plus précisément dans le Val d'Anniviers. Peut-être que tu as connu cette région quand tu es venue en Valais? Je comprends que tes souvenirs soient nostalgiques. Quand on visite une région et qu'elle nous plaît et qu'on y engrange plein de souvenirs, ceux-ci ne demandent qu'à ressurgir dès qu'une musique, une odeur, quelque chose nous rappellent cette région tant appréciée. Merci de ta visite. Bises!
SupprimerQue personne ne me cherche, famille, amis. Bleuette m'a convaincue (ce ne fut pas très difficile) je suis partie en montagne, dans les Alpages, face aux sommets encore enneigés, là où les vaches seront ma seule compagnie et leurs sonnailles ma seule musique avec le vent dans les cimes.
RépondreSupprimerCoucou. Et bien Bluette court te rejoindre et tu pourras la dessiner et elle en sera très heureuse. Et vous boirez un petit vin blanc sec devant les montagnes en écoutant les sonnailles du reste du troupeau. Bises!
SupprimerCette musique est émouvante, je comprends qu'elle te trouble, chère bluette.
RépondreSupprimerTu es une personne sensible, comme Dédé...
La photo est sublime, je l'ai regardée un long moment, elle m'a fait beaucoup de bien...
Bisous à toutes les deux
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Ah que oui qu'elle est émouvante. Tiens, je l'ai encore réécoutée ce matin quand je regardais par la fenêtre le lever du soleil sur les cimes. Tant mieux si tu as pu t'évader un peu au sommet de mes montagnes. Courage et bises.
SupprimerLa voix est sublime, la mélodie envoûtante. Qui n'a pas les poils qui se dressent n'est pas digne d'écouter la musique, d'où qu'elle vienne. Patience, jolie Bluette, tu retourneras à l'alpage comme mon Narco retrouvera ses galops de liberté sur ma plage... Mais en attendant, prends soin de tiens, prends soin de toi, confinement, gestes barrière et tutti quanti;
RépondreSupprimerJe vous embrasse fort, fort, Narco bavouille de même ♥
Alors vivement que Narco et moi, on puisse batifoler à nouveau. La patience n'est pas ma qualité première, ni à Dédé d'ailleurs. Elle doit faire du télétravail mais rien ne fonctionne alors aujourd'hui, elle est un peu sur les nerfs. :-) Merci de la visite et des bavouilles. :-)
SupprimerBonjour Dédé?
RépondreSupprimerTa photo est très belle, et cette chanson doit être encore plus belle dans ces paysages.
Moi c'est le "Se canto" qui me fait cet effet là...
https://www.youtube.com/watch?v=FO5ZQSftGCk
Bonjour Sophie. Ici Bluette. :-) Hein qu'elle est belle cette photo, elle date un peu, sauf erreur août 2016. J'avais encore mon compact expert. J'ai écouté ta chanson et elle m'a également donné des frissons ainsi qu'à Dédé. Ces chants traditionnels ont du coeur. Merci pour cette très belle découverte.
SupprimerA rêver de monter dans les alpages. En attendant restons bien sagement en bas. Quelle chance nous avons de pouvoir écouter la musique des quatre coins du monde pour freiner nos envies de sortir.
RépondreSupprimerCoucou. Déjà j'attends que la neige fonde là-haut, et puis ensuite que l'herbe pousse ainsi que les petites fleurs et surtout que le méchant virus meurt asphyxié! Mais tu as raison, toutes ces initiatives sur le net et ailleurs sont magnifiques et font du bien au moral. Bises chère Thérèse et prends soin de toi et des tiens.
SupprimerSi toutes les vaches du monde se tenaient par la queue quelle farandole autour de chant enchanteur. Bonne santé et attention à Bluette que son lait ne tourne pas.
RépondreSupprimer:-))) Je fais très attention que mon lait ne tourne pas. Je n'écoute pas que David Guetta! :-))
SupprimerBonjour Dédé,
RépondreSupprimerNos chaussures de rando sont au repos ! le moral c'est suivant les jours.
Je rêve devant ce bel alpage et ces paysages de montagnes.
Allez courage à tous. Bises Miss Dédé et sa gentille compagne
Coucou. Moi, je lustre mes sabots tous les matins. Mais les chaussures de rando de Dédé sont aussi au repos, les grosses, celles qui sont semi-cramponnables. Mais c'est normal, elle ne les mets pas trop en hiver. En hiver et début du printemps, suivant où elle va se balader, elle a ses chaussures de trail Salomon. :-) Comme elle est semi-confinée, elle peut encore les chausser pour faire quelques petites balades ici et là. Bises chère Elisa. Mais.... as-tu écouté la petite chanson? ;-)
SupprimerBonjour Dédé,
RépondreSupprimerJ'ai écouté et c'est vraiment très étrange.
j'espère que tu pourras bientôt revisiter tes beaux alpages...
Gros bisous franciliens et confinés,
Mo
Coucou. Etrange? C'est étrange que tu dises que c'est étrange. :-) Moi je trouve tout simplement que c'est beau. Vivement les alpages! Bises semi-confinés.
SupprimerMerci c'est magnifique.
RépondreSupprimerCoucou Loulou. On a bien besoin de trucs... magnifiques. ;-)
SupprimerUne découverte émouvante.
RépondreSupprimerUne photo apaisante.
Ça fait toujours du bien de venir chez toi.
Bises de ma Loire en soleil, en sommeil.
Coucou le poète de la Loire. J'essaie, avec Dédé, de faire du bien aux gens et de leur faire découvrir de nouvelles choses, celles que Dédé et moi on aime. On partage. :-) Bises
SupprimerBluette pourrait entonner depuis le balcon de Dédé ce fameux Lioba. Je ne crois pas qu'en France nous ayons un chant qui nous fédère, il y a trop de régions et de particularismes. Par contre je me souviens que lorsque j'ai fait un message lors de la coupe du monde de rugby en France Richard (qui habite sans doute encore en Suisse) a commenté avec ces mots "All I can say is "Fleur d'Ecosse""
RépondreSupprimerJe ne suis pas sûre de plus que les vaches soient représentatives de toutes les régions par contre elles sont régionalisées. Ma préférée est la Vosgienne.
Coucou. Je ne chante pas très bien et j'aurai plutôt l'impression de meugler depuis le balcon. Et tu comprends, si je commence à recevoir des tomates, cela me fera très mal à mon égo de vache. En Suisse, l'hymne national est mal connu par un grand nombre d'entre nous, contrairement à la Marseillaise dont presque tout le monde connaît les paroles en France. Le Ranz des vaches a l'avantage d'avoir un refrain très facile à reprendre. :-) Quant à mes vaches préférées, ce sont les reines de la race d'Hérens.
SupprimerUn petit coin de paradis avec vue pour ces vaches, elles ont de quoi boire et paître, de quoi se reposer sur une litière fraîche et de la compagnie pour ruminer. Bluette pourrait se joindre à elles sans problème mais ne voudrait pas laisser tomber Dédé et Lapin
RépondreSupprimerPenses-tu! Je prends Dédé et Lapin sous le bras!
SupprimerCe chant est très beau il doit résonner dans la montagne comme nos chants pyrénéens, pleins d'espoir et d'encouragement...
RépondreSupprimerBises Dédé
Coucou Marine. Oui, il résonne dans les montagnes et aussi dans le coeur... des vaches. ;-) Bises!
SupprimerSalut Bluette !
RépondreSupprimerIl est vrai que ce chant est prenant, et si de plus il fait parti de la culture d'enfance et familiale de DD, je comprend que parfois ses yeux se mouillent. Pour habiter pas loin depuis peu et pour en avoir fréquenté, je sais que nombreux sont les suisses qui ont un fort sentiment d'appartenance à cette communauté de montagnards. De même que dans les massifs français d'ailleurs. Venu de Paris mais si souvent en montagne, j'espérais me glisser dans cette culture en m'y installant. Mais le virus ayant suspendu les travaux à ce sujet, je ne sais toujours pas si mes pieds me permettront un jour d'y retourner pour des journées, des semaines entières. Là-haut j'entends, plus haut que la forêt entre alpages et caillasses, là où ta maîtresse prend de si belles images qui me font rêver, là où j'espérais poser mon bivouac pour la nuit comme avant. Et ce soir, après quinze jours de solitude incertaine, les images de DD et ce chant me mettent le coeur en chaussettes...
Une 'tite tape su l'cul !
Coucou. Les gens qui habitent en montagne ont effectivement un sentiment à la communauté très fort, peut-être plus fort que les gens qui sont dans les villes. Il a fallu vivre avec la montagne, dans un climat rude et forcément, cela forge le caractère. (attention je ne dis pas que les citadins ont moins de caractère). Quant à tes pieds et tes envies de monter là-haut, tu sais qu'il faut garder espoir et que la montagne peut s'appréhender de différentes manières. Allez, on se soutient mutuellement et on garde espoir. Et pour terminer, attention avec les tapes sur l'cul, pas trop fort stp. :-)
SupprimerCoucou la Valaisanne elle est toujours mignonne ta vache :) , une fois j'avais entendu les cors des alpes en pleines montagnes (vers le barrage des dix si mes souvenirs sont bons) , j'ignorait d'où c'était jouer mais ça prener les tripes avec les échos et la raisonnance des montagnes !!!! , passes une bonne journée courage 1 mois et on pourras y retourner en balade :) , bonne journée à toi , amitié d'Auvergne :)
RépondreSupprimerCoucou. Je suis très coquette. Chaque fois que Dédé veut me prendre en photo, je passe de longues minutes à lisser mes poils, à lustrer mes cornes et mes sabots, pour être vraiment à mon avantage. Et mon tee-shirt est toujours très propre et bien repassé. :-)
SupprimerJ'aime aussi beaucoup le cor des Alpes. Dédé aimerait bien une fois essayer d'en jouer mais ce n'est pas simple. Et je suis d'accord avec toi, lorsqu'on est en montagne et qu'on entend l'instrument résonner dans la vallée, c'est un grand moment d'émotion. Bises!
Bluette, je découvre cette tradition suisse, < Lioba > j'aime bien l'authenticité préservée de plus quand l'humain rend hommage aux animaux qui l'entourent avec ce chant qui se répand à travers les coeurs. C'est beau! Et puis de voir Bluette qui a envie de retourner à l'alpage, sentir la caresse du vent sur ses flancs soyeux et brouter les délicates prairies gorgées de soleil alpin oh quelle délicate image poétique et les boutons d'or comme des petites boules de soleil tombées dans les près. j'ai l'impression de voir la Suisse . Bluette tu diras à Dédé si elle est très émue d'entendre ce chant que je peux la prendre dans mes bras pour contenir ses émotions.
RépondreSupprimerCoucou. Ah que oui, j'ai envie d'aller brouter moi. Mais Dédé a dit que je devais être patiente, il faut déjà que la neige fonde entièrement, que l'herbe pousse un peu ainsi que les petites fleurs. Et puis il faut aussi que le coronabidule aille voir ailleurs. Je dirai à Dédé que tu es prêt à la soutenir. ;-) Merci de ta visite mon cher Laurent et prends soin de toi!
SupprimerBluette, depuis treize ans que je parcours la toile, mes cheminements m'ont déjà menée jusqu'à cette vidéo et j'ai eu grand plaisir à la réécouter. L'occasion pour moi aussi de m'interroger sur le sens de Lioba (ou Lyoba selon Wikipédia) c'est vachement intéressant, on en apprend tous les jours (et même la nuit ;-))
RépondreSupprimerMalheureusement aux dernières nouvelles les vaches laitières ne sont pas à la fête :-/
Bises mélodiques
Coucou ma chère Tilia. Je suis contente de t'avoir rappelé cette très belle vidéo. J'espère que tu as réussi à chanter tout le chant en patois fribourgeois avec la bonne prononciation. :-) Quant aux producteurs de lait, il faut qu'ils élèvent des poules, la demande en oeufs explose. Bises de nous!
SupprimerBonjour Dédé, à deux reprises j'ai regardé et surtout écouté la voix chaude de M.Bernard Romanens, la musique porte toute la fierté et la puissance de ce peuple pour ces Vaches.
RépondreSupprimerSans nul doute Elles seront encore et toujours présentes dans les prairies vertes et soyeuses, d'entendre leurs cloches et la douceur de la montagne alentour.
Un grand merci Dédé pour ce partage émotion, prends soin de toi et bon et beau weekend surtout !
Coucou JP. Je suis contente que mes lecteurs et lectrices, dont toi, apprécient ce morceau! C'est un chant cher à mon coeur et qui célèbre toute une tradition. Et j'espère bien que les vaches monteront bientôt à l'alpage, accompagnées de leur berger, et que l'été sera beau là-haut. Bises de Dédé et moi.
SupprimerQuand j’étais petit je me faisais plein de scénarios devant les images des montagnes suisses du calendrier
RépondreSupprimerTiens mon cher Robert. Un jour viendra peut-être où Dédé créera son propre calendrier avec des images prises ici et là. Bises.
SupprimerJ'avoue que votre billet, Dédé et Bluette soulève en moi beaucoup d'émotion.
RépondreSupprimerPrenez bien soin de vous et des vôtres.
Pas trop d'émotion négative j'espère. Que du positif, si c'est possible. Courage ma Den.
SupprimerJe dois avoir du sang suisse, Bluette.Comme Dédé je ressens une vive émotion en écoutant la foule qui reprend "Lioba". J'irai voir tout à l'heure qui est Bernard Romanens (qui a dû vieillir un peu entre temps) Merveilleuse interprétation.
RépondreSupprimerJe comprends ta nostalgie de l'alpage, Bluette, en compagnie de tes copines comme sur la belle image de Dédé.
Bises à toi et à Dédé, n'oublie pas de lui faire un gros schmoutzele
Tu sais Fifi, je regarde tous les matins là-haut et je vois la neige qui fond, à grande vitesse depuis deux jours, le printemps s'installe enfin. Mais on sait qu'à cette altitude, les flocons reviendront jusqu'à la fin mai environ. Donc, il faut que je sois patiente. En attendant, je chante sur le balcon. Merci de ta visite et bonjour aussi de Dédé.
SupprimerJe viens de voir que tu parles au passé du monsieur qui chante si bien. Il est parti au pays du Chant Eternel et laisse un merveilleux souvenir.
RépondreSupprimerOui, il chante avec les anges maintenant.
SupprimerC'est vrai qu'il est beau et émouvant ce chant en l’honneur des vaches...
RépondreSupprimerComme quoi, les vaches peuvent être mélomanes aussi.
SupprimerSuper...avec une belle vue en écoutant la musique
RépondreSupprimerLe pied total! ou alors le sabot total! :-)
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